• La France ou Macron, il va falloir choisir

    le choix

     

     

     

     

    Le grouillot de banque mis en place par ses patrons au 55 rue du Faubourg, grâce à un simulacre d'élection comme la fois précédente, doit sûrement être vu avec orgueil par ses sponsors.

     

    ¤ Le tissu industriel, hors une partie de la confection de luxe d'objets divers, a été soigneusement “délocalisé” dans des endroits divers du monde

     

    ¤ Tout ce qui constituait “LE SERVICE PUBLIC”, et qui n'est pas délocalisable, est morcelé (SNCF divisée en trois, par exemple) ou regroupé (pôles de santé divers, petites maternités) en prévision de commodes privatisations

     

    ¤ Désormais dans les hôpitaux publics, il y a plus d'administratifs que de personnels de soins, on a l'impression que ceux-ci sont de trop, et que des robots feront parfaitement "le travail".

     

    ¤ L'école privée a le vent en poupe, le Grand Service Public de l'éducation fait figure de parent pauvre abruti de consignes parfois contradictoires, de surveillances, au point que les Hussards Noirs de la République fuient un milieu devenu intenable, d'autant que les fonds nécessaires à un nombre suffisant d'enseignants sont en baisse, et qu'il n'y a tout simplement plus de lieux de formation spécifique comme autrefois.

     

    ¤ Des Corps importants aussi, comme la Diplomatie, avec des compétences bien spécifiques, et reconnues, ont tout simplement été effacés, relégués dans un tronc commun de hauts fonctionnaires soucieux de leur seule carrière : ce sera très vite le désastre.

    ¤ La France est dénigrée systématiquement par ceux qui sont normalement ses représentants et les porteurs de son message, au profit de Ducs et Comtes à la tête de régions liées directement à Bruxelles et à la Finance internationale.

     

    ¤ Sa langue est systématiquement mise à l'écart, au profit du jargon pseudo-anglais mâchouillé par des financiers ignares ou des “journalistes” analphabètes.

     

    Pendant ce temps-là, le contre-torpilleur de pédalo s'applique à dépenser sur notre dos milliard après milliard pour des raisons qui n'ont surtout rien à voir avec l'utilité aux citoyens Va-t-on le supporter longtemps sans réagir ?


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