• Le 15 avril 2013, le site Spoutnik diffusait cet article très pertinent :

    L'avènement d'une Quatrième Guerre mondiale est scientifiquement probable


    Nous sommes le 15 avril 2017. L'article n'a pas pris une ride, au contraire il semble avoir été écrit ce matin.

    Selon une thèse personnelle, la Troisième Guerre Mondiale a commencé le 6 août 1945, par l'utilisation jusqu'à présent sans doute unique d'une arme de destruction particulièrement massive. Il s'agissait pour l'ogre de Washington et son trou-man de porte-parole d'empêcher une plus grande expansion de l'URSS à l'Est. Comme d'habitude concernant Washington, le nombre de morts importait peu, seul comptait le résultat. Calcul typiquement anglo-saxon. Cette guerre mondiale s'est poursuivie en une série continue d'escarmouches dans le monde. Celle-ci a eu raison de l'URSS, certes, il y a déjà 26 ans. Mais elle n'a pas porté atteinte à la Russie, le pivot de l'union.

    Au contraire, celle-ci s'est relevée, et redevient enfin et plus que jamais un adversaire avec qui compter. Perspective impensable pour l'Ogre, d'autant plus impensable que désormais l'Ours s'est allié avec le Dragon : le pays le plus grand en superficie, et le plus peuplé, font front ensemble. Perspective, mais non danger. Car l'Ours et le Dragon demandent seulement qu'on leur fiche la paix. C'est bien trop demander au descendant des assassins de cinq cents nations amérindiennes. 





    C'est pourquoi cette Quatrième Guerre Mondiale, le Juge Dreed de service la veut au plus tôt, rien que pour satisfaire son besoin viscéral de domination totale. Quitte à ne dominer que le profond souterrain où il se sera réfugié par prudence avant d'appuyer sur le bouton.

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  • Il y a peu se déroulèrent les primaires de la droite, dans l'indifférence quasi générale, hormis chez les prêtres des médias qui psalmodiaient des airs convenus.

    Pour bientôt se préparent les primaires de la gauche, sous les quolibets, voire les horions. Le soufflet qui fit hausser les sourcils des bien-pensants du marais médiatique fut bien plus que cela : c'était un soufflet de toute la vraie France, celle qui travaille, ou qui tente de le faire, envers toute celle qui s'impose depuis sa morgue, aux deux sens du terme.

    C'est la morgue des « grands » envers ceux qui triment pour leur payer festons dorés et chasubles d'or, contents, ou pas.

    C'est la morgue où se réfugie le cadavre de la gent politicienne, plus que discréditée, incinérée sur le bûcher qu'elle s'est elle-même dressé à coups de mépris.

    Oui, ce soufflet est le geste instinctif de millions d'opprimés, sur la caste d'oppresseurs aux casquettes différentes, mais au contenu identique. Ce soufflet a retenti comme le signal de la fin pour les barbares du premier rang, pour les tenants du POUVOIR mondial, toutes nuances politiques confondues, d'une droite extrême se répandant depuis son PACAge jusqu'aux terrils, à une gauche extrême mondialiste jusqu'aux cheveux.

    Allons, mesdames, messieurs les Superbes ! Ite, missa est. Allez-vous en, le message vous a été envoyé, adressé, infligé, asséné. Dehors ! Dehors, avec vos amis milliardaires en sous-sous et en POUVOIR. Vous êtes véritablement dans les cordes avant même le match, écrasés par les huées, les haros et les invectives. Place au Peuple, peuchère. Avec 2017, ce sera son Grand Retour, après que vous ayez été copieusement chouchoutés, gattazés pendant plusieurs générations déjà. Vous avez besoin de nous, nous n'avons pas besoin de parasites.

    Good Bye Farewell chez vos amis anglo-saxons, et ne revenez pas, jamais.

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  • Les « Primaires » à la française : un coup de boutoir insidieux dans nos institutions, mais
    Quid de leur légalité ?
    L’instauration subreptice des « Primaires » dans la scène politique constitue dans leurs formes comme dans leur organisation une pratique extra-institutionnelle inédite qui non seulement pose problème sur leurs conséquences dans la vie publique à terme, mais interroge aussi tant sur leur légalité que sur leur légitimité.
    Cette intrusion progressive revient à modifier nos institutions par la bande, sans débat public, sans bilan critique, et, bien sûr, sans consultation des citoyens, ce qui aboutit à utiliser de plus en plus la pratique du « fait accompli » comme méthode de réforme.
    D’autres exemples récents comme le « pseudo-référendum » concernant le projet d’aéroport à Notre-Dame-des -Landes, limité à un seul département, annoncé d’ailleurs comme dépourvu de caractère contraignant, mais surtout totalement inconstitutionnel contribue à banaliser de façon inquiétante la mise en place de pratiques illégales. 
    Des exemples antérieurs comme le référendum sur le quinquennat organisé à la sauvette, sans débat public, au retour des vacances en septembre 2002, ou bien l’inversion du calendrier électoral de 2002 par Lionel Jospin, avaient initié cette habitude de plier et tordre les institutions selon les besoins immédiats du moment sans égards pour leurs conséquences à long terme.
    Cependant avec l’établissement de ces « Primaires » ce n’est pas seulement le problème de la légitimité qui est posé mais bien celui de la légalité de leur organisation et de leur déroulement. 
    Une formation politique peut-elle utiliser les listes électorales des mairies pour organiser la désignation de son candidat ?
    Les formations politiques ont-elles le droit d’organiser des primaires ouvertes à tous les électeurs ?
    Les formations politiques ont-elles le droit d’organiser un vote payant ?
    La circulaire du ministère de l’intérieur du 22 février 2016 rendant les mairies  « libres d’accepter ou non les demandes émises par les partis politiques de mise à disposition de locaux ou de personnels communaux, de fournir les isoloirs et les urnes voire l’utilisation des panneaux d’affichage municipaux... », tout ceci étant laissé à leur appréciation ne semble pas avoir d’assise juridique bien solide car elle établit l’inégalité de fait en fonction des options personnelles ou des humeurs des édiles locaux. D’autre part on peut considérer que s’agissant de locaux et de matériel officiels de la République, ils ne peuvent servir à une même utilisation électorale par des organisation partisanes. 
    Les formations politiques désirant recourir à des élections primaires devraient normalement les organiser avec leur propre matériel électoral, dans des bâtiments leur appartenant, ou dans des bâtiments non officiels loués à cet effet. Elles devraient réserver le vote à ses adhérents et éventuellement à ses sympathisants d’après les listes qu’elles détiennent sans mettre à contribution ni personnel ni matériel communaux.
    Toutes ces pratiques illégales qui finissent par s’imposer par le fait accompli et se multiplient aujourd’hui relèvent plus d’une culture « putschiste » que d’une culture républicaine. Comme pour le déni de démocratie suite au référendum de 2005, et le véritable coup d’état du traité de Lisbonne, mais aussi la réforme territoriale arbitraire, elles traduisent avant tout un profond mépris du peuple. 
    Symptôme du délitement de nos institutions, le peu de réaction qu’elles suscitent révèlent en même temps un état d’affaiblissement inquiétant du corps social et politique de notre pays. 
    Plus que jamais l’élection d’une assemblée constituante semble indispensable.
     
    Denys Renaud - cercle Pour Une Constituante de Nantes

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  • Avec certains amis, j'étais arrivé à la conclusion que le 20 décembre pourrait être la date butoir pour le déclenchement des hostilités. Les fous du Pentagone y tiennent tant ! Et il leur faut avoir déclenché l'irrémédiable AVANT la confirmation pour Trump qu'il sera bien président.




    Les grands électeurs se réuniront pour voter demain lundi 19 décembre : les résultats ne seront connus en Europe que le 20 bien sonné, avec le décalage horaire. La Russie est encore plus en avance. Donc le décompte horaire correspond.





    Les vecteurs "stratégiques" sont fin prêts. Le Charles de Gaulle, dont il avait été dit qu'il était de retour à Toulon, est toujours sur zone comme a pu le constater le chef des armées en tournée de popotes. Ses Rafale sont prêts, ceux basés en France métropolitaine le sont également désormais. Quant aux rafiots d'Oncle Sam, ils jouent aux scouts "toujours prêts", voui voui voui voui.




    Après ce sera plus difficile, à moins que la "trêve de Noël" ne vole en éclats puisque les fous de guerre ne respectent rien. La capture d'officiers de l'OTAN à Alep doit pourtant les coincer aux entournures, parce que leur propagande faisant reposer tous les torts sur les  troupes régulières syriennes et les invités russes tombe vraiment à faux. Cela peut cependant les doper encore plus dans la volonté d'en finir en apothéose. Seul ennui pour eux, ils savent que Moscou sait tout de leurs mouvements, ce qui doit freiner quelques ardeurs à part celles de quelques jusqu’au-boutistes irresponsables et bien téméraires.


    Qui vivra verra. Drôle de fin d'année.

    bab

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  • Il ne reste plus que deux mois aux hordes de Washington et leurs chiens damnés pour lancer leur offensive afin d'alimenter le Moloch. Deux mois. Ensuite, ils passeront la main, le supplétif à manivelle improprement nommé le Charles-de-Gaulle devra rentrer pour révision, le soutien partout sera affaibli, les dents seront cassées. Les Rafale actuellement sur le qui-vive seront rentrés à la niche.

    Vont-ils oser se lancer ? Les grands fauteurs de guerre du Pentagone trouveront-ils le prétexte "vendable" auprès des populations US pour préparer leur fête (à admirer de loin, comme ils l'imaginent) ? Sans doute, leur position dans un Washington un peu à l'intérieur des terres leur donne-t-elle un sentiment d'invulnérabilité. Leur rage (au sens réel de la maladie) qui leur donne l'envie de mordre tout ce qui est à portée doit les tenailler tellement !




    Je pense que, si quelque chose est lancé, les Russes pas du tout agressifs, mais déterminés, leur feront apprécier LES PREMIERS l'étendue de la riposte. Elle sera fulgurante et irrémédiable, c'est à la fois juste et nécessaire.

    Si pareille catastrophe survient, les étendues immenses de la Russie l'aideront une fois de plus, alors que probablement les régions entre Rio Grande et Grands Lacs seront une marmite de sorcière. En particulier leurs deux côtes, celles qui votent encore pour les chiens de guerre. La ville de L'Enfant ne sera plus qu'un lointain souvenir (rien moins qu'impérissable d'ailleurs). Les bas quartiers de la Grosse Pomme en seront au même point, eux qui abritent tant de Grands Banquiers. San Diego, Norfolk ne seront que quelques ruines fumantes, de même que Seattle. Ne resteront que les États centraux du blé et des bovins, car probablement l'orgueilleuse Chicago aura-t-elle subi le sort des côtes, avec quelques minutes de retard, ainsi sans doute que le quartier général sous la montagne, près d'Omaha.

    Deux mois à tenir ! et au bout de ces deux mois, la probable poignée de main décontractée entre deux hommes qui auront su quel était leur devoir envers tous leurs concitoyens. Les garder vivants. Nous garder vivants.

    Le compte à rebours est commencé.

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  • Les journaux parlent de l'élection, de l'élection, de l'élection.... ad nauseam !

    Il s'agit d'une tentative de départager deux prétendants à un siège dans un bureau ovale, qui a pourtant de fait bien peu d'importance dans le vaste monde. Hormis la présence d'un certain bouton rouge cependant, qui jusqu'à présent n'a pas servi.






    Tous les journaux en parlent, et surtout, ne parlent que de cela. Pendant ce manège pervers, des personnes, des femmes, des enfants, meurent en Somalie, en Irak, en Syrie, en Libye, au ViêtNam, partout où le calamiteux OXYDANT a posé sa sale patte. Pas un mot dans la "Presse". Ce n'est pas vendeur.

    Quand serons-nous, nous autres "les petits, les sans-grade", serons-nous débarrassés de cette oligarchie assassine et mondiale ?


    "Réalisez-vous ce que vous avez fait ? "


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  • Linky, Gazpar et la loi

    Nous l'avons largement démontré, le compteur Linky apporte des nuisances "grâce" au CPL qui envahit tout un immeuble, même si vous-mêmes l'avez refusé, et avez réussi à faire respecter ce refus. A vous éventuellement, ensuite, d'installer des filtres et des protections murales (matelas aluminisés) pour vous protéger des ondes dans les murs provenant de vos voisins. Cela a un coût non négligeable, et aucun secours ne pourra vous être apporté, aucune assurance ne le prendra en compte.

    Les nuisances continuent, avec dans la rue les échanges entre le concentrateur de chaque groupe de logements, et l'antenne principale d'ENEDIS, ou d'EDF, sur la fréquence des téléphones cellulaires. Ce va-et-vient entre concentrateurs plus ou moins nombreux (il en est prévu paraît-il 600 000 sur l'hexagone, placés à hauteur d'homme ) et centralisateur vient s'ajouter au trafic des téléphones 3G, 4G,  bientôt 5G avec les antennes-relais dont on connaît les nuisances déjà.

    S'y grefferont bientôt (début du déploiement, 2017) les trafics entre les compteurs Gazpar, certes un peu moins nombreux faute de déploiement moins généralisé du gaz, et les antennes moins nombreuses, donc plus musclées, installées sur les immeubles et les châteaux d'eau pour en recevoir les données.

    Enfin, sans faire de bruit,  les compteurs à eau deviennent eux aussi "intelligents" (tu parles !) au gré des désirs de Veolia, eux aussi se mêleront au concert d'ondes toujours dans la gamme de fréquences du téléphone mobile. Les réémetteurs étant là aussi moins nombreux, les niveaux du flux n'en seront que plus élevés. 

    Que vont dire, et subir les hyper-électrosensibles, de plus en plus nombreux par effet de seuil ? Pour avoir collecté des témoignages, on ne peut souhaiter à personne ce basculement dans le mal-être, voire l'enfer permanent.

    A côté, les autres inconvénients, pourtant non négligeables (appareils soudain en panne dès l'arrivée du Linky par exemple, parfois incendies en raison d'une pose perfectible, augmentation des réglages de puissance, donc des coûts d'abonnement en raison des pics de consommation qui mettent le compteur "en sécurité" - donc plus de courant - et autres) pourraient presque passer "par profits et pertes" comme on dit.




    Tout cela, oui TOUT cela, provient de la directive dite européenne (en fait celle des lobbies d'industriels planétaires) qui exige que tous ces "capteurs" soient connectés et consultables à distance par BIG DATA. C'est un marché colossal, portant sur le profilage plus ou moins pointu des utilisations d'appareils, et dans la foulée, des UTILISATEURS également. Cette arnaque planétaire est coulée dans LA LOI, ce qui veut dire que s'y opposer, c'est s'élever sciemment contre la loi .

    Faudra-t-il, visage découvert, fièrement et sans armes, nous dresser CONTRE ces diktats où nos intérêts de citoyens, d'humains même sont bafoués ? Sans doute. Le combat sera rude. Il sera d'autant plus rude, que peu de personnes encore s'en sont emparées. Car ne nous cachons pas le défi : ce sera une lutte CONTRE LA LOI. Pour nos enfants et nos descendants. Et nous n'aurons même pas comme le député Baudin à prouver que l'on est abattu pour un mandat. Nous ne sommes que de simples citoyens, conscients de la suite.

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  • Les Délégués du Peuple, comment les choisir ?




    Il convient d'être précis, tant l'enjeu est grand, les évènements actuels (transformation du régime politique en France en dictature de fait par ce qu'on appelle « des élus » ) interpellent.


    I -- Le choix se fait parmi qui ?
     
    _ 1 - Le Peuple en âge de « voter » tout entier
     
    _ 2 - Des volontaires
     
    _ 3 - Un Peuple « expurgé » (par qui ?) dont sont exclus les délinquants, les criminels, les anciens « élus » ou hauts fonctionnaires décideurs, les banquiers, les grands patrons (toutes personnes susceptibles d'avoir déjà triché sans que cela se sache, par leur position même)

    _  4 - D'autres critères encore ?





    II - Le choix se fait comment ?
     
    _ 1 - Par tirage au sort national (extrêmement lourd)
     
    _ 2 - Par tirages au sort locaux (quelle étendue ?)
     
    _ 3 - Par vote à bulletin secret (ce qu'on connaît aujourd'hui)
     
    _ 4 - Par désignation à mains levées


    III - Qui organise ces consultations ?

    _ 1 - Les services de l'État ou des collectivités (cas actuel)
     
    _ 2 - Des volontaires qui, par leur position d'organisateurs, ne pourront être choisis ensuite
     
    _ 3 - Des volontaires qui pourront être choisis malgré leur position d'organisateurs
     
    _ 4 - Ou ?.........


    On le constate, le tirage au sort n'est que l'une des options pour la désignation de personnes chargées d'assumer un devenir collectif (Assemblée Constituante, éventuellement Assemblées locales, ou aux attributions plus vastes). Ce n'est certainement pas la meilleure, parce que difficilement maîtrisable.

    Il risque de mettre en avant des personnes non volontaires, qui ne veulent vraiment pas de cette tâche, qui statueront en dépit du bon sens soit volontairement, soit parce qu'elles n'ont pas cette capacité-là : pire, ces personnes peuvent même se retrouver en très grande proportion dans l'assemblée ainsi réunie, ce qui garantira un beau fiasco.


    Il faut imaginer tous les cas de figures. Si c'est un paysan éleveur qui est choisi, qui le remplacera à la tête de sa ferme le temps d'un mandat ? Le même cas se pose pour des patrons de TPE qui auront du mal à trouver au pied levé quelqu'un qui gèrera les employés et les commandes. En fait le tirage au sort risque de désorganiser le tissu fragile de la petite entreprise en général. Même difficulté, pour la mère allaitante après une difficile grossesse. Franchement, le tirage au sort, ce n'est PAS une bonne idée.


    Cela revient à constater que, sans pour autant se cantonner aux volontaires, le tirage au sort ne peut s'appliquer qu'à des personnes qui acceptent en connaissance de cause ce qu'implique cette « promotion ». On revient assez vite aux réseaux habituels de personnes pouvant se libérer, ce qui amoindrit grandement l'aspect « tirage au sort égale toutes les couches de la société sont représentées » : cela ne peut qu'être inexact. Autant aménager le système actuel des élections !


    Une autre solution pourrait consister en une désignation (hors Partis Politiques,  et ce critère est important) par leurs pairs ou leur entourage de personnes connues pour leur altruisme, et qui acceptent le mandat, sans pour autant avoir demandé à l'assumer. Ce serait bien moins lourd à organiser qu'un tirage au sort. Cela demandera cependant que des volontaires aillent expliquer aux habitants des cités défavorisés, les plus concernés en fait, combien il est important pour eux de proposer parmi eux des délégués qui, parce qu'ils les vivent, sauront porter leurs préoccupations hors de ce vase clos où ils sont (délibérément par le Pouvoir actuel pour une grande part) confinés.


    Les débats sont ouverts. Il n'en reste pas moins que, une fois désignés, de quelque façon que ce soit, TOUS les « élus » doivent pouvoir être récusés par le Peuple facilement, dès qu'ils outrepassent de façon patente leur mandat. Actuellement, au niveau des représentants nationaux, la Constitution l'interdit formellement (article 27 alinéa un), et pour les autres élus on retrouve de fait à peu près la même difficulté, parce que rien ne le prévoit.


    Au travail...

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  • Une fête religieuse fait de l'ombre à son lendemain, hélas. Aujourd'hui, nous nous souvenons de nos disparus. Ceux que nous avons connus, et qui ne sont plus là. Ceux que des amis ont connus, et qui sont désormais absents. Ceux que des irresponsables, des fous parfois, ont supprimés de la Vie. Ou pire, fait supprimer par d'autres. Les exemples abondent.

    Il y a aussi ceux qui se croyaient "indispensables" : les croque-morts sont obligés de les évincer des cimetières, parfois, tant ils sont nombreux, pour en mettre d'autres tout aussi "indispensables" à la place.  La Terre continue de tourner, les réussites d'arriver parfois, les échecs aussi, bien plus souvent.

    Le Monde avance sur ces carrières dont les plus tonitruantes sont aussi parfois les plus vite oubliées. L'important, après, ne sont-ce pas les vivants ?



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