• Ce matin 18 mai 2018, à nouveau les pléthoriques forces de répression du Pouvoir central frappent à Notre Dame des Landes. Perquisitions, contrôles d'identité continuent ; des bois, des cabanes subissent l'assaut du feu volontaire par les dégradants dégradeurs de VIE.

    Des dizaines de camions, des dizaines d'engins divers, des troupes à pied par centaines sont mobilisés à prix d'or : c'est LA GUERRE !

    C'est le cas partout : dès que les salariés, fonctionnaires ou non, font mine d'en faire plus qu'une anodine promenade de santé sous la vigilante surveillance des chiens de garde syndicaux, les gros bras de la RÉPRESSION arrivent, gazent, arrosent, cognent.... il est devenu interdit au nom "de l'ordre" qui se répand en désordre de manifester son opposition à un RÉGIME fascisant, illégal en raison des monumentales triches aux élections. Toutes les lois sont désormais illégitimes et au moins dignes de Vichy, si ce n'est pire.

    Le DÉSORDRE MONDIAL est en pleine action, partout, dans tous les pays : l'important n'est-il pas que les TRÈS ULTRA-RICHES le deviennent de plus en plus, de plus en plus vite, tout en utilisant la FORCE pour maintenir indéfiniment cet "avantage" ? En même temps (eh oui, là aussi), les médias "aux ordres" assurent que tout va bien, mais s'en prennent à tous ceux qui tentent de les contrer, en les dénigrant, en inventant des forfaits qu'ils auraient commis. Bien entendu, tous ceux qui sont dans la ligne sont de petits saints, même et surtout s'ils sont de véritables pourris.

     

    Françaises, Français, la Patrie est en danger comme en 1792, mais de façon bien plus insidieuse. Edward Bernays est passé par là. Le double neveu maudit de Freud a su inventer la coercition qui emporte l'adhésion de la victime. C'est bien ce qu'Orwell avait compris dans ses livres, 1984 bien sûr, mais plus encore La Ferme des Animaux. Le Service Public (de chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins (et non ses désirs) est attaqué de toutes parts : les fonctionnaires l'ont bien compris, c'est pourquoi le RÉGIME fait tout pour les discréditer, et les faire passer pour des privilégiés alors qu'ils sont les gardiens de notre avenir ensemble.

    Contre nous, de la TYRANNIE l'étendard sanglant est levé....

    Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines,
    Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne....

    Il est terrible de penser que L'ENNEMI est celui qui fait mine d'avoir été élu par nous, les Français, et qui par ce fait s'accapare les forces de répression pour son propre usage et celui de ses amis les TRÈS TRÈS riches. A côté de cela, le terrible épisode de Vichy, c'était du gâteau !  D'autant que bien entendu, beaucoup ne se rendent compte de rien, encore une fois.



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  • Le 10 mai 1968, j'étais étudiant à Poitiers.


    Je participais comme je pouvais aux forums de discussion (enfin, à certains : il y en avait trop) à la fac, sur le devenir des étudiants. Certes, cela n'a pas abouti : combien de projets n'ont pas abouti !

    En même temps (eh oui) j'étais membre d'un parti de gauche présidentielle pour jeunes (paradoxe, oui, cela aussi existait dans cette période folle). Le 10 mai notre petit noyau local avait depuis déjà deux ou trois semaines invité Léo Hamon à discourir à la Maison du Peuple (nan, pas du tout dans un endroit sélect). 




    Nous avions réussi à nous cotiser (en raclant copieusement les fonds de poches) pour tirer des affiches, et nous avions passé nos nuits à les coller un peu partout, à Poitiers et à l'extérieur.




    Ce 10 mai est arrivé : nous avons mis en forme la salle, longtemps à l'avance. Léo Hamon est arrivé un peu en retard (grève des trains entre autres), et puis il n'a pas du tout parlé de ce qui était prévu, parce que ce jour-là les barricades étaient en train de se dresser à Paris (nous ne le savions pas, bien entendu) et il a discouru là-dessus. La salle était fort peu pleine. Puis nous avons dîné ensemble. C'était un homme agréable, mais il n'était plus étudiant, et le décalage était visible.

    Mai 68 ? Un mythe. Une brume chargée de cacher l'important : ce mouvement n'avait RIEN de spontané, comme je l'ai lu plus tard. Si, ce qui fut spontané, c'était la grève des employés de Sud-Aviation à Nantes dès le 9 avril, qui dura jusqu'au 30 mai.



    Puis les autres grandes entreprises suivirent, surtout à partir du 13 mai, Renault, la SNCF, les fournisseurs de carburant, l'audiovisuel (public, il n'y en avait pas d'autre sauf une ou deux radios)... l'un dans l'autre, ce fut assez inoubliable.  Comme ce pont de l'Ascension (23 mai) où je retournai le lundi 27 au matin à Poitiers : les voitures, rares, prenaient assez volontiers des stoppeurs. Un autre point d'orgue magistral fut la manifestation le 31 mai de ceux qui commençaient à en avoir assez, qui eut lieu à Poitiers le lendemain de celle de Paris : c'est raconté dans le bouquin que j'ai écrit, page 97. Ce jour-là un jeune homme très timide, mais conscient de ses responsabilités, a retenu par le col un monsieur qui aurait facilement pu être son père, voire son grand-père, et qui soudain voulut se jeter sur les contre-manifestants malgré le service d'ordre solide de la CGT.

    On a beaucoup parlé de mai 1968, souvent en mal : pour qui n'avait pas connu le contexte antérieur, certes, cela peut présenter bien des aspects négatifs. Il faut dire que cela correspondait à un basculement de la société résolument patriarcale, vers une bouffée d'air. La France sortait de la reconstruction après la guerre, et commençait à relever la tête après l'avoir eue à fond dans le guidon : un grand nettoyage de printemps s'imposait vraiment. C'est d'ailleurs pour cette raison entre autres, que j'avais sorti ce livre racontant un autre monde gris, dur, de plus en plus insupportable.

    En revanche, l'évolution de cette même société aujourd'hui nous rapproche à nouveau d'une vie dure, sombre, grise, et en plus, dangereuse. A terme, si cette pente continue, dans quelques années ce sera pire qu'en 1950. Pour certains, de plus en plus nombreux, ce l'est déjà.




    Ce court métrage de 23 minutes date de 1954. Tout y est authentique, malheureusement. Cela correspond avec le début des grandes actions de l'abbé Pierre.


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  • Les Palestiniens la nomment ainsi, la Nakba.



    Le 15 mai 1948 marque le basculement. Avant cette date, des hordes de terroristes nommées Hagana, Irgoun, Palmach, Lehi, groupe Stern s'attaquent périodiquement, mais avec une grande violence, aux villages de la Palestine. La Palestine, c'est le nom de ces terres qui s'étendent entre la Méditerranée et le Jourdain.

    Ce jour-là, dès minuit passé, certains de ces terroristes s'auto-proclament État, sous la bienveillante compréhension des autorités anglo-saxonnes, reines du coin depuis les accords Sykes-Picot du 16 mai 1916. Aujourd'hui encore ce n'est pas plus : cet "État" n'a ni constitution (juste deux lois d'orientation), ni frontières reconnues par la communauté des nations. C'est d'ailleurs pratique : cela permet de continuer à s'étendre sans autorisation, d'où l'occupation illégale et illégitime du plateau du Golan à partir du 5 juin 1967.

    A partir de ce jour-là, les Palestiniens sont pourchassés de toutes les façons possibles, afin de donner un soupçon de vraisemblance à ce slogan choquant "une terre sans peuple pour un peuple sans terre". Beaucoup sont tués par ceux qui étaient des terroristes, et qui deviennent par un coup de baguette magique "l'armée". Beaucoup sont obligés de fuir (on parle de neuf cent mille). Malgré tout, il en reste encore beaucoup, sur leur terre qui désormais, là encore par enchantement, n'est plus la leur. Documents notariés, ou pas.

    Qu'on ne s'y trompe pas : il ne s'agit aucunement d'une affaire religieuse. Aujourd'hui encore, de nombreux juifs refusent cet état de fait, y compris certains qui vivent depuis très longtemps dans un quartier de Jérusalem, Mea Shearim.  Mais aussi d'autres, qui manifestent souvent à Paris, à Washington...

    Il ne s'agit aucunement de "race" comme disaient certains, puisque cette notion n'existe tout simplement pas.  Il est d'ailleurs probable que des recherches d'ADN montreraient (et montrent, parce que quelques recherches ont effectivement eu lieu dans ce sens) que les vrais descendants de ceux qui vivaient là il y a mille, deux mille ans, sont ceux-là même que des intrus ont voulu chasser.

    Donc, le 15 mai 1948 est le pivot de cette appropriation par des gens venus d'ailleurs, de la terre mise en valeur avec ferveur par ses habitants séculaires. Il s'agit bien entendu d'une affaire politique, concrétisée dès le 2 novembre 1917 par la déclaration Balfour, une lettre adressée par le ministre des affaires étrangères britannique, Lord Balfour, à un autre Lord, banquier, qui s'appelle déjà Rothschild. Celui-ci est le descendant de celui qui, en 1815, se fit un joli coup de bourse le 18 juin grâce à la bataille de Waterloo.



    Cet « État » imposé aux forceps par les vainqueurs de l'époque est bien entendu sans aucune valeur, hormis la force qui le maintient encore pour le moment.  Il est la simple cristallisation en Asie du Sud-Ouest d'une sorte d'hyper-base turbulente, mais essentielle pour les maîtres de Londres et de Washington. Ceux qui ont le vrai pouvoir, bien entendu, pas les présidents, premiers ministres et autres personnalités au pouvoir très incertain. Et quand ceux-ci veulent apporter du bien, "des forcenés" tout surpris par le geste qu'on leur attribue sont accusés de les avoir retirés du peuple des vivants.



    Quand cet état de fait révoltant finira-t-il ? La communauté des nations va-t-elle se réveiller, maintenant que les empires de la mer commencent à devenir moins puissants (qu'ils le veuillent ou non)  ? Les descendants des cruels seigneurs Khazars qui s'étaient convertis au judaïsme par intérêt aux alentours du XVe siècle (souvent convertis – encore une conversion – aujourd'hui en banquiers) vont-ils enfin cesser de nuire au monde entier ?

    Citoyens de toute la Terre, n'oublions pas cette date funeste : le 15 mai 1948. C'était il y a septante ans, c'était hier, c'est encore aujourd'hui. Car aujourd'hui encore, des Palestiniens tout ordinaires sont chassés de leurs maisons (aussitôt détruites le plus souvent) pour laisser la place à d'autres venus d'ailleurs. D'autres dates furent tout aussi funestes, ailleurs : le 11 septembre 1974 au Chili, le 20 mars 2003 en Irak, le 13 février 2011 en Libye... toutes initiée par les mêmes : des banquiers aux dents hypertrophiées de morses.

    On se souviendra que souvent, au plus jeune de la famille ainsi privée de sa demeure séculaire est remise la clef de celle-ci, à transmettre à ses enfants.




    Un jour, ces familles reviendront, quand l'Empire anglo-saxon du Grand Capital se sera écroulé sous sa suffisance, sa morgue et sa violence. Dans vingt ans ? Probablement guère plus. Peut-être moins.



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  • Quelques humains sont en train de tuer la Terre et ses habitants. Sont -ils nombreux ? Pas même un sur dix millions, et de loin. Seule difficulté : ils ont réussi, par une grande perversité, à occuper les rares vrais postes de commande. Après, par cascade, par intérêt personnel, par peur, d'autres bien plus nombreux suivent et appliquent ce que leur ordonnent ceux du "sommet". Sans doute même n'ont-ils pas vraiment conscience de la malignité de ce qu'on leur fait accomplir.

    Qui peut donc bien transformer en marionnettes tout et tous ? Réfléchissons.

    On a un peu tendance à les oublier : sont en bonne place les grandes familles, régnantes ou pas, qui tinrent ou tiennent toujours les trônes. Ce sont les Hanovre-Windsor, les Bourbon, sans doute les Vasa, à une échelle moindre les Grimaldi... peu de noms en fait, mais qui continuent à peser lourd.

    Au même niveau s'immiscent les Banquiers, ceux qui font de l'argent avec rien, sans doute plus puissants encore. Ils perpétuent la tradition des banquiers "lombards", qui depuis le XIIe siècle se sont fait une réputation plus que sulfureuse. Il a été souvent noté que, prêteurs aux rois, ils leur imposaient leurs vues, et de fructueuses autorisations pour des méthodes d'enrichissement encore plus sordides. A leur décharge, il faut bien avouer que certains de ces souverains, tel Philippe IV "le Bel", ne se gênaient pas pour rogner les pièces, afin d'en frapper plus avec la même quantité d'or.



    Qu'allons-nous faire ?



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  • C'est la guerre en Syrie, c'est la guerre sur la ZAD, c'est la guerre contre la laïcité facteur d'harmonie, c'est la guerre contre la langue française, c'est la guerre contre les Français les plus humbles, les plus démunis, et ceux qui le deviendront très vite.  Pas une guerre subie, mais une guerre servile envers les plus que fous de l'État profond US, ces anciens trotskistes devenus ennemis du genre humain tout entier.
     
     Les collectifs de Notre-Dame des Landes (oui, tout y est collectif, c'est bien ce qui gêne certains individualistes hargneux) étaient prêts à négocier collectivement, et non individuellement comme le voulait la préfète (simple appendice de l'Élysée bien entendu). Résultat : on tape sur eux à tours de bras, sur eux, et éventuellement sur leurs soutiens de toute la France. Les deux cents et plus collectifs sont toujours là.
     
    La laïcité est frappée délibérément, afin de satisfaire des "amis" qu'on nomme la Haute Église, le CRIF, les salafistes (mais pas les simples citoyens musulmans respectueux de la République), d'autres encore sans doute : tous sont utiles, y compris pour envoyer "des terroristes" formatés maison combattre les gouvernements légitimes, ou perpétrer des "attentats" calibrés pour faire peur à la population et la rendre malléable.
     
    La langue française est rejetée, pressurée, interdite de fait par l'emploi délibéré de termes vaguement anglais et incompréhensibles aussi bien par "les journalistes" (pas les vrais bien sûr, ceux-là sont au chômage), que par les "hommes politiques" y compris ceux OCCUPANT l'Élysée comme des proconsuls d'une nouvelle Rome.
     
    Les Français qu'ils soient de longue date, ou d'arrivée plus récente, sont DES FRANÇAIS, que Jupiter le veuille, ou non. De plus en plus d'entre eux, mêlés dans leur misère, se retrouvent à dormir sur un coin de trottoir s'ils ne sont pas délogés (sic) par une police tâtillonne qui ne veut pas les voir. Bécaud hurlait :
    « Je suis Indien, je n'existe pas, on ne respecte pas un Indien sans ses plumes ! »
     
    Désormais, c'est chose faite aussi pour les Français, qui n'existent plus que comme con sommateurs dociles et bêlants (pas trop fort, il ne faut pas déranger les sommités de l'État, voyons).
     
    La France a pourtant de fières origines, et de fiers piliers de sa grandeur à travers les siècles. Je l'ai reporté sur ces deux grandes pages.

    https://ti1ca.com/oogry1u6-chron-langue-France6-chron-langue-France6.pdf.html
    En voici un petit extrait.

     

    Aussi longtemps qu'ils restera deux Français au moins, ils incarneront tout cela, que les autres le veuillent, ou non. Mais pour le moment le "président" a déclaré la GUERRE à notre France. Qu'on se le dise, et qu'on agisse pour qu'il N'EN SOIT PLUS AINSI.

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  • C'est au plus haut niveau de l'État, et plus haut encore sans doute, que désormais résident les "valeurs" qui nous sont assénées avec une puissance inouïe.

    Partout en France, des actions opposées aux droits fondamentaux des gens sont déployées à grand frais (qui paie ? nous, contribuables ulcérés). Ce sont des plans Vigipirate renforcés de chez renforcé, dont la seule utilité est d'habituer (comme si c'était possible) les citoyens à être côtoyés chaque jour par des hommes en armes. Cela peut éviter les insurrections. Traduisez : ainsi le Peuple serait tué avant même de bouger le petit doigt pour se révolter.

    Ce sont des opérations coup de marteau, à Sivens, à Bure, à la ZAD de Notre Dame des Landes, avec des milliers d'hommes transformés en coléoptères géants. Toute manifestation qui n'est pas gentiment assumée par les collabos des centrales syndicales est entourée, pressurée, intimidée, voire molestée, comme aujourd'hui à Ploermel où le collectif de défense de la ZAD local se retrouve dans la nasse en voulant seulement distribuer des tracts.

    Tous ces coups de boutoir sont assénés au mépris de toutes les lois, car bien entendu un homme porté à l'Élysée par 14% de la population active après force manipulations des bulletins blancs (moins de 10%, sinon ?) devient un dieu au pouvoir sans partage.

    EN LE PEUPLE SEUL ET ENTIER RÉSIDE LE POUVOIR

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  • Des multinationales, des banques au-dessus des banques, ont déclenché le grand chambardement.

    Cela se présente sous la forme d'une attaque d'une violence inouïe conte un coin de terre préservé des pesticides depuis l'origine : vous imaginez le scandale ! Gardées en friches par décision de construire un énigmatique aéroport, qui ne vit jamais le jour, ces terres n'ont été mises en valeur, assez récemment, qu'avec des moyens particulièrement respectueux de l'environnement. Pas d'engrais chimiques, pas de pesticides, antifongiques, rien que l'amicale main de l'homme. Les conservateurs bénévoles de cette terre avaient conclu un accord commun en ce sens, et "les autorités" paraissaient d'accord.

    Soudain, ce sont des moyens dignes de l'armée qui sont mis en action, pour réduire  à néant ce processus d'une façon autoritaire. C'est au point qu'une audience du tribunal de grande instance de Nantes va avoir lieu en ce jour 12 avril, pour mettre en accusation la préfète sur des cas très précis et recevables.

    Pendant ce temps-là, lesd destructions arbitraires et STUPIDES vont continuer. Il ne s'agit pas de quelques activistes barbus et violents, mais de jeunes qui avaient une existence officielle, un projet déclaré, et viable. Le message est clair : pour "ces messieurs" de boîtes à poison comme Limagrain ou le groupe Avril, comme Lactalis, mais aussi Monsanto et son légendaire Roundup, Syngenta l'alter ego suisse... une terre saine n'est pas concevable. Les humains ne doivent avoir droit qu'à du chimique intégral. Pour faire disparaître ces parcelles préservées, si nécessaire on fera disparaître les humains (les vrais) qui les protègent.

    En attaquant ces personnes particulièrement honorables, c'est toute l'humanité qu'attaquent les troupes de choc d'un gouvernement simple rouage des grands puissants du fric. La représentation dite "nationale", réunie pour l'occasion parmi des personnes sollicitées au dernier moment et pas du tout motivées, ne dit rien. Cela fait bien entendu partie de la stratégie : l'opposition ne provient que d'une base lointaine, et de quelques opposants minoritaires.

    Au nom de nos enfants, et des enfants de nos enfants, allons-nous laisser faire ? Rappel de l'article 35 de la Déclaration des Doits de l'Homme de 1793.

     "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs".


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  • De notre envoyé spécial à Les Souhesmes-Rampont (Meuse)

    Nous avons appris vers deux heures du matin qu'une  grosse berline roulant à très vive allure sur l'autoroute A4 venait d'être interceptée par une escouade citoyenne sur l'aire de repos de Rarecourt, près de Sainte Menehould.

    Un chef de l'État en exercice a été reconnu dans la voiture à l'arrêt à l'aire de repos de Toulettes par un citoyen nommé Drouet, et c'est à la bifurcation vers l'aire suivante de Rarecourt que des hommes en gilet réfléchissant ont fait arrêter le véhicule pour vérification.



    Il semble que l'homme intercepté fuyait l'ire des différentes catégories de citoyens touchées violemment par ses ordonnances. Est-ce le retour du destin ? Quelques kilomètres en amont, il était passé près du moulin de Valmy, symbole fort de la République Une et Indivisible. Il a été reconnu au niveau de Saint Menehould, mais à la différence de 1792 l'autoroute continue plein Est, au lieu de monter au nord-est vers Varennes en Argonne. Tentait-il de rejoindre la Kaiserin pour demander sa protection ?

    L'escouade citoyenne formée dans l'urgence désire désormais être nommée Escadron République Française. Ils sont près de moi, je les interroge.
    – Que pensez-vous de votre geste ?
    – Il s'agissait de dire : cette fois, c'est assez.
    – Qu'allez-vous faire maintenant ?
    – Nous allons le ramener à Paris sous bonne escorte, car d'autres citoyens se sont joints à nous.
    – Envisagez-vous de le juger ?
    – Il sera jugé par le Peuple Français envers lequel il y a eu une Très Haute Trahison. Ses nombreux complices passés et présents seront arrêtés également. Non, pas de noms ici. La Très Haute Trahison est une notion nouvelle, qui sera incorporée dans le Droit. Les accusés auront pour une fois un jugement équitable.

    Le soleil se lève sur l'Argonne en ce premier avril, non loin d'ici serpente la Voie Sacrée qui sauva Verdun en 1916. Ici, Les Souhelles-Rampont, à vous les studios.

    bab



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  •  Le Peuple POSSÈDE le Pouvoir.  Il le possède, en tant qu'entité supérieure, en son entier, car selon l'article 3 de la Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 (le sexe n'y change rien, bien entendu) :
      
    Art. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.

    Cet article est l'application de la déclaration de la Convention :

    Déclaration du 25 septembre 1792

    La Convention nationale déclare que la République française est une et indivisible.

    Cela implique que SEUL, en son ENTIER, le Peuple incarne la souveraineté nationale, celle qui est reconnue par les autres Nations, et qui est la base de toutes les lois, y compris les Constitutions.

    Le Peuple décide de son destin en étant la cheville maîtresse de la rédaction de la Constitution, dont il discute et amende chaque proposition : des rédacteurs choisis par Lui parmi toutes les couches de la société (sur la base du volontariat) s'assureront de la cohérence entre les dispositions, et feront entériner ces ajustements  entre eux. Puis le Peuple en son entier décidera de la validité de l'ensemble, grâce à un référendum solennel.

    Cette base acquise et acceptée par tous, pour avoir pu être discutée par tous, le Peuple délègue souverainement le fonctionnement des institutions, avec dans cette idée que tout blocage majeur de ces institutions ne peut être dénoué que par Lui-même.

    Le président devrait, dans l'esprit de la République Française, n'être qu'un arbitre pour les cas ordinaires entre les différents Pouvoirs :

    —  le Législatif délégué par le Peuple FAIT les lois du Peuple, pour le Peuple et peut à tout moment être récusé par le Peuple en son entier, ou nominativement en cas de faute grave dans son mandat.

    — l'Exécutif  exécute et met en pratique dans le détail ce que les représentants du Peuple (et pas de lobbies) ont décidé pour le bien de tous.

    —  le Judiciaire veille à la droiture des personnes physiques ou morales dans le cadre des lois votées par le Législatif.

    — le Monétaire, représenté par une entité nommée Banque de France,  a pour mission de surveiller cet OUTIL qu'est la monnaie, siègent à son conseil d'administration des représentants de la société civile non banquiers, des parlementaires à tour de rôle, un représentant du gouvernement  et un économiste qui n'a qu'une voix comme les autres membres. Ce Conseil d'Administration a dans son esprit que toute spéculation et manœuvre sur la Monnaie est un crime majeur assimilé à un meurtre avec préméditation.

    —  l'Informatif rapporte au Peuple ce qui est fait sans le déformer, sans en cacher une partie, et a le droit plein et entier de commenter pour expliquer, voire donner des OPINIONS présentées pour telles.



    Plus que jamais, chaque membre du Peuple doit savoir qu'il est un acteur essentiel de la bonne marche de la vie en commun. Quant aux relations avec les autres Nations, elles sont basées sur le même principe : la liberté de chacun s'arrête où commence celle des autres, et "nul ne peut faire à autrui ce qu'il ne voudrait pas que celui-ci lui fasse."

    Cette dernière partie de la phrase pointe expressément des pratiques que plusieurs États OXYDANTaux  ont eu vis-à vis d'autres États dans le passé, ou aujourd'hui encore. On se souvient trop de ce qu'ont fait en Afrique par le passé des Jules Ferry, des Léopold II, des Mussolini, mais aussi avec une grande constance pratiquement tous les premiers ministres britanniques un peu partout dans le monde. Plus malins encore, aujourd'hui ceux-ci délèguent souvent cette tâche à leurs proconsuls à Washington, Ottawa, Bruxelles-OTAN, Canberra, Tôkyô....

    Pour conclure, rappelons-nous, et APPLIQUONS, cet article 35 de la Déclaration de 1793 (celle dont on parle beaucoup moins) :

    Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

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