• Ce n'est qu'un avis.

    OUI, les usines dites pharmaceutiques (de liquide poubelle modifié) font leur beurre allégrement avec cette production de machins bizarres. Je crains fort que cela ne soit qu'un détail.

    Pour les Très Grands de Ce Monde (QUI ? probablement pas ceux qu'on pense), il s'agit d'élargir la contrainte sur tous parce que ces tous, ils en ont peur. Il faut, pour eux, les rendre aussi inoffensifs qu'une souris blanche. Quand on est très malade dans sa tête, il est dit qu'on projette sur l'entourage, considéré comme forcément hostile, ses propres contradictions internes, ses phobies, sa détestation de soi. Donc surtout, vivre dans le coton sans jamais être agressé par L'AUTRE, humain ou pavé de béton, c'est pareil. Ce traitement infligé à tous, couplé à une propagande aussi débile que péremptoire, vise à que tout se passe bien pour les Super-Malades. Des Super-Malades inconnus du grand public.

    Le remède ? Une grande maison blanche (sans majuscules) avec de gentils verrous pour bien isoler, et de gentils matons tout en blanc, pour protéger ces écorchés vifs, MAIS surtout pour protéger le monde de ceux-là.

    J'ai bon, là ?


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  • 2 2 0 2 2 0 2 2

     

    Que va-t-il arriver ce jour-là ?  Cela ressemble à une conjonction particulière, qui n'est pas près de se renouveler. A surveiller.

    Nous allons passer dans l'année de tous les dangers, cela ne fait guère de doute.  On sent les Grandes Autorités aux abois, pour des raisons à elles, dont l'hallali sur le Greenback Dollar, et la conviction que désormais les grandes décisions se prendront dans ce qu'on appelle L'Est, d'autres parlent du Rimland. En tout cas ce conglomérat d'États disparates qui a voulu s'appeler les États Unis d'Amérique n'en est plus qu'un pâle reflet. Ce n'est pourtant pas faute de glorifier ce conglomérat à coups de médias hautement subventionnés, de Hollywoods où le houx fait hou ! hou ! de plus en plus faiblement dans des bois qui se déplument.

     

    https://www.lacoccinelle.net/246734.html

    Il faut craindre un sursaut de la bête, très bête, mais blessée, pour reprendre la main. Elle a sous la main une surabondance de biftons à la valeur plus que surfaite, soutenus par des forces armées désarmées. Le F35 en est une preuve ridicule, pas même bon à repasser correctement des vêtements. Le nombre de personnels vraiment opérationnels et motivés est de même étonnamment faible, sous le poids de virus prétendument dangereux, mais aussi par la perte de l'esprit de corps au profit de la féminisation des mâles et leur transformation en chochottes... Ne restent que les armes basées sur la désintégration, et celles-là risquent d'aller trop loin.

    Alors, que pourrait apporter cette date au milieu de l'année de tous les dangers ? Gardons l'espoir. Bonne année deux mille vingt deux !

    bab


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  • Le 21 septembre le député Jean-Marie Collot d’Herbois (1750-1796) propose l’abolition de la royauté, il ne rencontre guère de résistance parmi ses collègues, à l’unanimité la royauté est abolie. Dès le lendemain, 22 septembre 1792, les actes officiels sont datés de l’an Ier de la république, et, le 25 septembre, sur la proposition de Georges Couthon (1755-1794), la Convention vote le célèbre décret proclamant que « la République est une et indivisible ».

    Va-t-il être nécessaire de recommencer ce processus, et de déposer celui ou ceux qui se sont emparés de manière apparemment légale du Pouvoir ? La République n'est même pas en danger, elle est en prison. La "chose publique" ne l'est plus, elle est aux mains des descendants de ceux qui assassinèrent Robespierre, physiquement, et moralement en lui faisant porter avec véhémence leurs propres turpitudes.


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  • En ce onze septembre 1973, Monsieur le Président Salvador Allende entamait hélas son dernier jour. Dans la journée, un général de son armée, Augusto Pinochet, le trahissait sur l'injonction de Washington (comme d'habitude). Il y a 48 ans.  Après mai 1968, qui portait déjà la marque d'infamie, et avait touché de nombreux pays, c'était déjà avant "le titre" une Révolution Orange à la mode anglo-saxonne, basée sur la corruption, le mensonge, tous les ingrédients habituels d'une anti-civilisation négation des principes naturels déjà écrits du temps de Zoroastre, mais datant de traditions orales bien antérieures.

    Le Bien et le Mal : ce sont des concepts très subjectifs, mais quand ce sont systématiquement toutes les pensées naturelles à la fois qui sont violentées, on se dit que là intervient une sorte de folie froide, dépourvue de tous sentiments, la PERVERSION à l'état pur. Celle qui fut portée, comme un vaccin de mort, par les Pères Pélerins sur les rivages du Cap Cod. Il faut dire que ces pervers, en manque de sentiments donc, n'ont de cesse que pour s'arranger à être "les chefs" afin de compenser leur manque.

    Hélas, pour le moment ils paraissent encore solidement installés, eux qui ne sont qu'une infime minorité, mais une minorité ultra-virulente. Faudra-t-il que se lèvent un nouveau Fleming, un nouveau Jenner, un nouvel Antoine Béchamp ? mais cette fois sur un terrain à la fois psychologique et politique...

    El pueblo unido jamás será vencido.

     

     

     


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  • UNI, LE PEUPLE A TOUJOURS RAISON

     

    Commémorons avec ferveur deux évènements, qui malgré les apparences ont le même fondement.

    Le 28 mai 1871 le Peuple de Paris, acculé, désarmé, abandonné, finissait de tomber sous les coups du Capitalisme triomphant, apr_s avoir inventé beaucoup d’innovations magnifiques, comme la séparation des églises et de l’État, l’école publique, laïque et gratuite… en si peu de mois !

    Les dernières victimes au cimetière du Père Lachaise versèrent leur sang pour que rien ne soit oublié. Il y a cent cinquante ans, c ’était hier.

    Le 29 mai 2005 le Peuple de France, au mépris des attentes du Grand Capital, dit NON à une structure supranationale qui avait pour ambition de tuer notre pays UN, Laïque, fraternel et porteur de l’égalité des droits et des devoirs. Malgré une propagande qui n’a pas cessé, bien au contraire, cette volonté perdure même si ceux qui la professent sont artistement isolés.

    Il ne s’agit pas que de commémorer, il faut garder intacte cette volonté, et le faire savoir.

     

     

     


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  • (du 18 mars au 28 mai 1871)

    Nous sommes (pas tous) les héritiers de la Commune Insurrectionnelle de Paris, cette merveille qui a obligé les autres pays du monde à regarder dans notre direction : en si peu de temps, a émergé une nouvelle façon de voir l'avenir, enfin démocratique, enfin universelle, fraternelle, donnant sa chance à tous de pouvoir vivre et non survivre. Les Communeux (c'est le nom qu'ils se donnaient entre eux) n'étaient pas communistes,  ils  étaient des citoyens parmi des citoyens, ils n'étaient pas anarchistes parce qu'ils étaient bien organisés, avec une sorte de hiérarchie inversée : les délégués étaient là pour gérer au nom du Peuple, sous sa surveillance, ils n'étaient pas les maîtres, mais les humbles serviteurs.

    Devons-nous nous étonner, si cette façon de gouverner ne pouvait plaire à l'empereur Adolf Thiers, pas plus qu'à l'empereur Guillaume de Hohenzollern ? Il y eut alliance objective pour écraser cette maladie mortelle pour eux, les Allemands se contentant de compléter le blocus à l'Est, pendant qu'à l'Ouest les Colonnes Infernales des Versaillais se repaissaient du massacre de tous, hommes, femmes, enfants, vieillards, blessés y compris certains d'entre eux soignés par les Communeux... ceux qui ne furent pas tués sur place furent envoyés à la "guillotine sèche" en Nouvelle-Calédonie ou ailleurs. Sous de pareils auspices, la Troisième République naquit dans le sang, sans doute plus encore que la Seconde initiée au temps de la Terreur (bien entendu les historiens, ou du moins la plupart, ne présentent pas les choses ainsi).

    NON, Nicolas, la commune n'est pas morte, comme le chantait Eugène Pottier (oui, celui de l'Internationale)

    On l’a tuée à coups de chassepot,
    À coups de mitrailleuse
    Et roulée avec son drapeau
    Dans la terre argileuse.
    Et la tourbe des bourreaux gras
    Se croyait la plus forte.

    Refrain
    Tout ça n’empêche pas Nicolas
    Qu’ la Commune n’est pas morte.
    Tout ça n’empêche pas Nicolas
    Qu’ la Commune n’est pas morte !

    Comme faucheurs rasant un pré,
    Comme on abat des pommes,
    Les Versaillais ont massacré

    Pour le moins cent mille hommes.

    Et les cent mille assassinats,
    Voyez ce que ça rapporte.


    Refrain

    Tout ça n’empêche pas Nicolas
    Qu’ la Commune n’est pas morte.
    Tout ça n’empêche pas Nicolas
    Qu’ la Commune n’est pas morte !


    On a bien fusillé Varlin,
    Flourens, Duval, Millière,
    Ferré, Rigault, Tony Moilin,
    Gavé le cimetière.
    On croyait lui couper les bras
    Et lui vider l’aorte.

    Ils ont fait acte de bandits,
    Comptant sur le silence.
    Achevez les blessés dans leur lit,
    Dans leur lit d’ambulance
    Et le sang inondant les draps
    Ruisselait sous la porte.

     

    Refrain
    Tout ça n’empêche pas Nicolas
    Qu’ la Commune n’est pas morte.
    Tout ça n’empêche pas Nicolas
    Qu’ la Commune n’est pas morte !

     

    Les journalistes policiers,

    Marchands de calomnies,
    Ont répandu sur nos charniers
    Leurs flots d’ignominie.
    Les Maxim’ Ducamp, les Dumas
    Ont vomi leur eau-forte.
    C’est la hache de Damoclès
    Qui plane sur leurs têtes.

     

    Refrain
    À l’enterrement de Vallès,
    Ils en étaient tout bêtes
    Fait est qu’on était un fier tas
    À lui servir d’escorte

    C’ qui prouve en tous cas Nicolas,
    Qu’la Commune n’est pas morte.
    C’ qui prouve en tous cas Nicolas,
    Qu’la Commune n’est pas morte !

     

    Bref tout ça prouve au combattant

    Qu’ Marianne a la peau brune,
    Du chien dans l’ ventre et qu’il est temps
    D’crier vive la Commune !
    Et ça prouve à tous les Judas
    Qu’si ça marche de la sorte

    Refrain

    Ils sentiront dans peu nom de Dieu,
    Qu’la Commune n’est pas morte.
    Ils sentiront dans peu nom de Dieu,
    Qu’la Commune n’est pas morte !

     

     

     

     


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  • Je crains, hélas ! et compte tenu de tout ce que nous savons, nous qui avons la chance d’en parler sur LGS et parfois ailleurs, que  :

    si nous voulons en sortir, il faut virer cette clique immonde et nombreuse AVANT 2022. D’ailleurs je me suis fait cette réflexion : de quels bas-fonds putrides et inconnus ont pu surgir ces candidats parlementaires, qui comme par hasard ont été "élus" en masse alors qu’ils étaient tous inconnus ? La connivence a dû être énorme entre des politiciens, des financiers, des personnels futurs élus et déjà triés prêts à servir, sur le seul critère d’accepter tout ce que dira le chef même si c’est incohérent. La cellule très spéciale de gestion des élections place Beauvau a fait le reste dans une transparence de "corps noir". Quand la malhonnêteté la plus systématique est au pouvoir, seule la force peut l’en extirper. Aussi longtemps que ce Système sera là, les urnes ne seront que le prétexte à ce que tout continue.

    Ce n’est pas pour rien que l’Association Pour Une Constituante avait depuis longtemps préconisé de remplacer la présidentielle par la mise en place d’une Assemblée constituante. Seule difficulté : par rapport à cette époque-là, il y a six ou sept ans, la situation générale s’est tant dégradée sur beaucoup de points, qu’une Constituante n’est pas possible à réunir même d’une façon complètement indépendante du pouvoir en place : la liberté de réunion est de fait complètement bafouée sous des PRÉTEXTES sanitaires. Il faut donc faire place nette avant toute autre initiative, on n’a même plus le choix qu’entre cela, et NE RIEN FAIRE.

    Je déplore que certains en soient encore à penser dans une perspective marxiste : nous avons tellement dépassé ce stade, où les autorités avaient encore un peu d’éthique pour maintenir un semblant de légalité, que désormais ils ne se cachent même plus. Le Reich de 1936 maintenait encore un semblant de légalité. Ce stade est dépassé. Nous en sommes là ? Oui, à mon avis nous en sommes là. Cela ressemble, je le crains, à la situation en Allemagne de 1944. Seule différence, apparemment : ce n’est plus UN homme qui a fait sauter les plombs, mais toute une classe politique, pseudo-intellectuelle, "journalistique" (ouf, les toilettes ne sont pas loin), "philosophique" qui a complètement perdu le sens des réalités, parce qu’elle a décrété que la réalité, c’est elle.

    Reste à prendre toute cette réalité en compte, et d’agir en conséquence. Pour nos aînés, qui ont fait ce qu’il fallait, parfois au prix de leur vie. Pour notre descendance à laquelle, je pense, ceux qui ont compris doivent se dire qu’ils ne vont pas léguer cette chienlit pestilentielle. Ne nous trompons pas de combat ! Il reste, malgré toutes les apparences, un combat de classes. Sauf que ce n’est pas celui de 1871, ni celui de 1936, ni même que celui de 1945. C’est nouveau. Il va falloir presque tout réinventer. Cela fait peur ? Oui.


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  • Concernant l’OTAN, il faut dire avec force que celle-ci aujourd’hui n’a plus aucun rapport avec celle de l’origine, bien que les objectifs n’aient pas changé. Je pense que De Gaulle a eu tort de ne pas sortir complètement la France de cette chienlit, même si à l’époque c’était moins flagrant qu’aujourd’hui. On repensera avec un grand sourire à un film qui rendait compte de ce transfert de Paris à Bruxelles du siège du SACEUR : Le Cerveau..
     
    Ce ne fut pas dit ainsi bien sûr : l’OTAN était un moyen de préparer une invasion de ce qui est depuis très longtemps l’obsession des dirigeants US : le Heartland (voir le site « Chroniques du grand Jeu », qui en parle très souvent), symbolisé par Moscou. C’est au point que trois ans plus tard (seulement !) se constitua le Pacte de Varsovie pour s’en protéger. De Gaulle n’aurait jamais accepté de se laisser entraîner dans cet aventurisme stupide et très dangereux, dangereux pour rien. Pour lui, il l’avait dit, il concevait l’Europe de l’Atlantique à l’Oural, à l’exception de l’Angleterre qui a depuis presque toujours été notre adversaire..Si De Gaulle était encore présent aujourd’hui, avec son pragmatisme, il serait depuis longtemps sorti à la fois de l’OTAN et d’une union européenne très loin de ce qu’il considérait comme l’Europe.
     
    Ajoutons que s’il savait tendre la main aux Allemands, il en a toujours eu une certaine crainte, palpable dès son petit essai « Vers l’armée de métier ». Il est dommage que certains l’aient pris au pied de la lettre, et aient transformé l’armée française entière en quelques bataillons de mercenaires, n’ayant plus aucun contact avec la conscription. Nous en payons aujourd’hui amèrement le prix, avec des jeunes n’ayant plus aucun idéal, aucune cohésion, parlant très mal notre langue, l’écrivant encore plus mal, et ignorant le plus souvent de notre pays à la fois sa géographie et son histoire.

     

    Europe et OTAN —  Il y eut De Gaulle, et puis, il y eut de pire en pire


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  • babelouest 3 octobre 10:44

    Il est assez patent, à mon avis, que pour que fonctionne vraiment une responsabilisation des représentants du peuple, les mécanismes qui actuellement « graissent les rouages » de façon non officielle, mais très efficace, ne PUISSENT PLUS fonctionner ainsi. D’ailleurs quand on rejette la condition de Sieyès « Tout mandat impératif est nul », c’est bien pour apporter non un carcan, mais des barrières visibles et conditionnant beaucoup de choses : ainsi le fait d’être POUR ou CONTRE l’union européenne et œuvrer dans ce sens conditionne beaucoup de décisions, même si pendant longtemps la France Insoumise a tenté de faire illusion sur ce point. D'autres options, comme des positions philosophiques, politiques, ou même religieuses (dans le respect de la loi de 1905) sont possibles. Ajoutons que la suppression des Partis, et de l’obligation de fait d’être accrédité par eux pour prétendre à un siège d’élu, peut aider à débloquer la situation.

    J'ajouterai :
    Bien entendu des cercles de réflexion seront toujours nécessaires en toute bonne démocratie : ce n'est pas pour autant qu'ils pourront présenter des candidats députés. En revanche, des compte-rendus de leurs réflexions seront toujours acceptés par les médias dans les limites de la bienséance (et non de certaines lois scélérates)
    .
    Pour ceux-ci, il faudra qu'ils présentent un projet charpenté (une sorte de profession de foi plus élaborée qu'actuellement), qui sera examiné par une sorte de jury tiré au sort parmi les électeurs de la circonscription (tous ceux ayant droit de vote). Les bulletins de vote, et l'impression en nombre suffisant des professions de foi, devenues très officielles, seront gratuits, le reste des frais sera à leur charge (affiches, locations de salles, déplacements....). Les financements par personnes physiques seront autorisées, avec un plafond individuel, et un plafond global. Plus de limite en fonction du nombre de votants, ce serait antidémocratique, car ceux qui ont le plus à dire sont aussi ceux qui n'en ont pas les moyens financiers.
    .
    Est-ce cohérent ? Chacun peut difficilement juger lui-même de la pertinence de ses propositions.

     

    Proposition pour une nouvelle façon d'élire

    Alphonse Baudin, député,  sur la barricade par Ernest Pichio (musée Carnavalet)


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