Ainsi, çà y est. L'opposition vénézuélienne, soutenue par la plupart des médias propriétés des grands capitaux, et portée par la haine de Washington pour le bolivarisme, n'a pas réussi à arracher la victoire.
Maduro peut savourer la victoire, celle du Peuple avant la sienne. Le flambeau est bien passé, de Hugo Chavéz à son fidèle lieutenant. On mesure la différence, entre le battu Antonio Capriles, né avec une cuiller d'argent dans la bouche, et le nouveau président, conducteur de bus. Le bolivarisme va continuer, malgré le courroux exacerbé du Grand Voisin du Nord, criminel, terroriste au sens propre du terme, et dominateur.
Tous nos vœux de réussite au Venezuela !