• Mon ami Lediazec m'a fait l'honneur de me transmettre ce poème de sa composition, avec l'autorisation de le publier : je m'exécute avec joie et empressement ! Merci Rodo, et que les luttes soient à jamais notre trait d'union.

    Un vrai caillou dans le brouillard !


    Debout la nuit !


    La vie comme on la traîne
    Depuis un, deux, trois
    Dix, vingt, trente millénaires
    Vie chantée, vie déjantée, comme un éclair
    Clamant, déclamant, au pied des échafauds
    Sous l’œil impitoyable des salauds
    « Faut s’faire la main sur ces vauriens ! » disent les rupins
    Planqués dans les laboratoires les manettes dans l’sang
    Le kit de la haine greffé au globe oculaire
     
    Dès le berceau on marque sans relâche
    De l’école à l’église, de l’armée à la police
    Du pôle emploi à la zone de non-droit
    La tête mazoutée par des règles frelatées
     « Ils sont faits pour brouter de la pâture »,
    Opinent les vautours le cul encastré dans le velours
    Ils ne savent rien de la sueur ni du sang
    Ni des graines qui poussent l’esprit libertaire
    A griffonner des chimères au pied des réverbères
     
     Reprenant en chœur le refrain de futurs printemps
    Le cœur en bandoulière, la parole libérée,
    Marchant, dragon en colère, poings levés sur le pavé,
    Portant haut la mémoire des traîne-misère, de la chair à canon,
    Hâtivement enfouie dans la boue des tranchées
    Le nom gravé dans la pierre anonyme des calvaires
    Des morts pour rien au banquet des charognards
    Debout dans la nuit, debout sous la pluie, debout sous les regards
    Le vent de la révolte écume le pavé des boulevards
     
    Lediazec
     

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  •  

    Compte tenu des nombreux, très nombreux même, coups de boutoir volontaires à la bonne entente entre tous les humains, il fallait que je réitère mes dires d'il y a cinq ans quitte à ajouter un mot, ou deux. Personne n'en a assez, de ces délits perpétrés par ceux qui font l'opinion, ou ceux qui décident, au nom de "valeurs" pas toujours très nettes ?

     

     

    Je suis raciste

    mercredi 5 octobre 2011



    Que ce soit sous la forme d'un zébu, d'un homo sapiens sapiens ou d'un orang-outang, toute créature qui vit par et pour l'argent est un être à rejeter. Donc vis-à-vis d'une telle erreur, je suis raciste.

    Je me suis laissé dire que les zébus ne recherchaient que rarement à s'enrichir sur le dos des yaks. Que les orangs-outangs possédaient une solidarité naturelle et enviable. Que la plupart des animaux qui rampent, volent, crissent, caquettent, blatèrent ont le même humanisme malgré leur obligation de tuer, parfois, pour vivre.

    Ne reste que cet homo sapiens sapiens, au rictus parfois déplaisant, mais au sourire pas toujours porteur de bonnes intentions. Le plus dangereux, l'homo sapiens dollarens, porte le plus souvent cravate, belles chaussures et chemise bien repassée. Regardez-le bien dans le soleil couchant : malgré ses lunettes d'aviateur, aux reflets métalliques, ses yeux brillent en forme de S barré de deux traits verticaux. Danger.

    Il faut remarquer que ce bipède (oui, généralement c'est ainsi qu'on le voit en public : en privé c'est autre chose) n'a pas toujours le même « métier », comme il dit. Banquier, il se déplace souvent autour du monde dans un véhicule crachant et rapide nommé « avion ». Politicien, c'est la limousine avec chauffeur qui le tente : c'est dans une taille un peu moins importante l'équivalent du véhicule précédent, avec des roues qui tournent violemment au lieu de « tuyères ». C'est pourquoi il passe plus près du sol, en général. Pourtant, on dit souvent de lui que « la Terre ne le porte pas » . Soldat, il présente un accoutrement surchargé de galons, de décorations, d'écussons, de gros boutons, et il adooore faire marcher ou courir d'autres hommes, pendant que lui ne bouge pas. Sa voix est forte. C'est tout, il n'y a rien d'autre à en dire. Les autres bipèdes de cette espèce, que l'on nomme patrons de presse, ou grands industriels, ou encore représentants du peuple, tendent à ressembler à ces types-là, selon les circonstances.

    En raison de ces aspects différents, seuls les yeux peuvent les singulariser et les signaler à notre attention. Il faut le répéter, ce sont des animaux dangereux, les seuls qui le soient vraiment sur cette planète. Le plus souvent, ils manœuvreront pour que des humains auxquels ils auront donné des ordres fassent à leur place des besognes cruelles, collectivement, et sans savoir la finalité de leurs gestes. Ces humains normaux, par contagion et mutation, deviennent parfois eux aussi ces sapiens sapiens aux yeux redoutables. C'est pourquoi cette engeance doit être combattue, par la parole, par l'écrit, par le geste aussi quand la pression est trop forte.

    Je suis raciste. Je combats l'homo sapiens dollarens. Frères humains, je vous en conjure, cessez de l'écouter, de lui obéir, car il vous tuera tous. Mais rappelez-vous : seuls les yeux peuvent le trahir, malgré les lunettes d'aviateur.

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  • On notera des contre-sens flagrants, une fois de plus.


    Selon l'AFP, quatre navires militaires iraniens sont passés mardi à pleine vitesse près du destroyer américain USS Nitze avec leurs armes découvertes dans le détroit d'Ormuz, ce qui a constitué une rencontre "dangereuse et non professionnelle", a regretté un responsable de la défense américain mercredi.

    Le bateau américain a tiré des coups de semonce, a sifflé et essayé sans succès de communiquer avec les navires iraniens, a précisé ce responsable qui s'exprimait sous condition d'anonymat.


    Mais après tout, QUI a tiré des coups de semonce ? Je ne savais pas que, dans les eaux internationales, existaient des limitations de vitesse : le détroit d'Ormuz ne fait pas dix mètres de large, que je sache (il fait 40 kilomètres).  Une provocation, une fois de plus ? Et bien sûr les Ricains une fois de plus aussi se croyaient sûrs de leur bon droit. Celui du "plus fort".

    Cela me rappelle une anecdote amusante.







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  • Non, l’immigration n’est pas un GRAND problème, à condition que les immigrants ne soient pas fustigés, et en même temps manœuvrés par des prêcheurs extrémistes. L’immigration est nécessaire, à doses raisonnables, pour compenser le déséquilibre démographique pourtant moins crucial qu’en Allemagne par exemple. Et si nous arrêtons de leur taper dessus chez eux avant qu’ils ne partent, leur flot se ralentira vite : on ne part pas ainsi avec la joie au cœur. 

    Je me doutais bien que ma position sur l’immigration allait donner lieu à polémique. D’abord parlons statistiques. J’ai lu il y a deux ans (donc avant la ruée actuelle, à mon avis passagère) que le solde des entrées et sorties de personnes en France était assez faible par rapport avec d’autres pays – car il ne faut pas oublier ceux qui partent, ne serait-ce que parce que ce sont des “libéraux” – dans les 1,5%.

    D'aucuns vont avancer : il suffit d'interdire l'avortement, ainsi il y aura plus de naissances comme au XVIIIe siècle au Québec (les familles de 10 enfants étaient quasi la règle). Vous n’admettez pas facilement l’avortement ? Dites-vous que selon moi la seule vraie possession que l’on devrait avoir, c’est celle de notre propre corps, ce que “religieux”, politiciens, “législateurs” s’ingénient à vous enlever. D’où cet acharnement contre l’euthanasie, par exemple. Quant à l’égalité, c’est mon Grand Cheval de Bataille, égalité réelle et totale (qui interdit d’être au-dessus de quelqu’un, mais aussi en-dessous, naturellement) qui heurte de plein fouet un machisme terriblement dominant.



    Pour ” l’histoire commune ” , combien de générations vous faut-il pour considérer l’avoir, donc pour « être de vrais Français » comme ils disent ? Les Burgondes en avaient-ils une commune avec les Ligures, les Gaulois, les Romains, les Wisigoths, les frustes Francs, les Normands, les Italiens qu’ont fit venir au XIXe sièclehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_des_Italiens_d%27Aigues-Mortes
    puis les Espagnols de la Guerre d’Espagne ou non, puis les Portugais
    http://www.dailymotion.com/video/x6qeiy_le-portugais-joe-dassin_music
    et bien sûr les Maghrébins que “nos troupes” avaient envahis au XIXe “pour leur bien”….. ?


    Ce jour-là, quand les soldats ont débarqué à Sidi Ferruch, ce sont nos frères d'autrefois, au temps où la Méditerranée était romaine, dont l'avenir fut brisé.

    Nous sommes un Peuple vivant, vivant parce que les apports extérieurs n’ont pas cessé, pendant que certains de nos compatriotes, eux, sont partis ailleurs comme à la suite de la révocation de l’édit de Nantes. Se replier sur soi, ce n’est pas bon du tout.


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  • Le Nouvel Ordre Mondial, les maîtres du néant  (vu sur le blog Notre ennemie l'union européenne )


    Ein Volk, ein Reich, ein Führer, voilà la nouvelle doxa.
    Ein Volk, les Banquiers
    Eux seuls existent, eux seuls ont une importance, ce qui est logique, puisqu'ils ne servent à rien qu'à eux-mêmes.
    Ein Reich, le Monde
    On ne finasse pas, pour ces apatrides le monde entier n'est même pas assez grand pour leurs activités prédatrices .
    Ein Führer, l'Argent
    L'Argent, Mammon comme disaient les juifs, est leur dieu unique, leur Alpha et leur Omega, à la fois la source et le but du POUVOIR, ce maître insatiable.

    Mais bon sang quand ils auront éliminé 90% de la population du globe, 90% des terres cultivables (par urbanisation, par empoisonnement, ou autre), 90% ou plus de plein de choses, qu'il n'y aura plus qu'une vingtaine de Grands Caïds et un certain nombre de larbins pour leur laver les chaussettes et le contenu, que les seuls trucs encore mangeables viendront de serres hautement sécurisées, aseptisées, anti-nucléarisées (ça, c'est moins évident) pilotées par des robots mécaniques et/ou humains, et qu'ils n'auront plus qu'à jouer au Pokémon Go sur une Terre dévastée, cela leur servira à QUOI ?
    "Les Dieux aveuglent ceux qu'ils veulent perdre"(Térence, il y a 21 siècles)
     
     
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  • Bonjour.

    Je viens de vérifier : il paraît que c'est demain 6 août que commenceront les festivités au Brésil.

    J'espère qu'un maximum de personnes prendront bien soin de les ignorer, afin de protester contre l'aspect répugnant de ce qui n'est plus du sport, mais du business et de la politique.

    J'ai pu observer que pas une seule fois n'a été soulevé un soupçon de dopage envers les athlètes "Occidentaux", et en particulier US. Il est pourtant patent que les ressortissants de cette contrée ne sont guère sans tache, on se souvient entre autres d'un certain coureur au tour de France. Mais pas qu'eux.

    L'esprit initial, nonobstant la personnalité du promoteur que j'aurais eu de la difficulté pour le qualifier d'ami si nous avions été de la même époque, avait tout de même une odeur plus saine qu'aujourd'hui, et bien que les dégradations aient commencé depuis longtemps. On se souvient trop bien, déjà, des personnalités rencontrées dans ce film "Les chariots de feu", qui n'étaient pas des modèles de vertu. Il s'agissait pourtant des années 1920.




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  • Je m'étais absenté deux ou trois jours, et au retour je découvre.

    Je découvre l'horreur, mais pas seulement elle. Slate.fr se pose la question de la débâcle de la télévision française. Je ne pense pas que ce soit cela. Je crains que ce ne soit, non pas une "boulette", une fatale erreur, mais bien au contraire une propagande vraie à partir d'images vraies.


    Des médias s'interrogent sur la façon dont un tel camion a pu, en pleine opération Vigipirate rouge clignotant, en plein état d'urgence, se faufiler jusqu'à la Promenade des Anglais. Sauf bien entendu si le conducteur (connu pour ses antécédents psychiatriques) a bénéficié de complicités, voire de commanditaires. Bien entendu, il est mort, comme "les autres" (Merah, Coulibali et consorts) il ne parlera pas. Une enquête sera bien entendue diligentée sur les circonstances de la location du camion, voire sur le financement de cette location. En aurons-nous les vraies conclusions ? D'où venait l'arme ? Et tant de questions....

    Je crains donc une opération TERREUR de plus, à laquelle les télévisions, dûment dotées d'une charte éthique pourtant, ont collaboré (de gré ou de force, on le saura peut-être) afin de renforcer le sentiment d'insécurité chez nos compatriotes.

    Il y a longtemps, gens du gouvernement, que nous le savons : notre seule insécurité ne peut venir que de vos services, grâce à des lois ad hoc qui donnent dans les faits tous les droits aux forces d'investigation brutale et de répression. 


     

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  • L'article 2 du projet de loi Travail serait intangible et inamovible, pour des raisons éminemment contestables, et très contestées. Le premier ministre serait têtu, semble-t-il. Soyons-le, nous aussi.

    Tout est bloqué, à ce propos-là, mais aussi à celui du projet d'aéroport à Notre Dame des Landes où il est tout autant droit dans ses bottes. Là encore la contestation est vive, large et particulièrement justifiée par un monde d'irrégularités. Irrégularités telles, et tellement fréquentes, que Françoise Verchère, figure historique de l'opposition officielle à l'aéroport, en a tiré un livre implacable.  Tous les grands marchés publics depuis bien des années sont passés au crible et dénoncés, pour leurs entorses aux lois jamais sanctionnées.

    Puisque le gouvernement tout entier, depuis la plus haute sphère et au-delà, est contesté, eh bien contestons. Prions avec amabilité, mais sans concession, toute cette camarilla de partir quelle qu'en soit la couleur politique affichée. Ceux qui "attendent leur tour" dans le parti d'en-face, dans LES partis d'en-face, ne valent pas plus cher. Il s'agit de faire place nette, avec des personnes nouvelles toutes issues de "la base", celle qui n'a pas le droit à la parole, surtout quand celle-ci va à l'encontre de CELLE DU PRINCE. On a l'impression de se retrouver dans l'École des Femmes.

    « C’est assez.
    Je suis maître, je parle, allez, obéissez. »

    Oui, soyons encore plus têtus, et renvoyons tout ce personnel grassement payé toquer à la porte de Pôle Emploi sans aucun espoir de retrouver ne serait-ce qu'une place de chaudronnier stagiaire ou d'apprenti boulanger. A quoi sert-il de discuter avec la mauvaise foi assumée ?

    Que n'existent plus les politiciens professionnels de la politique, que ne soient  amenés à décider que ceux qui n'en ont pas le goût, et qu'ils laissent vite leur tout à d'autres tout aussi vierges de grandes magouilles au long cours (dans la coulisse, "Des noms ! Des noms !" - ils ne manquent pas).

    Citoyens, prenez le manche de VOTRE destinée, car vous seuls pouvez la conduire, pas des bavasseurs au verbe haut, et encore moins - dure subtilité - les assistants de ceux-ci dont on ne sait rien, et qui mènent la baraque en sous-main pendant que le Maître pérore.

    La première tâche collective sera, EST, de constituer une Constituante chargée de remettre à plat un texte fondamental pourri par les nombreuses additions, soustractions qui en ont dépecé un équilibre déjà difficile au départ. Bien entendu, les Constituants seront honorés, mais ils ne pourront pas devenir avant longtemps les représentants du Peuple, s'il y en est prévu dans la nouvelle mouture. Et qu'on se le dise, comme je le suggère, c'est DÈS MAINTENANT qu'il faut commencer ce travail, au moins de défrichement de nouvelles solutions plus démocratiques. Des velléités existent çà et là depuis des années, mais leur dispersion les mène à l'impuissance. De plus, on note de forts antagonismes entre elles, car les aspirations sont multiples et contradictoires.

    Il va falloir que des personnes simplement convaincues du bien commun, sans artifices, s'y mettent. Je ne donnerai qu'un exemple. Sur l'illustration jointe, un homme est mis en valeur au centre, chapeau à la main. Ce n'est pas sans raison.  Jacques Jallet, natif de La Mothe Saint Héray (Deux-Sèvres), était curé d'une petite paroisse aujourd'hui disparue, Chérigné. Élu député, il était à Versailles pour les réunions des 3 ordres des États Généraux convoqués par le roi. Le 13 juin 1789 il quitte la salle où étaient assemblés les représentants du  clergé, et suivi de deux autres curés poitevins il se rend faire un discours dans la salle du Tiers État. Petit à petit d'autres curés suivront, ce qui aboutira à la réunion des trois ordres, et au serment du Jeu de Paume.  Parce que se mettre en avant n'était pas dans sa nature, il fut bien peu reconnu pour ses mérites. Il décéda deux ans plus tard.  Je pense qu'il est un exemple, par son humilité et sa conviction de se mettre simplement au service d'une grande cause sans rien en attendre.


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  • Pauvres Anglais ! (tiens, pour une fois je les plains)

    Ils n’ont pas, comme les Français, eu "la chance" de répondre non au TCE. Même si ensuite un COUP D’ÉTAT leur a imposé le traité de Lisbonne, les Français en toute légitimité peuvent virer les politicards actuels et les banquiers qui les financent, puis sortir IMMÉDIATEMENT, sans attendre la moindre permission, au nom du Principe de Nécessité, et selon les articles 61 et 62 de la Convention de Vienne (1969). Rejetant comme un a priori le traité de Lisbonne, ils n’ont pas à faire appel à l’article 50 du TUE qui en est un constituant.

    Sortir officiellement, bloquer les flux financiers, ceux qui les provoquent éventuellement, déclarer la patrie en danger, tout cela peut se mettre en place en quelques heures. 48 heures plus tard les derniers "diplomates" US ont quitté leur bunker, tous déclarés persona non grata. En même temps une simple lettre adressée boulevard Léopold III à Haren annonce la sortie pure et simple de l’OTAN.
    Dans les jours qui suivent, les grandes entreprises sont saisies et mises à la disposition du Peuple. Y compris éventuellement les filiales de grandes entreprises étrangères. L’interdiction des OGM et des défoliants est prononcée. Des personnalités sous le coup d’accusations de meurtre par refus de précaution (vu, la FNSEA ?) sont arrêtées.

    Le Quai d’Orsay se met en contact immédiat avec les BRICS et d’autres pays, pour des accords bilatéraux, en coordination avec les ministères de l’Agriculture, de l’Industrie..... car bien entendu aussitôt et en urgence des personnalités ont remplacé toutes celles qui détenaient les portefeuilles précédemment.
    Un mois plus tard, la France a un tout autre aspect, les cercles qui préparaient des idées pour une nouvelle Constitution envoient des délégués pour en assurer la synthèse, l’équilibrage, avec le concours de quelques juristes pour en vérifier la forme. Quelques mois plus tard les Citoyens sont appelés à entériner le texte, auquel ils auront eu loisir d’avoir accès (avec remarques éventuelles) avant sa forme définitive.

    Toutes les lois récentes sur le travail, sur les retraites, sont abrogées, ainsi que d’autres issues des instructions de Bruxelles depuis le 29 mai 2005. Les syndicats sont invités à quitter la CES, et à provoquer des congrès exceptionnels en vue de nouvelles têtes de préférence issues directement de la base. Le SMIC est dans un premier temps majoré de 20%. Les banques accordent aux PME des facilités de trésorerie sans contrepartie. (bien sûr, ce ne sont plus des euros, mais une nouvelle monnaie NON CONVERTIBLE) D’ailleurs les banques d’affaires sont dissoutes, les banques de dépôt deviennent les simples succursales de la BdF, AU SERVICE des clients, et non d’obscurs actionnaires.

    Voilà quelques-unes des mesures qu’on peut prendre très vite. Bien entendu, chaque personne qui le souhaite, et qui a un projet intéressant, peut monter son entreprise pour remplacer les apports extérieurs UTILES qui pouvaient provenir des pays anglo-saxons - ceux-ci ne manqueront probablement pas de frapper notre pays d’embargo !

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