• Rentré de quelques jours chez mes enfants, je reprends le collier, et je découvre grâce à Caleb Irri un nouveau lanceur d'alerte, un autre Edward Snowden, tout simplement en prison. Cette fois, c'est un français.




    Monsieur Condamin-Gerbier est un homme dangereux (mais pour qui ?)

    Posté par calebirri le 17 juillet 2013

    Monsieur Condamin-Gerbier est un homme dangereux : c’est pour cela qu’il est en prison, en Suisse, et ce depuis le 5 juillet 2013.

    Convoqué comme témoin dans l’affaire Cahuzac, il a ensuite été auditionné à deux reprises par une commission d’enquête parlementaire sur un éventuel dysfonctionnement de l’Etat durant l’affaire Cahuzac : vous pouvez trouver ces deux auditions ici et ici.

    Lors de ces deux auditions, cet homme fait mention (en plus de décrire les mécanismes « institutionnalisés » d’optimisation, de fraude ou d’évasion fiscale -si l’on veut faire des différences « légales » ) d’une liste d’hommes politiques qui possèdent ou ont possédé des comptes dissimulés à l’étranger, dont certains ministres passés ou actuels, donc de droite comme de gauche : de quoi mettre un beau bazar dans cette misérable - et corrompue - République ; et à cette occasion on remarquera la discrétion de l’UMP et du PS sur une affaire qui semble les embarrasser tous deux…

    Monsieur Condamin-Gerbier dérangeait donc, et c’est ainsi qu’il se retrouve deux jours après son audition non pas protégé par les autorités françaises comme promis par les parlementaires lors de la première audition (il semble que le « détail » de sa protection consulaire en tant que ressortissant français ait en plus été « oubliée » par les autorités - cf le rapporteur de la commission d’enquête), mais tout simplement mis en cause sous divers prétextes dont celui de « viol du secret professionnel » (et comment faire autrement sous serment face à un juge : lui mentir ?). Cette mise en accusation fait suite à une courte - mais efficace - campagne de décrédibilisation à son encontre destinée justement à préparer l’opinion à son arrestation.

    Pourtant, qu’un homme qui a travaillé pendant plus de vingt ans pour « le grand capital » ne soit pas un saint, voilà qui n’étonnera personne. Et qu’on ait quelques reproches à lui faire non plus. Mais cela remet-il en cause l’exactitude des faits qu’il dénonce ?

    Bien sûr que ses motivations sont à éclaircir, et ses objectifs également. Mais ne doit-on pas faire une différence entre « celui qui dit » et « ce qu’il dit » ? 

    Enfin, toujours est-il que Pierre Condamin-Gerbier a pris des risques en dévoilant publiquement des secrets d’Etat. Pour son travail, pour sa réputation, pour sa liberté, et peut-être même pour sa vie. En expliquant comment l’Etat était évidemment au courant de l’existence du compte suisse de Jérôme Cahuzac et de ce genre de pratiques (puisque l’Etat lui-même a recours à des comptes offshore pour certaines de ses opérations secrètes), et surtout comment la question d’entraide fiscale posée à la Suisse par la France était sciemment « mal posée » pour éviter les recoupements avec d’autres personalités qui en auraient inévitablement découlés…L’Etat a donc volontairement protégé une classe politique corrompue qui risquait, à droite comme à gauche, de devoir s’expliquer publiquement sur l’existence de ces comptes.

    B€RC¥.......
    Il fallait donc se débarrasser de ce témoin gênant… Voilà qui est fait. L’Etat Français, avec la complicité de l’Etat Suisse, est en train de faire un autre Bradley Manning, un autre Edward Snowden, un autre Julian Assange… Aujourd’hui quand un homme dérange le pouvoir en dénonçant au peuple les exactions de ce dernier, il devient un ennemi à abattre au lieu d’être remercié comme un héros. Il y a beau jeu de dénoncer la corruption, les fraudes et d’annoncer vouloir « protéger » les lanceurs d’alertes, mais dans la réalité tout est fait pour les empêcher d’exister. 

    Que faire face à ces pratiques ? Comment doivent réagir ceux qui « savent quelque chose » qui puisse remettre en cause des pratiques pourtant illégales (en plus d’être immorales et anti-démocratiques) ? se taire et continuer de faire comme si de rien n’était, ou tenter de s’arranger avec sa conscience en occultant les informations qui la dérangent ?

    Je ne sais pas vous, mais moi je trouve que cela commence à faire beaucoup. Je ne suis pas indigné mais révolté par tant d’hypocrisie, de mensonges, de tromperies. Alors que les « plus modestes » ont des difficultés à se nourrir , nos gouvernants continuent de vouloir nous faire payer les erreurs et les mensonges de leurs prédécesseurs. Tout cela est proprement scandaleux, il faut faire quelque chose.

    En regardant rapidement sur internet, je n’ai pas trouvé de site qui laisse aux « lanceurs d’alertes » un espace dédié, ou qui prévoit une défense juridique pour les protéger ; j’ai trouvé un site qui fait le point sur le sujet, mais rien qui permette aux lanceurs d’alertes de dénoncer publiquement les fourberies d’untel ou d’untel. Peut-être me trompé-je, auquel cas j’attends vos liens, mais si ce site n’existe pas, il faudrait le créer. Que ceux qui seraient motivés par une telle création n’hésitent pas à me contacter, vous trouverez l’adresse de mon blog en fin d’article.

    Il faut dire qu’avec la spécialisation à outrance et la division du travail poussé à son extrême, on se retrouve un peu dans un monde orwellien ou chacun effectue une tâche précise sans jamais avoir une idée ni de la tâche sur laquelle travaille son voisin, ni de la vision globale à laquelle son travail participe. Mais si l’on considère le nombre d’individus qui disposent, à leur échelle, d’éléments plus ou moins compromettants, et que ces éléments étaient rapprochés en un même lieu d’autres éléments d’importances et de valeurs diverses -peu importe, alors on peut imaginer la force d’impact que pourrait avoir un tel site.

    Cela permettrait également de solidariser les « lanceurs d’alertes », et de les protéger collectivement, avec un service juridique dédié à la protection de ces personnes. La profusion des informations serait aussi pour les lanceurs d’alertes un moyen de se « fondre » dans la masse et de prendre moins de risques à dévoiler les corruptions, exactions ou mensonges dont ils sont témoins, pendant que la diffusion généralisée de ces informations à un grand nombre de citoyens permettrait de sensibiliser l’opinion à l’état réel de notre démocratie.

    Contrairement à la prudence la plus élémentaire, il faudrait que les « lanceurs d’alertes » ne soient pas anonymes mais assument leurs dires pour d’une part être crédibles dans leur engagement, et d’une autre part pour montrer aux autres qu’il n’y a pas à avoir peur. On pourrait tout à fait imaginer des « actions » brèves durant lesquelles de nombreux lanceurs d’alertes, à une date donnée, dévoilent tous en même temps leurs témoignages pour saturer les services de renseignements qui luttent désormais clairement contre l’établissement de la vérité. 

    Il faut que les témoins parlent, car leur silence finira par les rendre coupables. Que tous les Condamin-Gerbier qui savent et qui en ont marre de se taire fassent preuve de courage, que tous les Snowden se lèvent pour dénoncer les abus auxquels on les contraint, que tous les Assange diffusent et partagent les secrets dont ils sont en possession. Il faut que cela cesse, car autrement cela finira mal : les hommes dangereux ne sont pas ceux que l’on croit.


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  • Jusqu'à présent, à part la reprise ici hier du magnifique billet d'Ariane Walter, je n'avais pas fait état de ce qu'on appelle "l'affaire Cahuzac". J'attendais d'y voir un peu plus clair. Ce sujet fit pourtant les beaux jours de nombreux autres blogs, où j'ai pu m'exprimer un peu. Certains commencent à discerner où le bât blesse. Certainement pas de la façon où les patrons des médias veulent orienter le débat.

    Ne nous leurrons pas.

    Dans les hautes sphères politiciennes, les "blancs comme neige" doivent être aussi rares que les cafés glaciers du côté de Tombouctou. Il faut dire que les tentations doivent être quotidiennes, et que celui qui n’y met qu’un ongle finit par y passer tout entier. Comme le concluait Beaumarchais, "Qui diable y résisterait ?", malheureusement. Pire, il se pourrait (simple hypothèse) que les plus atteints par le syndrome de la triche et de l'entourloupe soient des personnages discrets fort peu connus du grand public, comme il en surgit à l'occasion de scandales particulièrement éclairants.

    Dans le milieu des "issus de Grandes Écoles", l’esprit de corps est tel que nécessairement on se passe des tuyaux, et nécessairement la "discrétion" est de mise. Même ceux qui n’ont pas suivi la filière peuvent, en fonction d’amitiés diverses, y être introduits. Entre cette oligarchie de fait et le reste de la population, le hiatus est total, le mur opaque, l’incompréhension réciproque, le mépris, voire la haine, la règle.

    On ne pourra sortir d’une telle situation sans issue, que par une mise à l’écart de tous ces personnages, et la mise en place de représentants récusables à tout moment, donc par l’écriture collective d’une nouvelle Constitution balayant tous les accords précédents sans exception, et repartant sur de nouvelles bases : il faut créer des principes moins viciés encore que la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, critiquée vertement par Robespierre en raison de la grande place accordée à la notion de propriété privée. La tâche est lourde, mais nécessaire.

    En effet, la propriété privée est un facteur de tentative de thésaurisation, de PROFIT, qui nécessairement a pour victimes d'autres personnes. La pire conséquence de ce genre de situation est la mise en esclavage de facto de ceux qui se sont endettés auprès de créanciers retors, cauteleux et  avides. Parmi ces créanciers, les banquiers bien sûr, qui prêtent ce qu'ils n'ont pas, mais aussi les employeurs qui utilisent l'effort de leurs œuvriers pour se constituer une pelote par un écart entre le coût physique et le coût financier : les prétextes ne manquent pas. Et l'employé est lié et emberlificoté dans la nécessité d'attendre de l'employeur une rémunération correspondant à une partie de ses efforts, afin de vivre. Le "contrat" est terriblement faussé.  Et encore bien plus faussé, quand des outils de plus en plus sophistiqués démultiplient toujours plus l'écart entre la richesse produite, et celle revenant à celui qui a fait les efforts.

    C'est pourquoi il faut remettre à plat toutes ces notions, comme Karl Marx en avait donné les raisons sans pour autant appliquer les solutions nécessaires. Ses "héritiers" ont en grande partie biaisé son message, et les mesures en découlant. Il faut donc s'y atteler à nouveau.

    De temps en temps, des citoyens tentent de mettre sur pied cette écriture d’une nouvelle Constitution, à l’écart des institutions actuelles pour qu’elles n’y imposent pas des conditions rendant tout ce travail inutile. Ainsi, en 2011 Caleb Irri avait lancé un tel défi : j’y ai répondu, mais fort peu d’internautes ont donné suite, et on n’en parle plus guère. C’est profondément dommage.

    Les Français seraient-ils donc vraiment "des veaux" ?


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  • Le dernier opus d'Ariane Walter est incontournable. Lisons ensemble...

    Cahuzac: l’iceberg a coulé le Titanic


    Cahuzac a menti devant ses pairs. Impair et passe.

    Certains s’étonnent de son aplomb. Mais comment a-t-il pu mentir avec une telle assurance ? Les yeux dans les yeux ? En bloc et en détail, formule aussi ridicule, soufflée par une agence de com, que le dossier que brandissait DSK devant Chazal !

    Il n’y a pas menteur plus convaincant que celui qui joue gros. Il déploie l’énergie du désespoir, en jetant ses dernières forces dans la bataille. Pour convaincre. Je l’avais découvert dans ma petite vie, jeune prof, trouvant un élève son cahier sur les genoux qui me jurait ses grands dieux, avec des accents de sincérité bouleversante, qu’il ne copiait pas. Le culot naît de la peur de tout perdre.

    Mais peu importe.

    Soyons sûr, du moins, que les preuves étaient telles qu’il ne restait qu’à les reconnaître. Cahuzac n’est pas admirable : il est coincé. Mais est-ce une faute grave ? Qu’a-t-il fait, après tout ?

    Ce qu’on lui reproche, nonosbtant le concert des vierges effarouchées de la politique, me paraît une bricole.

    Il a ouvert un compte dans un paradis fiscal. (Si tu n’as pas de compte dans un paradis fiscal avant cinquante ans, tu as raté ta vie). Et « il aurait » été acheté par quelque lobbyiste, tombant dans le piège du conflit d’intérêt. Alors là, si on démissionne les députés pour de telles broutilles, il n’y aura plus grand monde à Paris et à Bruxelles dans les assemblées ! C’est le tout venant ! Le BA-BA de la fonction parlementaire. Demandez à DSK, qu’on payait en chair fraîche, ou à Guérini, dont les frais d’avocat seront payés par le contribuable, suite à un vote du conseil général !

    « Cahuzac déconsidère la vie politique ! »
    Pauvre vie politique !

    En France, nous vivons une guerre des gangs.

    Hier nous apprenions le suicide de Noël Robin, sous-directeur des affaires financières de la PJ. Dans une voiture banalisée de police. Une idée qui, soudain, lui a traversé la tête. Et pas qu’une idée. Suicide qui vient après celui de Metzner. Tous les deux s’étaient occupés de l’affaire Bettencourt. Heu…C’est quand même un peu zarbi, non ?

    Comptons les cadavres, comme après une soirée bien arrosée. D’un côté le clan Fauxcialiste : DSK a été débarqué avec une violence qui ressemble à une belle punition mafieuse. Là-dessus mort de Descoing , le directeur de Sciences-po, ami de DSK, que celui-ci, ai-je lu, voulait comme premier ministre. Le dit Descoing, mort dans un hôtel de New-York après s’être énervé avec son ordi qu’il avait jeté par la fenêtre. Là -dessus mort, d’Olivier Ferrand, fondateur de Terra Nova . Arrêt cardiaque après un footing. Mort naturelle. On le souhaite. Puis Cahuzac, qui est traité comme on traite les puissants. On leur fait des dossiers et on laisse mûrir. Certains s’étonnent de voir quelqu’un qui garde des années un enregistrement téléphonique compromettant. Ce n’est pas étonnant. Cela se fait tous les jours. Des enregistrements, des photos, des films.

    En face le clan Sarko. Woerth, Lagarde, et maintenant le chef Sarko lui-même avec une accusation sur le dos, qui le rétame complètement et qui , au moment où il est accusé, a ce cri : « Non, ce n’est pas terminé ! » C’est-à-dire ? Si le juge Gentil se suicide…

    Quel monde !

    Au milieu de ces gangs, Mediapart est un peu la boîte aux lettres des doges dans la Venise antique. Ce n’est pas que je veuille rabaisser ce « journalisme d’investigation », mais il faut quand même être persuadé que Mediapart attaque avec les munitions qu’on lui porte. De la même manière que le Washington Post était fourni par les ennemis de Nixon.

    Donc, n’en doutons pas, Cahuzac est un des cadavres du Cluedo . Les grands clans politiques, après avoir été en contact avec les mafias, par le biais de leur police et de leur renseignements, sont-ils devenus des mafias ? (Forme interrogative prudente.) Il n’y a pas que dans les rues de Marseille que l’on découvre des corps au petit matin.

    « Ah ! Tu me dénonces, hé bien , voilà pour toi ! »

    Plus quelques suicides ou suicidés.

    Et il nous faut supporter ça ! Pendant ce temps, le petit peuple doit travailler, se taire et rembourser des dettes odieuses qui ne lui incombent pas !

    Mais revenons à Cahuzac.

    Oui, Cahuzac a menti , les yeux dans les yeux. Mais il n’est pas le seul.

    Il y a un certain Hollande qui doit démissionner.

    Lui aussi a menti, les yeux dans les yeux.

    Il s’est présenté sous l’étiquette d’un parti de gauche et il mène une politique non pas de droite, je ne veux pas insulter la droite, la vraie, composée d’êtres humains, mais une politique Bruxelloise de soft goulag. Il vend son pays en bloc et en détail.

    Il a prétendu que le TSCG, préparé par ce chien de Sarkozy, serait amélioré par ses soins. Il a menti. Il n’en a rien fait. Il a menti à la Nation.

    Il a prétendu qu’il s’attaquerait à la finance. Il n’en a rien fait. Son action pour séparer banque de dépôt et d’investissement fait rigoler.

    Il prétend que l’ANI, qui va être voté début avril est un accord de flexibilité favorable au travailleur. Il ment. C’est tout le contraire. Cet accord fera du travailleur un Chinois de Foxconn.

    Voilà des fautes qui vont porter sur des générations et des générations. Autrement plus graves que les jeux de cache-cache de Cahuzac . Et Hollande s’indigne qui fait mille fois pire! 
    Cet employé de la finance internationale qui régit nos vies et signe des hold-up !
    MAFIAS !

    Autre mafia bien installée : cette presse propagandiste , tous ces medias main-stream qui mentent à longueur d’émission. Apathie en est le fleuron. Canal plus doit renvoyer Apathie. Il sera désormais impossible de regarder « le grand journal », si mal nommé, en le voyant pérorer avec autorité quand on sait la plantade lamentable , honteuse, qui a été la sienne dans cette affaire. Tu es mort Apathie . Ça aussi c’est une bonne nouvelle. Toi et tous les autres, les Cohen, les Bourdin, les Ruth El Krieff, tous les petits marquis et petites marquises de la presse, payés à prix d’or pour mentir au peuple et le précipiter dans le désordre catastrophique, programmé, d’une vie sans espoir.

    Menteur abject, le FMI qui fait croire qu’il aide des peuples qu’il égorge.

    Menteur criminel cette CIA qui organise le commerce de la drogue et dévaste tous les continents.

    Menteur effroyable, cet Eurogroup qui fait croire qu’il fait payer les riche Russes de Chypre quand ceux-ci ont pu retirer leurs fonds plusieurs jours avant le blocus !

    Bref, Delapierre , pour tout ce joli monde, « salopard » est une litote. 

    Ceci étant :
    -Il est impossible que Hollande continue à gouverner un pays, lui qui est incapable de savoir, au sujet de son ministre, ce que certains journalistes et toute sa cour savent .
    - Nous voulons des élections où aucun homme politique, touché par l’ombre d’une affaire, ne puisse se présenter.
    -Nous voulons une sixième république.
    -Nous voulons que la France sorte de l’Europe des banques et travaille à une Europe des peuples.
    -Nous voulons que nos richesses, notre travail, nous appartiennent.
    -Nous demandons un audit de la dette. Cette dette est odieuse et doit être renégociée.
    -Et dans un premier temps nous refusons, fortement, que notre pays signe l’ANI. Même des socialistes font circuler une pétition pour le refuser ! Tous les députés, toutes tendances confondues doivent s’unir contre cette faute ! Qu’ils ne critiquent pas Cahuzac, alors que beaucoup sont dans le même cas, au moment de se déshonorer en détruisant le code du travail !

    Le Titanic coule depuis hier.

    Entendez les cris, partout, autour de vous.

    Mais c’est le peuple, cette fois, qui va se sauver.

    Cet article a été publié dans Le fil d'Ariane, Non classé, Politique avec les mots-clefs , , , , , , , , , , , , , , , . Bookmarker le permalien. Laisser un commentaire ou faire un trackback : URL de trackback.

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