• Ne dites pas qu'il va y avoir une guerre

    La guerre ! La guerre ! La guerre !

    On ne parle que de ça sur certains sites !Mais on en parle comme si c'était dans le futur ! Mais la guerre, elle est là tous les jours, nous en subissons tous les conséquences, du moins nous les petits, les sans-grade, ceux qui font le travail, ou ceux qui l'ont fait et maintenant ont le temps de réfléchir. Ah non, les propagandes mensongères des médias vaguement étatisés ou ouvertement propriétés des multimilliardaires.

    En fait cette guerre dite “MONDIALE”, c'est toujours la même, ou bien peu s'en faut, depuis que des malavisés ont "découvert l'Amérique". Oh certes, elle apparaît sous différentes formes, “COLONISATION”, "guerre de l'opium”, commerce triangulaire (eh oui).... Là aussi les tenants de ces moyens ont serré les rangs, depuis que ”l'Invincible Armada” a pris un coup de tabac dans les parties vives, mais plus que jamais les chantiers navals de la redoutable Britannia ont lancé leurs navires au point que “l'empire britannique ne voyait jamais le soleil se coucher”....

    Puis est venu le dictateur Cromwell, qui a transformé le cœur de l'Empire, la City of London, en banquier du monde, que les habitants de celui-ci soient contents ou pas. C'est au point que quand les Insurgents ont fait sécession, cela n'a presque rien changé. Londres a ouvert une succursale à New York, et puis voilà.

    Cependant, un petit détail a, en apparence, changé quelque chose. Novembre 1910, sur l'île Jekyll au large de la Géorgie, et par un froid glacial, des banquiers parlant anglais se sont réunis pour mettre au point le projet Réserve Fédérale. Certains étaient réticents : ils eurent des billets gratuits de la part de l'un de leurs collègues, pour le voyage inaugural du Titanic, “le navire insubmersible” par essence. On sait ce qui advint. Donc trois ans plus tard la création de cette Banque des Banquiers du Nouveau Monde était actée, sous la férule bienveillante de son aînée la Banque d'Angleterre. Particularité : les deux étaient en fait des banques privées, et non des institutions publiques.

    Six mois plus tard démarrait LE conflit dont on peut dire qu'il ne s'est jamais terminé. Pensez donc : ces entités finançaient les armes à TOUS les belligérants (solvables, cela va de soi). On ne saurait imaginer pareille aubaine !

    Un siècle plus tard, nous en sommes au même point. Le machin qui se donne le nom d' « États-Unis d'Amérique » est virtuellement en faillite, mais c'est le reste du monde qui, jusqu'à présent, a signé l'ardoise. Donc tout va bien, sauf que de plus en plus de pays s'arrangent pour ne plus se servir de ce sacré dollar.... Ils n'ont pas le droit, NA !

    Mais la guerre continue : avec ce fameux dollar, un maximum de monde est soudoyé, même des chefs d'États à l'occasion. Comment cela va-t-il finir ?

    Il était intéressant de réunir dans un tableau la plupart (il y en a trop) de ces conflits juteux, on notera que de plus en plus souvent c'est Washington qui est derrière, le plus souvent en sous-main. Voyons....

    https://ti1ca.com/uz78mzp3-Petites-histoires-qui-font-la-Grande-Petites-histoires-qui-font-la-Grande-.pdf.html

     


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