• Les « Primaires » à la française : un coup de boutoir insidieux dans nos institutions, mais
    Quid de leur légalité ?
    L’instauration subreptice des « Primaires » dans la scène politique constitue dans leurs formes comme dans leur organisation une pratique extra-institutionnelle inédite qui non seulement pose problème sur leurs conséquences dans la vie publique à terme, mais interroge aussi tant sur leur légalité que sur leur légitimité.
    Cette intrusion progressive revient à modifier nos institutions par la bande, sans débat public, sans bilan critique, et, bien sûr, sans consultation des citoyens, ce qui aboutit à utiliser de plus en plus la pratique du « fait accompli » comme méthode de réforme.
    D’autres exemples récents comme le « pseudo-référendum » concernant le projet d’aéroport à Notre-Dame-des -Landes, limité à un seul département, annoncé d’ailleurs comme dépourvu de caractère contraignant, mais surtout totalement inconstitutionnel contribue à banaliser de façon inquiétante la mise en place de pratiques illégales. 
    Des exemples antérieurs comme le référendum sur le quinquennat organisé à la sauvette, sans débat public, au retour des vacances en septembre 2002, ou bien l’inversion du calendrier électoral de 2002 par Lionel Jospin, avaient initié cette habitude de plier et tordre les institutions selon les besoins immédiats du moment sans égards pour leurs conséquences à long terme.
    Cependant avec l’établissement de ces « Primaires » ce n’est pas seulement le problème de la légitimité qui est posé mais bien celui de la légalité de leur organisation et de leur déroulement. 
    Une formation politique peut-elle utiliser les listes électorales des mairies pour organiser la désignation de son candidat ?
    Les formations politiques ont-elles le droit d’organiser des primaires ouvertes à tous les électeurs ?
    Les formations politiques ont-elles le droit d’organiser un vote payant ?
    La circulaire du ministère de l’intérieur du 22 février 2016 rendant les mairies  « libres d’accepter ou non les demandes émises par les partis politiques de mise à disposition de locaux ou de personnels communaux, de fournir les isoloirs et les urnes voire l’utilisation des panneaux d’affichage municipaux... », tout ceci étant laissé à leur appréciation ne semble pas avoir d’assise juridique bien solide car elle établit l’inégalité de fait en fonction des options personnelles ou des humeurs des édiles locaux. D’autre part on peut considérer que s’agissant de locaux et de matériel officiels de la République, ils ne peuvent servir à une même utilisation électorale par des organisation partisanes. 
    Les formations politiques désirant recourir à des élections primaires devraient normalement les organiser avec leur propre matériel électoral, dans des bâtiments leur appartenant, ou dans des bâtiments non officiels loués à cet effet. Elles devraient réserver le vote à ses adhérents et éventuellement à ses sympathisants d’après les listes qu’elles détiennent sans mettre à contribution ni personnel ni matériel communaux.
    Toutes ces pratiques illégales qui finissent par s’imposer par le fait accompli et se multiplient aujourd’hui relèvent plus d’une culture « putschiste » que d’une culture républicaine. Comme pour le déni de démocratie suite au référendum de 2005, et le véritable coup d’état du traité de Lisbonne, mais aussi la réforme territoriale arbitraire, elles traduisent avant tout un profond mépris du peuple. 
    Symptôme du délitement de nos institutions, le peu de réaction qu’elles suscitent révèlent en même temps un état d’affaiblissement inquiétant du corps social et politique de notre pays. 
    Plus que jamais l’élection d’une assemblée constituante semble indispensable.
     
    Denys Renaud - cercle Pour Une Constituante de Nantes

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  • Avec certains amis, j'étais arrivé à la conclusion que le 20 décembre pourrait être la date butoir pour le déclenchement des hostilités. Les fous du Pentagone y tiennent tant ! Et il leur faut avoir déclenché l'irrémédiable AVANT la confirmation pour Trump qu'il sera bien président.




    Les grands électeurs se réuniront pour voter demain lundi 19 décembre : les résultats ne seront connus en Europe que le 20 bien sonné, avec le décalage horaire. La Russie est encore plus en avance. Donc le décompte horaire correspond.





    Les vecteurs "stratégiques" sont fin prêts. Le Charles de Gaulle, dont il avait été dit qu'il était de retour à Toulon, est toujours sur zone comme a pu le constater le chef des armées en tournée de popotes. Ses Rafale sont prêts, ceux basés en France métropolitaine le sont également désormais. Quant aux rafiots d'Oncle Sam, ils jouent aux scouts "toujours prêts", voui voui voui voui.




    Après ce sera plus difficile, à moins que la "trêve de Noël" ne vole en éclats puisque les fous de guerre ne respectent rien. La capture d'officiers de l'OTAN à Alep doit pourtant les coincer aux entournures, parce que leur propagande faisant reposer tous les torts sur les  troupes régulières syriennes et les invités russes tombe vraiment à faux. Cela peut cependant les doper encore plus dans la volonté d'en finir en apothéose. Seul ennui pour eux, ils savent que Moscou sait tout de leurs mouvements, ce qui doit freiner quelques ardeurs à part celles de quelques jusqu’au-boutistes irresponsables et bien téméraires.


    Qui vivra verra. Drôle de fin d'année.

    bab

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  • Il ne reste plus que deux mois aux hordes de Washington et leurs chiens damnés pour lancer leur offensive afin d'alimenter le Moloch. Deux mois. Ensuite, ils passeront la main, le supplétif à manivelle improprement nommé le Charles-de-Gaulle devra rentrer pour révision, le soutien partout sera affaibli, les dents seront cassées. Les Rafale actuellement sur le qui-vive seront rentrés à la niche.

    Vont-ils oser se lancer ? Les grands fauteurs de guerre du Pentagone trouveront-ils le prétexte "vendable" auprès des populations US pour préparer leur fête (à admirer de loin, comme ils l'imaginent) ? Sans doute, leur position dans un Washington un peu à l'intérieur des terres leur donne-t-elle un sentiment d'invulnérabilité. Leur rage (au sens réel de la maladie) qui leur donne l'envie de mordre tout ce qui est à portée doit les tenailler tellement !




    Je pense que, si quelque chose est lancé, les Russes pas du tout agressifs, mais déterminés, leur feront apprécier LES PREMIERS l'étendue de la riposte. Elle sera fulgurante et irrémédiable, c'est à la fois juste et nécessaire.

    Si pareille catastrophe survient, les étendues immenses de la Russie l'aideront une fois de plus, alors que probablement les régions entre Rio Grande et Grands Lacs seront une marmite de sorcière. En particulier leurs deux côtes, celles qui votent encore pour les chiens de guerre. La ville de L'Enfant ne sera plus qu'un lointain souvenir (rien moins qu'impérissable d'ailleurs). Les bas quartiers de la Grosse Pomme en seront au même point, eux qui abritent tant de Grands Banquiers. San Diego, Norfolk ne seront que quelques ruines fumantes, de même que Seattle. Ne resteront que les États centraux du blé et des bovins, car probablement l'orgueilleuse Chicago aura-t-elle subi le sort des côtes, avec quelques minutes de retard, ainsi sans doute que le quartier général sous la montagne, près d'Omaha.

    Deux mois à tenir ! et au bout de ces deux mois, la probable poignée de main décontractée entre deux hommes qui auront su quel était leur devoir envers tous leurs concitoyens. Les garder vivants. Nous garder vivants.

    Le compte à rebours est commencé.

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  • Linky, Gazpar et la loi

    Nous l'avons largement démontré, le compteur Linky apporte des nuisances "grâce" au CPL qui envahit tout un immeuble, même si vous-mêmes l'avez refusé, et avez réussi à faire respecter ce refus. A vous éventuellement, ensuite, d'installer des filtres et des protections murales (matelas aluminisés) pour vous protéger des ondes dans les murs provenant de vos voisins. Cela a un coût non négligeable, et aucun secours ne pourra vous être apporté, aucune assurance ne le prendra en compte.

    Les nuisances continuent, avec dans la rue les échanges entre le concentrateur de chaque groupe de logements, et l'antenne principale d'ENEDIS, ou d'EDF, sur la fréquence des téléphones cellulaires. Ce va-et-vient entre concentrateurs plus ou moins nombreux (il en est prévu paraît-il 600 000 sur l'hexagone, placés à hauteur d'homme ) et centralisateur vient s'ajouter au trafic des téléphones 3G, 4G,  bientôt 5G avec les antennes-relais dont on connaît les nuisances déjà.

    S'y grefferont bientôt (début du déploiement, 2017) les trafics entre les compteurs Gazpar, certes un peu moins nombreux faute de déploiement moins généralisé du gaz, et les antennes moins nombreuses, donc plus musclées, installées sur les immeubles et les châteaux d'eau pour en recevoir les données.

    Enfin, sans faire de bruit,  les compteurs à eau deviennent eux aussi "intelligents" (tu parles !) au gré des désirs de Veolia, eux aussi se mêleront au concert d'ondes toujours dans la gamme de fréquences du téléphone mobile. Les réémetteurs étant là aussi moins nombreux, les niveaux du flux n'en seront que plus élevés. 

    Que vont dire, et subir les hyper-électrosensibles, de plus en plus nombreux par effet de seuil ? Pour avoir collecté des témoignages, on ne peut souhaiter à personne ce basculement dans le mal-être, voire l'enfer permanent.

    A côté, les autres inconvénients, pourtant non négligeables (appareils soudain en panne dès l'arrivée du Linky par exemple, parfois incendies en raison d'une pose perfectible, augmentation des réglages de puissance, donc des coûts d'abonnement en raison des pics de consommation qui mettent le compteur "en sécurité" - donc plus de courant - et autres) pourraient presque passer "par profits et pertes" comme on dit.




    Tout cela, oui TOUT cela, provient de la directive dite européenne (en fait celle des lobbies d'industriels planétaires) qui exige que tous ces "capteurs" soient connectés et consultables à distance par BIG DATA. C'est un marché colossal, portant sur le profilage plus ou moins pointu des utilisations d'appareils, et dans la foulée, des UTILISATEURS également. Cette arnaque planétaire est coulée dans LA LOI, ce qui veut dire que s'y opposer, c'est s'élever sciemment contre la loi .

    Faudra-t-il, visage découvert, fièrement et sans armes, nous dresser CONTRE ces diktats où nos intérêts de citoyens, d'humains même sont bafoués ? Sans doute. Le combat sera rude. Il sera d'autant plus rude, que peu de personnes encore s'en sont emparées. Car ne nous cachons pas le défi : ce sera une lutte CONTRE LA LOI. Pour nos enfants et nos descendants. Et nous n'aurons même pas comme le député Baudin à prouver que l'on est abattu pour un mandat. Nous ne sommes que de simples citoyens, conscients de la suite.

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  • Les Délégués du Peuple, comment les choisir ?




    Il convient d'être précis, tant l'enjeu est grand, les évènements actuels (transformation du régime politique en France en dictature de fait par ce qu'on appelle « des élus » ) interpellent.


    I -- Le choix se fait parmi qui ?
     
    _ 1 - Le Peuple en âge de « voter » tout entier
     
    _ 2 - Des volontaires
     
    _ 3 - Un Peuple « expurgé » (par qui ?) dont sont exclus les délinquants, les criminels, les anciens « élus » ou hauts fonctionnaires décideurs, les banquiers, les grands patrons (toutes personnes susceptibles d'avoir déjà triché sans que cela se sache, par leur position même)

    _  4 - D'autres critères encore ?





    II - Le choix se fait comment ?
     
    _ 1 - Par tirage au sort national (extrêmement lourd)
     
    _ 2 - Par tirages au sort locaux (quelle étendue ?)
     
    _ 3 - Par vote à bulletin secret (ce qu'on connaît aujourd'hui)
     
    _ 4 - Par désignation à mains levées


    III - Qui organise ces consultations ?

    _ 1 - Les services de l'État ou des collectivités (cas actuel)
     
    _ 2 - Des volontaires qui, par leur position d'organisateurs, ne pourront être choisis ensuite
     
    _ 3 - Des volontaires qui pourront être choisis malgré leur position d'organisateurs
     
    _ 4 - Ou ?.........


    On le constate, le tirage au sort n'est que l'une des options pour la désignation de personnes chargées d'assumer un devenir collectif (Assemblée Constituante, éventuellement Assemblées locales, ou aux attributions plus vastes). Ce n'est certainement pas la meilleure, parce que difficilement maîtrisable.

    Il risque de mettre en avant des personnes non volontaires, qui ne veulent vraiment pas de cette tâche, qui statueront en dépit du bon sens soit volontairement, soit parce qu'elles n'ont pas cette capacité-là : pire, ces personnes peuvent même se retrouver en très grande proportion dans l'assemblée ainsi réunie, ce qui garantira un beau fiasco.


    Il faut imaginer tous les cas de figures. Si c'est un paysan éleveur qui est choisi, qui le remplacera à la tête de sa ferme le temps d'un mandat ? Le même cas se pose pour des patrons de TPE qui auront du mal à trouver au pied levé quelqu'un qui gèrera les employés et les commandes. En fait le tirage au sort risque de désorganiser le tissu fragile de la petite entreprise en général. Même difficulté, pour la mère allaitante après une difficile grossesse. Franchement, le tirage au sort, ce n'est PAS une bonne idée.


    Cela revient à constater que, sans pour autant se cantonner aux volontaires, le tirage au sort ne peut s'appliquer qu'à des personnes qui acceptent en connaissance de cause ce qu'implique cette « promotion ». On revient assez vite aux réseaux habituels de personnes pouvant se libérer, ce qui amoindrit grandement l'aspect « tirage au sort égale toutes les couches de la société sont représentées » : cela ne peut qu'être inexact. Autant aménager le système actuel des élections !


    Une autre solution pourrait consister en une désignation (hors Partis Politiques,  et ce critère est important) par leurs pairs ou leur entourage de personnes connues pour leur altruisme, et qui acceptent le mandat, sans pour autant avoir demandé à l'assumer. Ce serait bien moins lourd à organiser qu'un tirage au sort. Cela demandera cependant que des volontaires aillent expliquer aux habitants des cités défavorisés, les plus concernés en fait, combien il est important pour eux de proposer parmi eux des délégués qui, parce qu'ils les vivent, sauront porter leurs préoccupations hors de ce vase clos où ils sont (délibérément par le Pouvoir actuel pour une grande part) confinés.


    Les débats sont ouverts. Il n'en reste pas moins que, une fois désignés, de quelque façon que ce soit, TOUS les « élus » doivent pouvoir être récusés par le Peuple facilement, dès qu'ils outrepassent de façon patente leur mandat. Actuellement, au niveau des représentants nationaux, la Constitution l'interdit formellement (article 27 alinéa un), et pour les autres élus on retrouve de fait à peu près la même difficulté, parce que rien ne le prévoit.


    Au travail...

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  • Une fête religieuse fait de l'ombre à son lendemain, hélas. Aujourd'hui, nous nous souvenons de nos disparus. Ceux que nous avons connus, et qui ne sont plus là. Ceux que des amis ont connus, et qui sont désormais absents. Ceux que des irresponsables, des fous parfois, ont supprimés de la Vie. Ou pire, fait supprimer par d'autres. Les exemples abondent.

    Il y a aussi ceux qui se croyaient "indispensables" : les croque-morts sont obligés de les évincer des cimetières, parfois, tant ils sont nombreux, pour en mettre d'autres tout aussi "indispensables" à la place.  La Terre continue de tourner, les réussites d'arriver parfois, les échecs aussi, bien plus souvent.

    Le Monde avance sur ces carrières dont les plus tonitruantes sont aussi parfois les plus vite oubliées. L'important, après, ne sont-ce pas les vivants ?



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  • Souvent, des thèmes apparemment différents ont des similitudes dans leurs causes ou leurs finalités.

    Ainsi, bien que je sois sur quatre blogs différents, ils concourent au même résultat.

    Celui-ci est un blog généraliste, où de nombreux thèmes ont été abordés au fil des années. S'en dégagent cependant des options politiques, nées du nécessaire, oui, nécessaire combat pour plus de transparence dans la gestion des affaires de l'État, pour une reprise en main par les citoyens de leur propre destin, en commun, parce que les grandes choses se font en équipe.

    Les trois autres blogs sont beaucoup plus récents, six mois environ.

    L'un d'eux est né de l'adhésion à un collectif inquiet de l'installation intempestive et sans raison apparente d'une nouvelle génération de compteurs électriques ou gaziers, et même d'une transformation des compteurs à eaux chaudes (pour ceux qui vivent dans certains immeubles) et froides.

    Au-delà même des multiples inconvénients résumés dans un tableau,




    se pose la finalité de ces trois types de compteurs, imposés brutalement ( et parfois même avec une réelle brutalité ) aux citoyens de ce pays et d'une grande partie de l'Europe, et se profile ce que récemment avouait tout de go le président d'ENEDIS, ex-ErDF, Philippe Monloubou : "Nous sommes une entreprise de BIG DATA, avec trente-cinq millions de capteurs". Nous, citoyens, ne sommes même plus citoyens, ne sommes même plus usagers, ne sommes même plus clients : nous ne sommes plus que des capteurs. Des bribes d'info sur pattes.

    Ramenés, par la grâce du profilage, à une suite de zéros et de uns emmagasinés par les grandes oreilles de Bruxelles, sur sa volonté expresse, il nous est difficile de ne pas nous rebiffer, n'est-ce pas ?

    Le second nouveau blog traite aussi d'une adhésion, celle au cercle nantais de l'Association Pour Une Constituante. C'est très sérieux. L'Association ne veut pas  d'une future "élection présidentielle" de plus en plus contestable par son encadrement juridique empêchant radicalement toute égalité de chance entre deux ou trois poulains de la Finance au programme absent, mais à la présence médiatique continuelle, et le reste des candidats qui, eux, ont généralement un programme (qui dérange les sponsors financiers des premiers). 

    Au contraire l'Association propose de réunir une Assemblée Constituante formée de simples citoyens, et se basant sur des Cahiers d'Exigences, un peu à la manière des Cahiers de doléances de 1789.

    Enfin, il était nécessaire de monter du doigt la cause de ce côté-ci de l'Atlantique de nos désagréments : BRUXELLES et sa pince de crabe gigantesque formée à la fois de ce qu'ils appellent l'union européenne, et de l'OTAN dont le siège administratif à la forme d'un goût douteux n'en est pas loin. D'où ce dernier blog où sont rassemblés documents, opinions, voire imprécations en vue de contrer cette pince.







    Tous ces blogs concourent à la même préoccupation : c'est Bruxelles qui veut imposer au bénéfice de ses sponsors  la couverture via des compteurs, via le profilage bancaire, via les réseaux sociaux pour ceux qui succombent à leur charme, une connaissance complète, pointue, indiscrète de plus de cinq cents millions de personnes : le but est de détecter des velléités d'évasion, de refus, voire plus, et d'influencer ensuite, via des médias "éclairés", toujours plus ceux qui sont malléables. Donc c'est Bruxelles, agent ô combien complaisant de la City et de ses adorateurs d'outre-Atlantique, dont il faut au plus vite se séparer complètement. En même temps, bien sûr, que de ses agents sur place (pas les plus pauvres en général) qui tiennent les leviers de direction ET DE RÉPRESSION.

    On y va ?
     

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  • Rêvons d'un monde

    Le 15 septembre 2011

    Rêvons d’un monde, quelque part vers la fin du XXIe siècle. Dans leurs livres de classe, tous les petits enfants du monde apprennent qu’à la charnière de leur siècle alors finissant, et du précédent, des terroristes ont fait régner une situation insupportable de haine, de meurtres, de morts innombrables afin de contenter leurs amis industriels et banquiers. 

    Et puis un jour une sorte de lame de fond populaire, aussi irrésistible que le tsunami exceptionnel du 11 mars 2011 (aux dernières estimations et dans la région d’Iwate, 40m)  a commencé à déferler partout dans le pourtour de la méditerranée, puis s’est étendue au centre du continent africain, au proche-orient, même dans les îles britanniques, et a chassé des autorités débordées et effarées. Même les ultra-sécuritaires États-Unis furent balayés par les plus pauvres, qui en oublièrent leurs différences d’origines.
    Les noms de ces terroristes, caracolant sous la bannière du dieu Marché ? Blair, Rumsfeld, Uribe, Rice, Cheney, Bush, Sarkozy, Thatcher, Hollande, Brown, Cameron, Lévy (BH), Copé, Clinton (Hillary), et d’autres encore. Pêle-mêle, ils furent incarcérés dans une prison unique, de haute sécurité, et là on les oublia pour travailler à rebâtir sur les ruines qu’ils avaient laissé.
    Chose remarquable, depuis cette période fétide aucun nom ne se distingua plus politiquement, chaque citoyen étant désormais partie prenante des décisions prises. La percée d’Internet même dans les régions les plus reculées de l’Afrique autrefois sous tutelle, permit à chacun de prendre connaissance des questions à résoudre, et de prendre part aux décisions  concernant sa région.

    N’est-ce qu’un rêve ?

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  • C'est une dépêche de l'AFP ce matin : un sondage précise que 72 % des Français sont contre la suppression de l'impôt des riches.

    On précise que nombreux sont ceux qui déplorent que certains échappent à cet impôt en partant à l'étranger.

    Il y aurait cependant une solution simple à cette évasion : TOUS les revenus engrangés sur le territoire français ne peuvent être utilisés de quelque façon que ce soit que sur notre sol. Ainsi les expatriés fiscaux se retrouvent avec .... plus rien ! Dommage pour les Mulliez, par exemple, mais pour beaucoup d'autres aussi, tels certains sportifs.

    De même les multinationales ne peuvent plus, dans ce cas de figure, arbitrer  leurs revenus en France avec des pertes dans d'autres pays.

    Comment parvenir à ce résultat ? Un Parti propose tous les outils dans son programme de gouvernement, soutenu par son candidat à la présidentielle Jacques Nikonoff. Il faut et il suffit de sortir brutalement de l'union européenne, et de créer une monnaie NON CONVERTIBLE, peu importe son nom. Pour les détails, se rapporter au programme détaillé.


    billet mis en service le 7 février 1957


    Il y a un souci : le PARDEM n'a pas la possibilité d'expliquer ce qu'il veut faire dans les grands médias, il est fui comme la peste par leurs financiers de patrons qui seraient ruinés, évidemment.

    Appel aux élus locaux : le Pardem a besoin de tous vos parrainages, pour présenter son poulain à l'élection "suprême", malgré tous les tracas apporté par la loi que celui qui est maintenant garde des sceaux avait réussi à faire voter quand il était encore député. Le fait que désormais c'est à vous, volontairement, d'envoyer votre parrainage à la commission électorale, le fait que cette initiative sera désormais publiée,  tout est fait pour que vous hésitiez à vous lancer. Ne  vous laissez pas intimider !

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