• Situation française : ne rien faire, ou.....

    Je crains, hélas ! et compte tenu de tout ce que nous savons, nous qui avons la chance d’en parler sur LGS et parfois ailleurs, que  :

    si nous voulons en sortir, il faut virer cette clique immonde et nombreuse AVANT 2022. D’ailleurs je me suis fait cette réflexion : de quels bas-fonds putrides et inconnus ont pu surgir ces candidats parlementaires, qui comme par hasard ont été "élus" en masse alors qu’ils étaient tous inconnus ? La connivence a dû être énorme entre des politiciens, des financiers, des personnels futurs élus et déjà triés prêts à servir, sur le seul critère d’accepter tout ce que dira le chef même si c’est incohérent. La cellule très spéciale de gestion des élections place Beauvau a fait le reste dans une transparence de "corps noir". Quand la malhonnêteté la plus systématique est au pouvoir, seule la force peut l’en extirper. Aussi longtemps que ce Système sera là, les urnes ne seront que le prétexte à ce que tout continue.

    Ce n’est pas pour rien que l’Association Pour Une Constituante avait depuis longtemps préconisé de remplacer la présidentielle par la mise en place d’une Assemblée constituante. Seule difficulté : par rapport à cette époque-là, il y a six ou sept ans, la situation générale s’est tant dégradée sur beaucoup de points, qu’une Constituante n’est pas possible à réunir même d’une façon complètement indépendante du pouvoir en place : la liberté de réunion est de fait complètement bafouée sous des PRÉTEXTES sanitaires. Il faut donc faire place nette avant toute autre initiative, on n’a même plus le choix qu’entre cela, et NE RIEN FAIRE.

    Je déplore que certains en soient encore à penser dans une perspective marxiste : nous avons tellement dépassé ce stade, où les autorités avaient encore un peu d’éthique pour maintenir un semblant de légalité, que désormais ils ne se cachent même plus. Le Reich de 1936 maintenait encore un semblant de légalité. Ce stade est dépassé. Nous en sommes là ? Oui, à mon avis nous en sommes là. Cela ressemble, je le crains, à la situation en Allemagne de 1944. Seule différence, apparemment : ce n’est plus UN homme qui a fait sauter les plombs, mais toute une classe politique, pseudo-intellectuelle, "journalistique" (ouf, les toilettes ne sont pas loin), "philosophique" qui a complètement perdu le sens des réalités, parce qu’elle a décrété que la réalité, c’est elle.

    Reste à prendre toute cette réalité en compte, et d’agir en conséquence. Pour nos aînés, qui ont fait ce qu’il fallait, parfois au prix de leur vie. Pour notre descendance à laquelle, je pense, ceux qui ont compris doivent se dire qu’ils ne vont pas léguer cette chienlit pestilentielle. Ne nous trompons pas de combat ! Il reste, malgré toutes les apparences, un combat de classes. Sauf que ce n’est pas celui de 1871, ni celui de 1936, ni même que celui de 1945. C’est nouveau. Il va falloir presque tout réinventer. Cela fait peur ? Oui.


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