• La France n'a plus de Constitution, et navigue "à vue", ou plutôt "en aveugle"

    Une intervenante sur le réseau social VKontakt avait émis cette phrase dans l'une de ses intervention :

    « La France n'a plus de Constitution depuis le 1er janvier 2017, car il faut s'appuyer sur le Décret n° 2016- 1675 signé par Manuel Valls le 5 décembre 2016 : il place l'autorité judiciaire sous la coupe des pouvoirs politiques, ce qui viole la séparation des Pouvoirs. »

    (cela concernait la création d'une inspection sous l'autorité directe du Garde des Sceaux, chargée d'inspecter tous les magistrats, donc éventuellement de les faire sermonner s'ils ne travaillent pas dans le sens où le gouvernement veut que les choses fonctionnent : on le voit très bien, les vrais coupables importants sont complètement impunis, la moindre peccadille de la part d'un citoyen "normal" est impitoyablement réprimée)

    En fait, c'est depuis le 4 février 2008 que nous n'avons plus de Constitution : le jour où par un coup d'État parlementaire les pseudo-représentants du Peuple ont entériné le déni au Peuple de sa décision du 29 mai 2005 de refuser l'union européenne (des banquiers) : tout ce qui pouvait être pris comme décisions désormais par ces renégats n'avait plus aucune valeur, plus rien ne comptait.

    Certes, depuis il y a eu "des élections" : a-t-on jamais vu pire pantalonnade, pire poudre aux yeux pour cacher que tout était truqué au-delà de toute décence, de toute vraisemblance ?

    C'est pour cette raison, entre autres, que selon le Droit International, le vrai, à tout moment le Peuple français peut et doit reprendre la main : cela implique de facto la reconnaissance que nous sommes pas, nous n'avons jamais été dans l'union européenne et ses contraintes souvent imposées à notre détriment.

    Cela veut dire aussi que l'UPR fait bien rire avec son article 50 du TUE "pour sortir de l'union", avec la perspective d'attendre au moins deux ans de finir d'être plumés avant d'être enfin libres : il nous appartient de le décider maintenant, unilatéralement.

    Le Pardem, Parti de la Démondialisation, a d'ailleurs déjà écrit tout le processus permettant de mettre en œuvre cette liberté et cette souveraineté populaire. Pourquoi s'en priver ?

    (Oh, certes, comme le Pardem est dangereux par le contenu de ses travaux particulièrement pertinents, vous n'en entendrez jamais parler dans "lémédia")

    http://pardem.org/programme/intitule-des-10-parties-du-programme


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