Le journal des Banksters de la City de Londres a encore frappé ! Je vous conseille d'aller voir ce qu'il annonce chez
les Moutons Enragés.
Un extrait remarque :
The Economist de Londres, l’hebdomadaire réputé exprimer sans complexe le point de vue des banquiers de la City, exhibe une fois de plus son agenda impérial. Alors qu’en Europe plusieurs voix tentent d’éteindre le feu de la crise ukrainienne, le magazine britannique insiste que, « bien que ce soit difficile », un affrontement nucléaire avec la Russie est plus que jamais nécessaire.
C'est clair, depuis très longtemps notre grand ennemi est là. Il a des tentacules partout, dont l'un particulièrement virulent à New York, dans DownTown Manhattan. Les banques y sont un peu moins voisines que dans la City originale, 2,9 Km², la taille de l'île de Bréhat, mais 350 banques, presque autant que d'habitants sur l'île.
Ne nous leurrons pas, s'il fallait utiliser le nucléaire pour sauver notre planète, c'est bien ce petit rectangle qu'il serait nécessaire de cautériser. C'est là qu'aboutissent toutes les filières de l'argent sale, des paradis fiscaux. C'est là que "blanchit" complètement cette finance (ou du moins c'est ce que se figurent ceux qui en ont l'usage, alors que c'est au contraire le fruit du vrai labeur des humains qui est ainsi sali à jamais). Ce petit État dans l'État qui bien entendu, nous sommes en Angleterre, n'est pas officiellement considéré comme vraiment tel, a plus de puissance que l'Empire Britannique, précisément sans doute parce qu'officiellement, il n'existe pas vraiment.
Il est dommage de penser que les autres quartiers placés autour de celui-là, généralement bien plus populaires, souffriraient beaucoup d'une telle opération d'éradication. Un jour ou l'autre, avec d'autres moyens donc, il faudra bien que ce chancre purulent disparaisse. Et qu'avec lui sans doute, disparaissent ces informelles assemblées périodiques de "grands de ce monde" que sont le club Bilderberg, la commission Trilatérale ou plus prosaïquement "le dîner du Siècle" où se discutent entre la poire et le fromage des destinées d'États et de dirigeants démocratiquement élus : la plaie pour des Maîtres du Monde particulièrement dirigistes.
Œuvrons tous pour qu'enfin arrive cette époque bénie, où ce ne seront plus des souverains pleins de morgue, des administrateurs de sociétés géantes, des "communicateurs" rodés aux méthodes de Bernays, qui décideront de l'avenir de chacun sur cette Terre. Qu'on ne s'y trompe pas : si nous, simples "citoyens" réduits pratiquement au rôle d'esclaves, ne bougeons pas, ce sera toujours pire jusqu'à l'extinction de la race humaine.
R É A G I S S O N S