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Par babalouest le 10 Janvier 2022 à 11:01Malgré tout, même sur Le Grand Soir, certains de nos amis pourtant bien informés il me semble, hésitent encore à avouer que OUI, nous sommes bien complètement dans une dictature, une dictature qui refuse de dire son nom, une dictature qui censure à perdre haleine, une dictature qui interdit de clamer en public des faits avérés, une dictature qui empêche les citoyens de se soigner avec des moyens sûrs, éprouvés, et d’un prix dérisoire (ah oui, là cela choque ces messieurs, que l’on puisse se soigner pour presque rien, que l’on puisse dénoncer que si la Sécu manque d’argent, c’est parce qu’ils ont puisé allègrement dans la caisse).Oui, nous sommes dans une dictature, où seules certaines minorités au pluriel ont le droit de tenir le haut du pavé, où un journaliste n’a que le choix entre accepter de ne dire que ce qui correspond au récit du moment, ou rester chômeur ; oui, nous sommes dans une dictature, où "les représentants du Peuple" ne sont, dans leur majorité, que les clients de quelques Grands Argentés et obéissent sans murmurer, ou pire, avec allégresse et promptitude ; oui, nous sommes dans une dictature où bien trop de médecins, de juges, de chefs d’entreprises sont les faire-valoir de ce qui se décide quelque part en leur absence. Eh bien, si c’est UNE DICTATURE, dictons, parlons, écrivons jusqu’à ce qu’un évènement ne nous prive de continuer à dénoncer. Je ne sais plus qui avait dit "Le Juste meurt une fois, le pleutre plus de mille..."
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Par babalouest le 2 Décembre 2021 à 06:20
Il y a cent soixante-dix ans, un certain coup d'État mettait au pouvoir un homme qui fit bien du mal à la France, ne serait-ce que parce qu'il assura sur son trône Frédéric-Guillaume de Prusse, au prix d'une guerre qu'il déclara et perdit.
Il y a environ quatre ans et demi, par un tour de passe-passe de la Place Beauvau, un autre personnage fut imposé sur le trône de Paris par ses amis Grands Banquiers. Analogie : lui aussi a fait beaucoup, beaucoup de mal à la France et aux Français, et il s'apprête à continuer. Communeux mes frères, QUE FAIRE ?
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Par babalouest le 4 Septembre 2016 à 16:58Cher Monsieur Pascal Lamy,
C'est avec des larmes de reconnaissance que je peux sans doute à raison vous désigner parmi les rares personnes que presque le monde entier se doit de haïr. Le prix Alcide Sulfurik, en quelque sorte.
Grâce à vous des continents entiers souffrent de la faim. Grâce à vous les cordiers se réjouissent de fournir à la pelle leurs produits pour un dernier achat d'agriculteurs aux abois. Grâce à vous des OGM placides empoisonnent tranquillement des centaines de millions de personnes, des centaines de millions d'animaux, des centaines de millions de végétaux. Grâce à vous la pollution verdit et l'effluent industriel pourrit. Grâce à vous les avionneurs fournissent toujours plus de leurs engins volants où vous trônez chaque jour en Classe Affaires.
On cite de vous une très belle phrase (Europe 1, 25 juillet 2013) :
« La démondialisation est une thèse réactionnaire. »
Merci Monsieur Lamy, vous me faites un grand honneur, car voyez-vous, je suis démondialisateur. Eugène Pottier avait écrit, pour sa part,
« L'Internationale sera le Genre Humain ».
L'internationale, c'est la communauté planétaire des nations. Des nations souveraines, qui interdisent à des sociétés bancaires, commerciales ou industrielles de faire la nique aux lois des Nations et des Peuples Souverains qui les composent. Cela signifie qu'aucune entreprise ne peut jouer de son implantation dans plusieurs pays pour faire l'arbitrage des avantages et inconvénients des législations, us et coutumes de ces pays .
Oh quelle catastrophe ce serait, pour vos Amis les Banksters, s'ils ne pouvaient plus accomplir leurs sinistres besognes. Pour vos Amis les Fabricants d'Armes s'ils ne pouvaient plus, pour des raisons bassement commerciales, favoriser ici et là troubles, guerres, attentats, meurtres, assassinats, et j'en passe. Pour vos Amis les Politiciens, si des « revenus » un peu (hum) illicites et un peu (hum) élevés ne leur donnaient pas l'entregent que leur personne ne possède guère.
Non, bien sûr, vous n'êtes pas à l'origine de TOUT. D'autres que vous œuvrent dans leur coin, de façon plus ou moins occulte, mais dans le même sens.
Malgré vous et vos amis, il faudra que nos frères humains apprennent à démondialiser, et à reprendre la main sur leur propre destin que vous leur avez volé. Volé. Volé. Le plus tôt sera le mieux. Vous serez alors comme le mari des pièces de Labiche, ............ mais content (ou marri ? ohhhh...)
Votre serviteur,
bab
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Par babalouest le 10 Juillet 2015 à 06:24On le voit partout, aussi bien en France qu'en Espagne, au Portugal, en Italie, en Grèce, mais aussi en Afrique, et même aux États-Unis où la misère règne en maîtresse à côté d'îlots de richesse extravagante. La présence du banquier tue la vie. L'avoir tue l'être. Tue, et re-tue, en une répétition insensée et morbide. La richesse acquise par dépouillement des autres est, selon "les valeurs" puritaines, la quintessence du nirvana, le signe d'une grande valeur personnelle, le paradis sur terre. Cette donnée de base est la source de tous les malheurs du monde.Et tout cela parce que le principe même du banquier est de créer de l'argent, de le prêter en faisant mille manières comme si on lui arrachait un bras, de se le faire rembourser, et alors qu'il n'a coûté que quelques jeux d'écritures, d'en demander paiement sous forme d'intérêts énormes, tout au long d'un processus volontairement interminable. Pire, le banquier se prévaut de cet argent dû pour le faire fructifier dans des montages financiers de plus en plus complexes, alors qu'il n'existe pas. La seule chose réelle, ce sont ces intérêts versés, fruits du sang de la Terre, du sang des humains, ceux qui réellement travaillent. Les vampires opèrent dans des circonstances précises, les Banksters opèrent au grand jour, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, tout au long de l'année, même quand ils dorment.Voilà. Nos ennemis sont désignés. Il n'y en a pas d'autres, même s'ils s'entourent de subalternes chargés de commander à la piétaille, celle qui crée des richesses, de subalternes qui veillent à canaliser toute rébellion par la persuasion, et s'il le faut, par la force ; et aussi de subalternes chargés de divertir les travailleurs, et d'autres subalternes chargés de divertir « les Maîtres ». Voilà le monde où nous vivons. Encore. Jusqu'au moment où la Terre sera morte, et les travailleurs également.
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