• Cette vieille affaire remonte à la surface. Dans la nuit des 7 et 8 novembre 2008 aurait été sabotée une ligne de chemin de fer par destruction de caténaire. On n'a jamais vu le "fer à béton" qui aurait été la cause de l'incident. Celui qui a été présenté à la presse était neuf, et intact. Il n'aurait pas manqué d'être tordu.

    Voilà un bon prétexte, pour le gouvernement Sarkozy de l'époque, pour arrêter des autonomistes adeptes d'un retour à la vie saine, installés dans ce village bien loin de toute polémique qu'est Tarnac, à 7 ou 800 mètres d'altitude dans la forêt corrézienne. Ils cultivent des légumes sans engrais industriels, et les vendent dans l'épicerie locale qu'ils ont remise sur pied. C'est effectivement.... révolutionnaire ! Ne plus vouloir dépendre de la Grande Distribution, quel sacrilège !

    fer à béton, même pas déformé par un choc
    Arrestations, garde à vue, prison provisoire pour le "chef" supposé, Julien Coupat pendant 6 mois (prolongée par un contrôle judiciaire strict pendant 7 autres mois), pour sa compagne Yildune Levy pendant trois mois. On ne rigole pas avec la ministre de l'intérieur de l'époque, Michèle Alliot-Marie. Mais en fait, le dossier est vide. Pire, des indices incitent à incriminer une manipulation de preuves et de mises en scène par la DCRI. Le coupable serait donc.... le gouvernement !

    Coup de théâtre ! Après 6 ans où l'État a fait profil bas pour tenter de faire oublier ses petites manœuvres, voilà que le parquet relance l'affaire. Il est possible qu'il lui ait fallu un certain temps pour fabriquer de nouvelles "preuves", la suite des évènements nous le dira... peut-être. Mais au grand dam du successeur d'Alliot-Marie, le juge d'instruction récuse le 8 août l'accusation de "terrorisme", pour ne garder que "la dégradation de biens publics", qui risque très fort de ne même pas être prouvée au tribunal correctionnel.

    Qu'à cela ne tienne ! Le 10 août le parquet fait appel de la soustraction du terme terrorisme, du dossier. A nouveau se fait jour l'acharnement qui a toujours prévalu dans  cette affaire. Pour rappel, le magasin général de Tarnac était sur écoutes depuis au moins 2008, et Julien Coupat surveillé depuis 2002. En cause un opuscule "La révolution qui vient", dont il nie être l'auteur. En fait, les deux quinquennats successifs misent sur une criminalisation de "tout ce qui dépasse", qui n'accepte pas la doxa officielle, celle des grands merdias et des annonces gouvernementales.

    Il s'agit de détourner les regards des catastrophes environnementales, sociales, économiques que la Hollandie déploie à grandes volées chaque jour. Destructions volontaires d'emplois, gaspillage de l'argent public (voir le dossier Mistral, les Grands Projets Inutiles Institutionnels...), soutien zélé et inconditionnel aux exigences de Bruxelles et Berlin, destruction volontaire du tissu administratif au bénéfice de l'union européenne et du TTIP en devenir proche, création et vote de lois scélérates pour museler toute opposition par la force et la violence. Désormais la moindre manifestation, même dûment déclarée, peut se voir opposer "du lourd", voire du criminel. On se souviendra toujours de Rémi Fraisse, assassiné dans le dos alors que simplement "il était là" sans arme. Cela explique fort bien désormais jusqu'où est prêt à aller un gouvernement sans scrupule ni éthique, fort de ses convictions anti-société, anti-avenir, anti-humain : un gouvernement terroriste, en somme, et qui l'assume. Comme on dit, "un valet" de Bruxelles, et par les deux canaux bruxellois (UE et OTAN) de Washington, volets militaire et financier, voire politique.

    Désormais, le monde entier est aux mains de quelques individus (avec tout ce que cela peut avoir de péjoratif) non humains, qui par sociétés-écrans successives et nombreuses le POSSÈDENT. On ne peut déterminer exactement qui ils sont tous, mais déjà la liste des fondateurs de la Réserve Fédérale US en donne une bonne idée, puisque cette institution est une simple banque privée qui leur appartient. De père en fils.

    - Alfred Rothschild
    - Paul Warburg de Kuhn, Loeb & Co
    - Lazard frères
    - Lehman brothers
    - Goldman Sachs
    - Rockefeller (la famille)
    - JP Morgan (la famille)

     Le couple ARGENT-POUVOIR est le seul justificatif, pour des personnages qui ne connaissent pas les mots solidarité, citoyen, fraternité humaine, empathie, et probablement pas le mot bonheur.

    4 commentaires
  • L'ami Sydne93 nous gratifie d'un magnifique billet. Le voici.



    #Hollande: le président qui réhabilite #Sarkozy.

    20 Fev
    Depuis peu, il n’est pas un média, pas un journaliste, pas un éditorialiste qui ne relaient pas cette nouvelle insensée: Sarkozy reviendrait en 2017. Les fidèles parmi les fidèles du président perdant n’avaient jamais cessé de plaider sa cause. Mais ils étaient trop peu, la mayonnaise ne prenait pas. C’était juste impossible. Car jamais un président n’avait à ce point perdu une élection sur la seule dynamique du rejet. Alors pourquoi, depuis ce début d’année 2013, le retour d’un Sarkozy au sommet de l’Elysée devient-il à ce point crédible? La réponse à cette question n’est pas à chercher du côté de son propre parti. Fillon, Copé, Raffarin et quelques autres n’en veulent surtout pas et ne font rien pour promouvoir le retour de Nicolas. Mais alors, où peut-on, où doit-on chercher pour obtenir la réponse à cette énigme? Tout simplement du côté du locataire actuel du palais.

    Dès l’été, la politique sécuritaire et xénophobe en matière d’immigration de Nicolas Sarkozy avait été validée par le ministre de l’intérieur de François Hollande. Les Roms, maltraités et pourchassés par l’ancien chef de l’état, au point de voir la France condamnée par l’Union Européenne en raison de circulaires et de pratiques incompatibles avec les droits de l’homme, ont été maltraités et pourchassés de la même manière, absolument la même. Pourtant, que n’avait-il pas protesté le parti socialiste lorsqu’il ne détenait que les pouvoirs locaux et pas encore les pouvoirs nationaux. Mais le ministre de l’intérieur ne s’est pas contenté de cibler les Roms. Il a établit des quotas de reconduites à la frontière, à l’unité près, identiques à ceux que ses prédécesseurs avaient édicté. Et fin 2012 le bilan chiffré est tombé: Valls a fait mieux que Guéant avec plus de 32 000 expulsions. Sur ce thème privilégié de la droite la plus réactionnaire le changement n’a pas eu lieu, la continuité a œuvré.

    Toujours durant l’été, puis durant tout l’automne, la politique des privilèges accordés au Medef s’est intensifiée. Tout a commencé par le défilé en grande pompe du gouvernement de Jean-Marc Ayrault aux universités d’été de l’organisation patronale. Et pour leur dire quoi aux patrons? On vous a compris. Alors, les exonérations de cotisations, les allègements fiscaux se sont accumulés. Avec pour point d’orgue cette incroyable TVA anti sociale et ce non moins incroyable crédit d’impôt de 20 milliards accordés à toutes les entreprises de France, y compris celles du CAC 40. L’instauration d’une TVA anti sociale avait été le dernier acte économique de Nicolas Sarkozy. Sur ce thème privilégié de la droite la plus réactionnaire le changement n’a pas eu lieu, la continuité a oeuvré.

    A la fin de l’automne, les députés socialistes ont voté avec les députés de l’UMP le TSCG, puis la loi organique instaurant la règle d’or. Dès lors, François Hollande est parti à la chasse “aux dépenses inutiles”, le leitmotiv récurrent d’un Nicolas Sarkozy enragé contre les services publics. Les collectivités locales dépensent trop, donc on leur sucre 3 milliards. Les chômeurs sont trop indemnisés, alors le président socialiste de la cours des comptes préconise une baisse des allocations. Ce même président de la cours des comptes, un certain Migaud nommé par Sarko, qui tel un fayot un peu nigaud plaide maintenant pour la taxation des allocations familiales dans une période où les familles n’ont jamais été autant surendettées. Sur ce thème privilégié de la droite la plus réactionnaire d’un état qui vit au dessus de ses moyens le changement n’a pas eu lieu, la continuité oeuvre encore.

    Au début de 2013, plutôt que de venir en soutien aux salariés licenciés en masse, le ministre du travail annonce que son gouvernement adoptera à la lettre l’accord Medef de précarisation du salariat signé le 11 janvier. Le 31 décembre 2011, rappelez-vous, Nicolas Sarkozy promettait la fin du code du travail, ce petit livre rouge qui entrave la liberté des patrons selon les mots de Laurence Parisot. Les salariés protestent, ripostent, manifestent, font grève. Manuel Valls leur envoie les gendarmes mobiles, les matraques et les gaz. Parce qu’un salarié qui manifeste, parce qu’un salarié syndiqué, c’est un salarié qui casse l’outil de travail. Alors que les patrons, eux, font ce qu’ils peuvent dans cette période difficile…Sur ce thème privilégié d’une droite réactionnaire qui raille le syndicalisme ouvrier le changement n’a pas eu lieu, la continuité fait rage.

    La société et ses pratiques politiques allaient changer. Le parlement ne serait plus insulté en permanence par un hyper président qui le musèlerait. Il n’est pourtant pas un jour où les quelques députés socialistes qui voudraient voter en leur âme et conscience contre un projet qui va à l’encontre des intérêts populaires ne soient rappeler à l’ordre. Hier, Sarkozy était accusé d’instrumentaliser la guerre pour regonfler son maigre 37% d’adhésion à sa politique, aujourd’hui Hollande n’arrive pas non plus à regonfler son maigre 37% à lui. La chasse aux cumulards serait menée. La chasse aux cumulards est reportée. Le droit de vote aux élections locales des étrangers non communautaires deviendrait réalité, cela restera une chimère pour tenter de mobiliser les troupes socialistes qui ne savent plus où elles habitent depuis le 6 mai 2012.

    Même sur les questions sociétales, le changement n’a pas eu lieu, la continuité continue encore et encore…Heureusement pour ces troupes socialistes, le mariage pour tous leur permettra de tenir encore quelques semaines, peut-être même quelques mois. Pourtant, elles ont senti le vent glaciale du renoncement ces troupes socialistes lorsque le président Hollande avait évoqué un droit de retrait possible pour les maires récalcitrants.

    La politique de Sarkozy ne marchait pas, donc celle de Hollande ne marche pas. Les plans sociaux se multiplient, le chômage explose, la croissance bien qu’implorée boude une Europe plus austère que jamais. Sauf qu’avec Sarkozy il n’y avait pas tromperie sur la marchandise. L’homme se revendiquait de droite, ultra libérale, pour les puissances d’argent et le grand patronat. Il n’hésitait pas à insulter d’un “cass toi pauv’con” des ouvriers en colères, leur dépêcher des CSR. Et il savait instrumentaliser les peurs, les utiliser pour apparaître comme un rempart. Alors faites ce petit pas de côté et regardez comme nous le faisons A gauche pour de vrai! ce début de quinquennat de François Hollande. Vous découvrirez alors à quel point l’actuel président réhabilite les errements de l’ancien président. Et sans aucun doute favorise-t-il, tout comme son prédécesseur, la banalisation du brun le plus agressif

    Sydne93

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  • Des polémiques se développent à propos des politiques de l'ancienne équipe, celle d'avant  mai 2012, et celle qui sévit maintenant. Volent encore des mots, rien que des mots, comme "Droite-Gauche", qui dans ce contexte n'ont qu'une signification très marginale.

    En fait j'ai constaté quelque chose d'assez remarquable, me semble-t-il.

    Le sarkozisme, s'il avait persisté, aurait largement continué à détruire choses et gens dans le brouhaha, l'incohérence et la très courte vue.

    Le hollandisme sait détruire méthodiquement, tranquillement, implacablement, avec semble-t-il une certaine vision de l'avenir - qui n'est pas la nôtre bien entendu.

    Il s'agit bien entendu de deux options irrecevables dont la finalité voulue ou inéluctable est la construction d'un chaos, où même la finance finira par s'engloutir après y avoir précipité le monde entier. Se valent-elles ? Après, il s'agit de la sensibilité de l'observateur qui détestera  davantage l'une ou l'autre, sur des détails comme les histoires de mariage pour tous ou l'aide à choisir sa fin. Ces détails sont désormais tout ce qui, dans l'appréhension des évènements, des polémiques, des projets de lois, marque encore la différence aux yeux de la Presse et des médias en général entre la Droite et la Gauche. Le reste ? Eh bien, le reste elle n'en parle pas. La droite, la gauche, cela avait une signification en 1789, une signification géographique à l'Assemblée Constituante.

    Un exemple : il a été évoqué au temps de Sarkozy une concentration libérale et sauvage des labos d'analyse médicale  (ordonnance du 13 janvier 2010). A-t-on entendu parler d'un infléchissement à ce propos, de la part du nouveau staff (il aurait pu simplement dire : le projet est annulé, par une nouvelle ordonnance) ? Rien du tout. Ou voit-on un changement de politique vis-à-vis des établissements privés d'éducation, privilégiés dans leurs financements depuis un certain temps déjà ? Que nenni. Ou encore, quid des mesures prises envers les Rroms, en-dehors du fait que cette affaire-là est désormais bien moins médiatisée ? Circulez, il n'y a plus rien à voir alors que la continuité se déroule sans le moindre seuil. Les banques d'affaires seront-elles séparées des banques de dépôt ? D'une façon si marginale qu'elles-mêmes ne crient même pas. Et ainsi de suite. Le TSCG est passé comme une lettre à la poste. Les opposants continuent à être criminalisés "par la bande".

    Une opposition officielle existe, un peu pâle sur bien des aspects : c'est le front de gauche. Brocardé par lémédia, boycotté par eux quand il pourrait démontrer sa force, il avance avec difficulté. Certes, sur de nombreux points ses positions sont proches de "l'officielle", on l'a vu en Libye où il ne s'est pas insurgé contre une invasion réelle et illégale. On l'a vu au Mali, où ses critiques manquaient de virulence. On le voit à propos de Grands Projets Inutiles Imposés, où il ne tonne pas vraiment contre l'inadmissible, et contre les répressions qui blessent les opposants. On le voit à propos de l'union européenne, dont il ne préconise pas franchement la sortie en vue d'un changement radical d'orientation politique et financière (sans cette sortie, on ne peut pratiquement rien faire). On le voit à propos d'écologie, où subsiste en son sein des dissensions importantes.

    Quelqu'un va peut-être soulever ce qu'il croit être un lièvre : "Et le Front National, n'est-il pas une force d'opposition ?" On notera que celui-ci n'est jamais bousculé par lémédia, afin de dévoiler son programme et de se le faire critiquer. C'est qu'à part faire porter sur quelques nécessaires immigrés que "nos" employeurs sont bien heureux de trouver, le poids de tous les maux comme le chômage ou la dette, la politique de ce mouvement-là est exactement celle des deux "frères ennemis" cités plus haut. Le FN n'a rien contre l'Europe financière, pourtant la cause essentielle des ennuis hexagonaux. Donc objectivement il fait partie de la majorité actuelle, d'autant que le ministre de l'Intérieur ne le désavouera pas. J'en vois qui vont sauter sur leur siège. C'est pourtant un fait.

    Restent ceux qui, oubliés, proposent une nouvelle voie plus radicale, bien que non-violente. Leur vitrine actuelle incontestable est la ZAD de Notre-Dame des Landes, où s'autogèrent des militants de tous milieux, mais souvent diplômés. Pas de chefs, pas de grandes structures verticales. Le principe "de chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins" est appliqué, car toutes les tâches se valent quand elles sont nécessaires.  Un ami a récemment écrit un essai sur la question. La diffusion est pour le moment confidentielle, en attendant un vrai éditeur. Cela s'intitule "jeune Utopie et manifeste Anarchie". On ne le sait pas, généralement : l'anarchie n'est pas le désordre, à la différence souvent du libertarisme. L'anarchie est l'absence de hiérarchie, étatique, dans les tâches à accomplir, dans d'hypothétiques religions ou "partis" tous rejetés indistinctement. Ne sont acceptés que les humains, tous égaux, tous différents. A eux ensuite de décider collectivement de ce qu'ils vont faire : les anciens de la ZAD, ceux qui avaient connu d'autres luttes, d'autres contextes, ont été un peu déconcertés au départ par ce parti pris de la décision commune. Cela impose à chacun de se sentir responsable, alors qu'on le voit bien : le système actuel s'ingénie à ne faire porter la responsabilité des pires vilenies sur personne.

    La voie différente sera nécessairement exigeante.  Si, comme il le serait indispensable, elle se met en place, les enfants de cette nouvelle donne accepteront bien plus facilement cette notion grande, belle, mais plus difficile, de responsabilité de chacun pour la réussite de tous.

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  • Tout laisse à penser que lors du vote historique - encore un ! - où les parlementaires français devront rendre leur vote concernant la ratification d'un traité que Nicolas Sarkozy a déjà signé, les troupes de François Hollande ne feront pas barrage. Cela passera comme une loi sur la position des "dispositifs réflectorisants des véhicules". C'est pourtant une nouveauté majeure, aussi, voire plus importante que la loi 1973-7 du 3 janvier 1973, celle qui a rendu inutile la Banque de France.

    Cette fois, il s'agira tout simplement de la mort du parlement. Le vote du budget est l'un des gestes essentiels de nos députés et sénateurs, il oriente pour un an le cadre dans lequel les ministères devront évoluer sans le dépasser. Or cette fois, les parlementaires iront une fois pour toutes décider que c'est la Commission de Bruxelles qui donnera son quitus, ou pas, à ce qu'ils auront préparé chaque année. Si ce n'est pas un transfert de souveraineté ! Se rendent-ils compte de leur responsabilité ? Se rendent-ils compte de la responsabilité de ceux qui leur soumettront ce vote, plutôt que de faire appel au peuple souverain ?

    Accomplissant quelques rangements, j'ai retrouvé une sortie papier d'une affichette "humoristique"  en 2005 avant le référendum sur le TCE, ce Traité pour la Constitution Européenne que les français, citoyens exemplaires, ont décortiqué ensemble dans le calme afin d'en déceler les avantages et les pièges. Chacun se souvient du verdict : REFUSÉ ! ce qui n'empêcha pas l'Exécutif de l'époque de passer outre en faisant voter les parlementaires sur un texte modifié beaucoup sur la forme, fort peu sur le fond.

    Il y a une chose curieuse dans cette affiche : elle est encore tout-à-fait au goût du jour. Les protagonistes sont les mêmes, les enjeux peut-être encore plus grands, les victimes toujours les mêmes.


    On s'y croirait, n'est-ce pas ! (non je ne sais pas qui en est l'auteur)

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