• Pour autant que je sache, tous les évènements sont liés à la puissance "pensée" de DC la folle, puissance objectivement en déclin malgré des sursauts d'animal blessé ; qu'il se soit blessé lui-même n'y change rien, tant c'est subjectif, et tant cette chute est liée à son arrogance même. De plus en plus contesté, l'animal s'est réfugié tout en haut du dossier de son trône pour continuer à brandir ses anathèmes et à rugir ses imprécations.

    Vu ainsi, le monstre paraît encore redoutable, en ce qu'il déverse toutes ses forces sur des opérations extérieures (Taïwan, Ukraine, Chili, divers lieux d'Afrique, Asie centrale). Il n'en est pas moins vrai qu'ainsi il gaspille ses propres forces en s'appuyant sur un dollar que de plus en plus de pays refusent.

    Ce dollar unificateur, les États dont ce conglomérat est constitué n'en ressentent plus l'impérieux besoin, tant sa force est manifestement surévaluée largement : la plus grande part est absolument fictive, s'appuyant sur des industries de mort, et presque uniquement celles-là. Il est nécessaire de compter là-dedans  tout ce qui se veut en rapport avec "la santé".

    Les élections de midterm seront là fort révélatrices. Elles risquent de concrétiser l'immense fossé entre les États jusqu'auboutistes, et les États qui veulent "cultiver leur jardin". Si la rupture est consommée entre les deux groupes, logiquement (mais l'Histoire se méfie de la logique) le District de Columbia verra son arrière-terrain composé uniquement des jusqu'auboutistes, ce qui va l'affaiblir encore bien plus.

    Faute de moyens, il ne pourra guère que lâcher prise sur ses chères opérations extérieures. La crise ukrainienne sera obligée de cesser faute de réserves. Même chose pour Taïwan, et d'autres lieux. A moins….

    A moins que dans ces deux mois ne se produise l'irréparable, sous l'aiguillon stupide de la Liz Truss. La seule question à se poser alors, pour les survivants provisoires, sera justement l'immédiate survie.


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  • Affaire de Taïwan

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  • La seule chose dont on peut être certains, c'est que ces pseudo-personnalités qui nous mettent en garde, sont aussi parmi ceux qui œuvrent activement à la pénurie. L'Ukraine est un prétexte ridicule, surtout quand on pense à la moutarde, dont seule la France remarque la brutale raréfaction, alors que le principal producteur est... le Canada.
    .
    Bien entendu ces massifs incendies cachent difficilement le caractère volontaire de leur dissémination. Surtout que, comme par hasard, les Canadair se révèlent le plus souvent.... en panne ! Bien entendu l'épidémie de grippe aviaire est un magnifique prétexte pour éliminer les petits producteurs, ceux chez qui justement il n'y a pas de risque. Certains pourraient crier "au complotisme", il suffit de lire les journaux.
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    Bien entendu, au moment le plus propice, à nouveau se déclencheront partout des avis de "pandémie" de covid 2035 ou 36, afin d'isoler à nouveau des populations résignées....
    .
    Résignées ? Petit à petit, le nombre de ceux qui "n'y croient plus" grandit. Quand viendra la bascule, car elle viendra, la réaction peut se révéler.... intéressante, surtout pour ceux qui ont toujours su résister. Certes, les monstres qui tiennent les rênes ont tenté d'anticiper, ne serait-ce qu'en achetant prioritairement des blindés plutôt que des avions anti-incendies, mais malgré leurs efforts ils peuvent être dépassés par un juste courroux général.
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    Quand (et non si) cela se met en route, tout peut être balayé des structures faites patiemment sur mesure pour ponctionner le fruit du travail des vrais humains. Le plus difficile sera, de la part des éveillés de longue date, de réussir à éviter que les humains ordinaires ne suivent la voie de la facilité, donc d'une nouvelle sujétion à d'autres Maîtres. Y compris d'une pseudo-“dictature du prolétariat”.


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  • À mes amis Américains

    DONBASS : c'est de la bouche d'adolescentes que vient la vérité

    Deux événements ont récemment eu lieu dans le monde. En Amérique, dans la banlieue de Chicago, des personnes ont été tuées lors des célébrations du Jour de l’Indépendance. Et au cours des trois derniers jours, les tirs d’artillerie de l’Ukraine dans le Donbass, à Donetsk et Makeyevka, ont tué cinq enfants. Une fille de 10 ans a été déchiquetée par un obus ukrainien. Mais les journalistes américains ont-ils remarqué cela ? Non.

    Je peux comprendre que les Américains pleurent les morts le jour de l’indépendance. Mais ils refusent obstinément de voir ce que fait l’Ukraine. Je vis dans le Donbass, et après que des enfants aient été tués par les armes que vous et l’Europe fournissez, je devrais probablement vous détester et me réjouir que Dieu punisse ceux qui causent la mort de nos enfants. Mais je suis russe et je vis une guerre depuis huit ans maintenant. Je comprends ce qu’est la mort, donc je ne ressens ni colère ni haine. Et je pleure avec vous pour ceux qui sont morts. La vie humaine n’a pas de prix, et le meurtre est toujours terrible car on ne peut pas ramener ceux qui sont perdus, on ne peut pas atténuer cette douleur. Tout comme vous ne pouvez pas fermer les yeux sur la guerre, parce que la guerre, dont votre gouvernement est aussi responsable que n’importe qui d’autre, vous reviendra forcément à la figure.

    Je suis désolée que beaucoup en Amérique ne sachent pas que tout a commencé il y a 8 ans. Et l’Ukraine tue des civils, détruit nos villes, tue des enfants. Mais vos politiciens ne prêtent guère attention à cela. Ils sont prêts à se battre jusqu’au dernier Ukrainien et, apparemment, ils pensent qu’ils vont vaincre la Russie dans une guerre nucléaire. Ils ne le feront pas. Je voudrais que vous compreniez que la guerre est mauvaise, tout comme tuer des innocents. J’espère que tout cela sera bientôt terminé, et que l’humanité comprendra à nouveau la valeur de la vie et d’un avenir pacifique, et que la Russie et l’Amérique seront amies.

    Faina Savenkova, 13 ans, Lougansk

    Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider


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  • A force de réfléchir, j'en viens à me demander si ce que nous vivons n'est pas une simple continuation, sans véritable interruption, de la Seconde Guerre Mondiale, qui aurait commencé en 1919 avec des traités inacceptables (merci les anglo-saxons), et qui n'aurait jamais arrêté puisque le but de la thalassocratie anglo-saxonne est de contrôler* son grand rival supposé, le grand continent eurasiatique, et en particulier la Russie (continuation du Grand Jeu dont parle déjà Kipling).

    Souvenons-nous de la guerre d'Éthiopie, de celle des Détroits turcs, de l'expédition de Suez, puis de la guerre de Corée, celle du Vietnam, les divers conflits à la corne de l'Afrique, point de passage crucial, le démembrement forcé de la Yougoslavie avec la création du Kosovo, simple prétexte pour y installer la plus grande base d'Europe, de ce qui s'est passé en Géorgie, maintenant en Ukraine.... toujours la patte anglo-saxonne comme pour les deux guerres mondiales!

    Mais ces anglo-saxons enragent de voir que petit à petit, faute d'une industrie partie ailleurs, ils s'affaiblissent alors que le reste du monde (sauf l'Europe captive) se renforce, s'organise et apprend à se passer du dollar. Si embrasement il y a, c'est de cette frustration qu'il viendra. A n'importe quel moment. D'où le danger de ces minables actuellement à la Maison-Blanche, conseillés par des fous de guerre du Département d'État. Seul le Pentagone tempère le jeu. Bien que ce ne soit pas proclamé, nous somme dans une situation plus difficile qu'à l'époque des missiles de Cuba et de Turquie.

    Réflexions insensées d'un électron libre, qui voit venir le grand chambardement.....

    .

    GUERRE MONDIALE — QUEL NUMÉRO ?

    * et ce contrôle est voué à l'échec, parce que la Russie sait fort bien que c'est son existence même en tant que Russie, avec ses langues, ses cultures, ses religions, ses philosophies, et que pour elle c'est la ligne rouge absolue. Il n'est pas certain que la non-culture US comprenne, sache expliquer ce que c'est qu'une vraie ligne rouge.


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  • Cet article de Julian Assange date de novembre 2012. Publié ici en guise de rappel de celui qui a été trahi et abandonné par les médias institutionnels, qui l’ont traité de tous les noms pour son travail altruiste en faveur de notre droit de savoir. A vous de juger (NdT)

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  • Ce jour-là au Grand Café un homme prenait un pot. Puis comme cela était pratiquement la règle à l'époque, il dut s'éclipser un moment vers la cabane au fond de la cour, derrière, afin de satisfaire des besoins naturels. A ce moment-là, d'une fenêtre donnant sur cette cour, s'est échappé un appel depuis Londres.

    Dix-huit du mois de juin – le Grande Café

    Cet homme, au parcours déjà impressionnant, était quelque jours plus tard en route pour Londres depuis le Portugal. L'émission "Les Français parlent aux Français", c'était lui.

    Une plaque commémorative fut apposée plus tard sur le mur extérieur de ce bâtiment  très "années vingt" comme style, un peu comme le Café de la Paix, à La Rochelle

    Huit ans plus tard, un homme tout émoustillé et un peu intimidé se présentait chez le maire de sa commune (c'était un vendredi soir) pour faire inscrire à l'état-civil son fils, né comme c'était l'habitude alors non à l'hôpital, mais dans le lit conjugal.

    Et que ceux qui ont USURPÉ les rênes de notre pays soient chassés par les jeunes d'aujourd'hui, ceux qui sont nés avec le millénaire.

     

     


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  • ATTALI   HALLALI

    Attali au lit ! Il a bien travaillé, il nous a emplis de joie. Ce cloaque gisant entre Rio Grande et Grands Lacs pourrait enfin ne s'occuper que de lui-même : il en a désespérément besoin, n'en déplaise à un État profond qui veut n'être que mondialiste à sa manière, c'est-à-dire maître de TOUT dans le monde. Manifestement le gourou de Paris ne veut pas que les États-Unis se relèvent de leurs propres contradictions. Sait-il vraiment ce qui est bon pour eux ? Apparemment il n'en a cure. Ne comptent pour lui que les antivaleurs développées par la satanique École de Chicago, et le Destin Manifeste d'un peuple qui n'a jamais été un peuple, mais un agglomérat de personnalités n'ayant pas la moindre unité de destin. Il y a une certaine perversion, à vouloir ainsi perpétuer de telles aberrations.


    Trump a des défauts, certes ; mais l'État profond est un concentré de défauts multiples, parfois plus ou moins contradictoires, et qui par leur accumulation ne peuvent qu'apporter le malheur à tous, y compris parfois à ceux qui les professent. Au nom de la promotion de ceux qui partagent ces aberrations, il s'agit de réduire l'humanité à un troupeau de bêtes geignantes, hirsutes, sans passé, sans avenir, sans présent : même pas des bœufs, en somme.


    Est-ce vraiment votre idéal, Monsieur Attali ? Ce serait assez décevant, ne trouvez-vous pas ? Dénier à tous la possibilité d'avoir du génie, au nom de "Pas une tête ne doit dépasser", n'est-ce pas un peu vain ? D'autant que ce que vous considérez comme l'élite n'est qu'un ramassis d'ego réduits trop souvent à l'utilisation de leur sexe, en but d'une satisfaction se mesurant en secondes... l'Empire romain avait plus de grandeur, mais il est fort probable que la grandeur, vous ne savez pas ce que c'est.
    On peut considérer que Napoléon en quelques mots avait défini tout cela, qui est fort pitoyable : « L'Angleterre est une nation de boutiquiers », et cet État profond a justement approfondi le thème sans l'étendre.


    Si cet État profond que vous appelez de vos vœux réussissait sa pitoyable prestation, ne resterait que l'éclair hugolien pour aller frapper le résultat : « L'œil était dans la tombe, et regardait Caïn. »

    l'

    l'oeil dans la tombe

     

    (réflexion sur le billet de Philippe Grasset, Le songe d'Attali)


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  • Il est dommage que le communisme vu par Marx et Engels se soit éloigné du communisme vu par Proudhon, Bakounine, Reclus, Kropotkine. Ce qui pêche, à mon avis (oui, seulement le mien), c'est qu'il fallait au plus tôt CASSER la monnaie, la propriété privée, et passer du système d'échange à une société de partage. Le productivisme est une erreur. La Terre nous a été donnée (oui, donnée) à tous. Quant aux banquiers, ils se la sont appropriée par violence : par violence il faut la leur arracher, car ce ne sont que des parasites, et non des symbiotes, ils n'apportent rien que le malheur.

    .

    Le jour où s'opéra la cassure de la Première Internationale fut un triste jour. Je crains que le monde du travail ne s'en soit jamais remis. Il est important, déjà de penser Internationale et non mouvement mondial. Croire un seul instant que l'arrivée d'une donne nouvelle peut se déclencher de façon simultanée partout est une chimère. Dans chaque pays, en fonction de la géographie, de l'histoire, des ressources de celui-ci, même du langage, les mouvements de travailleurs auront une façon différente, et non simultanée, de se développer, ce qui est d'ailleurs rappelé dans ces notes concernant le Portugal. Il faut repartir de la cellule, de la Commune, créer une solidarité à ce niveau, puis coordonner au niveau départemental, et enfin national.

     

    A chaque fois il ne saurait y avoir des personnages qui décident sur la durée, puisque chaque décision ne peut venir que de la base. Les Soviets étaient une grande idée, le grand tort fut de leur imposer un chapeau qui n'aurait jamais dû être suprême, mais composé de délégués de coordination désignés par la base, et au mandat court et non directement renouvelable. Renouvellement par tiers tous les six mois, par exemple.

     

    Bien qu'ayant dû plancher sur le Manifeste pour l'oral de Philo du Bac il y a 55 ans, je me considère comme un autodidacte, et mes nombreuses années passées à la CGT n'ont pu m'enlever ce malaise de n'être pas en phase avec les autres, tant je sentais que c'était à la base qu'était la différence de point de vue.


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