• Paris (AFP) - Donner ou vendre son lait maternel via internet est illégal et présente des risques pour la santé des nourrissons, ont rappelé mardi des pédiatres et les autorités sanitaires, face à un phénomène encore marginal en France.
    Après l'apparition sur un site marchand de la petite annonce d'une mère de 29 ans, se présentant comme une infirmière et offrant de louer ses seins à l'heure (moyennant 20 euros) ou à la journée (100 euros) pour permettre à des couples homosexuels d'allaiter leur enfant, l'Agence du médicament ANSM a réitéré sa mise en garde contre les échanges de lait maternel sur internet.
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    Ne doit-on pas déceler chez les "gardiens du Temple" un message mercantile sous-jacent ? Si le lait "d'une nourrice" est ainsi rendu illégal (????) sous prétexte de risques de contagion via la nourriture, n'est-ce pas une façon de mettre en garde contre l'allaitement en général ? Les industriels de ce "produit" doivent se frotter les mains. 

    Bien sûr, n'est-il pas mieux de disposer d'une offre industrielle antiseptisée, tuée, calibrée selon des critères issus d'études "scientifiques", une offre en vue de créer des Gamma bien portants, efficaces,  mais sans âme comme dans Le Meilleur des Mondes ? Pas plus que le lait de la nourrice, celui de la mère "officiellement reconnue" ne peut être exempt de "tares" comme le tabagisme ou de quelconques virus, c'est l'un des risques de la Nature, de ceux que veulent bannir les vendeurs de contrats d'assurance.

    Le risque, répétons-le, c'est celui d'une certaine médecine pétrie de certitudes, de chasse à la diversité,  de standardisation au détriment de la Vie. C'est lui qui ne peut à long terme que tuer l'avenir même des Humains au nom des Normes et des Risques.

    Il y a cinquante ans et plus,  les enfants couraient des risques, c'est vrai. Quelques-uns le payaient de leur vie, c'est vrai, par accident, maladie, ou autres causes. Ceux-ci hélas ! partis ailleurs, restaient des gamines et des gamins qui n'avaient pas besoin de multiples vaccins (dangereux la plupart du temps) parce qu'ils avaient été en quelque sorte "mithridatisés" par le contact avec des infections, avec des risques accidentels qu'ils avaient appréhendés et résolus eux-mêmes (la meilleure école). Si tout est planifié au-delà de raison, ne subsisteront que des êtres fragiles, sur-protégés, donc éminemment vulnérables. C'est ce qu'on remarque chez les enfants de la classe aisée US, trop surveillés, donc qui à l'avenir seront confrontés à des conditions qu'ils ne pourront pas surmonter faute d'avoir appris parfois à leurs dépens dans leur jeunesse des conditions similaires, mais généralement moins contraignantes.

    Messieurs* les médecins, par votre intransigeance que l'on pourrait qualifier d'obtuse, vous tuez l'avenir.  Et aussi, vous favorisez de façon peu transparente l'hégémonie du lait industriel. Toujours le lobby pharmaceutique aux aguets.




    * On notera que de plus en plus, les médecins sont des femmes. En revanche, la Haute Administration, les Gardiens au niveau de l'Ordre des Médecins sont le plus souvent des hommes. Ou des femmes (réglementairement) aussi proches des hommes que certaines de leurs homologues en politique de haut niveau. Des femmes peu femmes en somme.


    N.B.
    Personnellement j'ai vis-à-vis des médecins une confiance tendant vers zéro. Au point de préférer crever dans mon coin plutôt que de faire appel à eux, tant j'ai pu mesurer avec les années (je suis grand-père plusieurs fois, et j'ai soigné ma conjointe pendant plus de 20 ans atteinte d'une maladie mortelle et sans vrai recours) l'indigence de la Médecine et tous ses artifices pour faire croire qu'elle pouvait guérir quelqu'un. J'irai même plus loin : le risque est que par le biais de vaccins par exemple elle devienne dangereuse pour la Vie, au nom de prétendues précautions.

    Le lobby pharmaceutique est l'un des plus actifs, et sans doute le plus efficace.


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  • SIPA  le 20-11-2012 à 14h01 - Mis à jour à 14h31

    PARIS (Sipa) -- La plupart des vaccinations n'atteignent pas en 2012 les objectifs fixés par la loi de santé publique de 2004 en termes de couverture vaccinale, autrement dit de proportion de personnes vaccinées, a déploré mardi l'Institut de veille sanitaire (InVS) qui a présenté au cours d'une conférence de presse le premier état des lieux sur le sujet.

    Les efforts doivent porter sur toutes les vaccinations inscrites au calendrier vaccinal. On ne peut "pas choisir entre la peste et le choléra", a commenté la directrice de l'Institut, Françoise Weber. Elle a cependant reconnu que des efforts particuliers devaient porter sur la vaccination contre la rougeole, qui fait actuellement l'objet de campagnes de sensibilisation.




    L'industrie pharmaceutique peut être contente : ses produits se vendent bien, merci. En revanche, celles et ceux qui en subissent plus ou moins volontairement les effets ne sont peut-être pas aussi heureux.

    Il a fini par être prouvé que les vaccinations rendaient les anticorps naturels du corps paresseux, ce qui pouvait causer des attaques foudroyantes comme n'en subissent pas les non-vaccinés. Il est bien connu que le vaccin déclenche parfois la maladie qu'il est sensé combattre. De quoi dégoûter de satisfaire aux "normes" des autorités sanitaires, souvent en cheville avec les labos au point de n'être absolument pas objectives. Par ricochet, les médecins, eux aussi, ont tendance à survacciner. Même de vieux praticiens en finissent par être contaminés par la propagande des labos.

    Il y a cinquante ans et plus, les vaccinations obligatoires n'étaient qu'au nombre de trois (diphtérie, tétanos, thyphoïde) : a-t-on constaté des hécatombes chez les enfants et les jeunes ? Même pas. De plus en plus, mais le corps médical ne l'admet pas, ce sont donc les vaccins qui entraînent soit la maladie elle-même, comme indiqué plus haut, soit des réactions différentes et très graves.  Combien de gens ont déploré que la grippe se développe chez eux dans les semaines qui suivent le vaccin ? On constate ce phénomène, bien plus accentué encore, aux États-Unis où les gens sont particulièrement lotis en traitements de toutes sortes. Au point que certaines campagnes se font sous assistance militaire, pour que personne n'y réchappe (noté dans plusieurs États).  Ah oui, c'est vrai, les USA sont le pays de la liberté.

    Des bruits ont même couru (ce sont des bruits) que certains vaccins n'étaient sciemment que des poisons à moyen terme, qui tuent graduellement en quelques années ou quelques mois. Au nom, officieux bien entendu, d'un certain malthusianisme dont il est bien connu que de grands décideurs en sont atteints ( il faudrait les vacciner, sans doute). C'est dire combien désormais le vaccin n'est plus considéré comme le remède préventif  "miracle" pour tous les malades.

    A mon avis, désormais les taux de vaccination vont plafonner : de plus en plus de gens sont désormais avertis des risques non des maladies, mais des "machins" sensés les prévenir. La résistance va s'accroître. Il n'y a plus qu'à espérer que, dans notre doux pays, l'armée ne sera pas réquisitionnée pour faire la chasse aux résistants.

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