• N'ayons pas peur des mots : DICTATURE

    Malgré tout, même sur Le Grand Soir, certains de nos amis pourtant bien informés il me semble, hésitent encore à avouer que OUI, nous sommes bien complètement dans une dictature, une dictature qui refuse de dire son nom, une dictature qui censure à perdre haleine, une dictature qui interdit de clamer en public des faits avérés, une dictature qui empêche les citoyens de se soigner avec des moyens sûrs, éprouvés, et d’un prix dérisoire (ah oui, là cela choque ces messieurs, que l’on puisse se soigner pour presque rien, que l’on puisse dénoncer que si la Sécu manque d’argent, c’est parce qu’ils ont puisé allègrement dans la caisse).
    Oui, nous sommes dans une dictature, où seules certaines minorités au pluriel ont le droit de tenir le haut du pavé, où un journaliste n’a que le choix entre accepter de ne dire que ce qui correspond au récit du moment, ou rester chômeur ; oui, nous sommes dans une dictature, où "les représentants du Peuple" ne sont, dans leur majorité, que les clients de quelques Grands Argentés et obéissent sans murmurer, ou pire, avec allégresse et promptitude ; oui, nous sommes dans une dictature où bien trop de médecins, de juges, de chefs d’entreprises sont les faire-valoir de ce qui se décide quelque part en leur absence. Eh bien, si c’est UNE DICTATURE, dictons, parlons, écrivons jusqu’à ce qu’un évènement ne nous prive de continuer à dénoncer. Je ne sais plus qui avait dit "Le Juste meurt une fois, le pleutre plus de mille..."

     

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