• Nous autres, vivons à l'ouest du méridien zéro. De lointains robots pleins de morgue, aveugles et sourds, ont décidé de se donner le droit de régir nos vies selon un seul critère : le PROFIT. C'est ainsi que celui qui fut le plus jeune ministre des FINANCES (tiens donc) en France a mis en place, avant une certains union européenne dont il écrivit les contraintes au bénéfice de ses pairs, une heure dite européenne de plus en plus décriée.

    Sincèrement, trouveriez-vous normal que les montres indiquent la même heure en permanence de Varsovie à Brest ? C'est pourtant ce que des non-personnes fonctionnant à la cadence de leurs ordinateurs boursiers quand elles sont à jeun (quand elles ne sont pas, je vous laisse imaginer le désastre), veulent imposer à cette union.

    Un jour, il faut réagir, et affirmer : « Ça suffit ! »

    Ce matin, l'ordinateur, d'autorité, a décalé dans la nuit son horloge interne d'une heure en avance, suivant en cela les instructions de l'horloge nucléaire au césium de Francfort sur le Main (Mainflingen exactement). Au réveil, j'ai changé tout cela. Désormais ma vie sera réglée sur quelque chose de plus réaliste, et plus proche de la vraie heure solaire pour qui vit à l'ouest du méridien. Le soleil est arrivé il y a environ trois quarts d'heure, il est 6 heures et 41 minutes, et il fait beau.

    La nouvelle carte devra donc être :

     

    L'heure à laquelle se référer

     

    Vive l'heure nouvelle !

     

     


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  • L'échéance approche. Bientôt sera organisé un scrutin. Avant d'être des électeurs, nous citoyens sommes des votants. Eh bien, votons.

    Le (29 ?) 26 mai, à nouveau pour le Frexit

    Comment, ce n'est pas le sujet ? Mais justement, si ! Le 29 mai 2005 nous avons VOTÉ avec enthousiasme contre une union européenne qui ne pouvait nous apporter que de très gros ennuis. Merci à Étienne Chouard, qui à cette occasion avait déroulé une démonstration magistrale des nuisances que "ces Messieurs de la politique" nous conviaient avec insistance d'accepter. On se souvient sans doute de leur "tronche" quand ils ont vu que nous avions compris, et refusé le piège.

    Oui, c'est l'occasion : emplissons les urnes de ces bulletins très parlants. Mais pour le cas où certains s'inquiéteraient :

    – Mais après, que faisons-nous ?

    C'est simple, la feuille de route très détaillée est déjà là.

    Alors que les autorités de Bruxelles se retrouvent plus ou moins en porte-à-faux avec un Brexit dur et sans accord, nous proposons quelque chose de plus déstabilisant encore pour eux : une sortie directe et unilatérale de la France, prenant le contrepied de ce que veulent les Grands Financiers, nos tortionnaires.

    Voici d'ailleurs un lien, vers un document où sont prêts à imprimer quatre bulletins :

    https://ti1ca.com/1va76typ-bulletin-frexit-bulletin-frexit.pdf.html

    Clin d'œil : le papillon parle bien à la fois de référendum, et du 29 mai. On ne saurait être plus clair.

     


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  • Par babelouest dans 11 septembre 2001 le

    Mais il est nécessaire d'avoir au départ quelques idées, ainsi celles-ci liées à une certaine vision de la vie de notre pays. Pas du tout de l'Europe, qui n'est que la somme de nombreux caps et plaines disparates au bout occidental de l'Asie. L'Europe des peuples n'existe pas, le peuple européen encore moins.

     

    -:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-

     

    Il s'agit de se pénétrer du texte de la constitution française, et dans l'optique de former une assemblée constituante des citoyens de notre pays, il me paraît sain de savoir de quoi l'on veut parler.

     

    Il s'agit là d'un premier jet, qui est guidé naturellement par les convictions personnelles de l'auteur. Même s'il a été écrit lentement (premières réflexions en mai 2010), il n'est pas exempt de nombreuses erreurs, j'en suis convaincu.

     

    Je suis parti déjà d'un constat différent des constituants précédents : on ne saurait dissocier femmes et hommes dans leurs droits et leurs devoirs, même s'ils accomplissent des tâches différentes au même moment, surtout s'ils accomplissent exactement les mêmes tâches au même endroit. La Constitution doit donc se contenter de constater cette identité, sur laquelle il serait malséant, au XXIe siècle « triomphant », de revenir.

     

    J'insiste sur cette nécessaire égalité, évidente, réelle et non octroyée du bout des lèvres par des législateurs ; égalité liée indissolublement à la notion de différences entre TOUS. D'elle seule découle la fraternité, et à elles deux elles pourront dompter la liberté, dont on dit sans y croire que celle de l'un finit là où commence celle de l'autre.

     

    Second principe qui me paraît important, il faut réitérer cette évidence : le Peuple Souverain est supérieur à ceux qui ont été élus ou désignés pour administrer les collectivités, de la plus locale à la nationale. Dans la mesure du possible, l'expression directe est préférée à la déléga-tion, et de toute façon elle lui est supérieure. Je pense là à ces référendums, dont la formulation même est pourtant souvent sournoise et biaisée, sans compter qu'elle agglutine trop de notions contradictoires, référendums sur lesquels des politiciens s'assoient allègrement. (article 3)

     

    Il n'est plus souhaitable que des partis s'accaparent le maniement de la vie politique. Souvent manipulés par des forces extérieures, ils forcent la main aux représentants du peuple, et pour des prébendes et autres « bonnes places » distribuées ils imposent une dictature de fait. Ils seront donc constitutionnellement bannis. Ce qui n'empêchera en rien à des groupements politiques indépendants de débattre, et de voir ces débats diffusés librement et largement.

     

    Pour simplifier la vie politique, disparaît « la Haute Assemblée ». Si litige il y a désormais, c'est le peuple, celui qui est concerné, qui apportera ses remarques, voire ses censures à certaines privautés des délégués en pouvant à tout moment par des voies dont on peut débattre récuser un député, un maire ou un conseiller municipal, voire un président. Disparaît également le conseil d'État, la Cour de Cassation suffisant pour tout litige.

     

    On aura noté que les articles concernant le Parlement ont été déplacés AVANT ceux qui gèrent les prérogatives du président, afin de bien marquer les changements de préséances. Le président n'est plus ce qu'il était devenu de fait, LE décideur final, mais une sorte de juge de paix entre le Peuple, ses représentants et les institutions en cas de litige grave et difficile à départager.

     

    On notera aussi, à la lueur de ce que nous avons précisé, que l'article 27 (devenu l'article 8 en raison de sa translation avant ce qui concerne le président) perd ce qui pour moi était une aberration, le fameux « Tout mandat impératif est nul » dont l'intitulé avait été émis par Siéyès le 7 septembre 1789. Un mandat est précisément là pour donner à quelqu'un le droit de gérer, dans la limite de ce qu'il a proposé dans son programme d'élu ou de gouvernement. Il ne s'agit pas de tout encadrer, mais de donner des barrières. Si un élu se trouve devant un cas qui dépasse son mandat, alors seul le Peuple peut trancher.

     

    Pour le président, vu sa nouvelle casquette, il est élu pour plus longtemps (continuité) mais sans renouvellement de mandat. Il ne peut déclencher les forces armées en urgence que si le sol français est attaqué — et non ses « intérêts ». Plus « d'article 16 » bien sûr (ancienne numérotation). Malgré tout, il est nécessaire qu'une personne soit là sur le long terme pour « veiller au grain ». Par égard pour sa charge, en cas de trahison de sa part c'est l'assemblée qui s'érige en Haute Cour : elle peut y être amenée par une pétition populaire. En revanche, les membres du gouvernement seront jugés par les tribunaux ordinaires s'ils ont failli dans l'exercice de leur mission, aussi bien que selon les délits et crimes ordinaires.

    Nous en arrivons aux engagements internationaux. Fini, le tripatouillage de la Constitution pour permettre aux Grands Responsables de se plier à un traité. Si celui-ci est non compatible avec le texte primordial, le traité ne sera tout simplement pas signé.

    Le Conseil constitutionnel sera bien plus indépendant, si ses membres élus jusqu'alors par le sénat sont désormais désignés par le conseil de la magistrature. De plus, c'est lui qui élira son président, au lieu que ce soit le président de la république qui se charge de sa nomination.

     

    Dernier changement, ô combien significatif : le Titre XV tout entier disparaît, puisque la souveraineté du Peuple et de la nation est totalement incompatible avec l'union européenne.

     

    En revanche un nouveau Titre XVIII aborde le dernier Pouvoir, celui de la Presse, et pour lequel aussi des garde-fous constitutionnels doivent désormais être érigés.

     

    Résumons-nous. Effectivement le président devrait, dans l'esprit de la République Française, n'être qu'un arbitre entre les différents Pouvoirs, le Législatif délégué par le Peuple qui FAIT les lois du Peuple, pour le Peuple, l'Exécutif qui donc exécute ce que les représentants du Peuple (et pas de lobbies) ont décidé pour le bien de tous, le Judiciaire qui veille à la droiture des personnes physiques ou morales dans le cadre des lois votées par le Législatif, l'Informatif qui rapporte au Peuple ce qui est fait sans le déformer, et a le droit plein et entier de commenter pour expliquer, voire donner des OPINIONS présentées pour telles. On notera que le Conseil d'État, qui comme son nom l'indique conseille le président, disparaît : le président n'est plus qu'un arbitre, non un décisionnaire.

    Le document complet est à consulter ici.

     

    Le Peuple Souverain s'avance, tyrans, descendez au cercueil !


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  • http://babalouest.eklablog.com

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  • Eh le gouvernement !

    Certainement avez-vous des idées bien précises pour ramener à 80 Km/h la vitesse sur la plupart des routes françaises. Certainement ces idées n'ont-elles absolument aucun rapport avec les raisons alléguées par cet organisme bizarre nommé "la Prévention Routière" (association loi 1901), trop souvent d'accord avec "la sécurité routière", simple sous-service du sinistère de l'intérieur.

    Celui-ci a décidé de baisser la vitesse maximale, en dépit du bon sens. Cela va occasionner divers comportements et conséquences.

    ¤ Sur beaucoup de véhicules désormais, les conducteurs n'accéderont plus au rapport de vitesses le plus important que sur autoroutes. Sinon ils seront en sous-vitesse, ce qui abîme le moteur, et rend dangereux les dépassements. Vous avez déjà dépassé un tracteur fonçant à 50 à l'heure, avec sa remorque pleine de paille ou de foin ? Pour le faire "en sécurité", il faut le faire vite, avec une bonne accélération permettant de se rabattre tout aussi vite sans pour autant faire une queue de poisson.

    ¤ En revanche, sur certains trajets longs, peu fréquentés, "peinards", la tendance à s'assoupir au volant sera encore plus prégnante. Seconde raison pour que les accidents, au lieu de diminuer, augmentent.

    ¤ Certains conducteurs, malgré le coût du péage, privilégieront davantage de trajets sur autoroutes, pour le plus grand bonheur des voleurs (les compagnies d'autoroutes engrangent les revenus de routes construites avec NOS impôts). Voleurs qui le sont devenus grâce à qui ? Au gouvernement, bien sûr, garant du Bien Public.

    ¤ Un peu moins sollicitées, les routes départementales verront là un beau prétexte pour encore baisser les dotations des départements, donc les réparations de ces routes : troisième cause de nouveaux accidents. Pas de difficultés, l'argent ira aux privilégiés, car bien entendu les impôts ne baisseront pas pour autant.

    Quand allons-nous en finir ? L'État est l'émanation du Peuple, et au service de celui-ci : pas l'inverse ! Si l'État se fourvoie, changeons l'État.



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  • (reprise d'un article du 20 octobre 2012)

    Un groupe de 73 militants se revendiquant du groupe Génération Identitaire a investi [...] un grand bâtiment gris doté d'un minaret situé en banlieue de Poitiers, à Buxerolles, et qui doit devenir d'ici fin 2013 sa grande mosquée.
    Vers 05h45 du matin, ils se sont installés sur le toit et ont déployé une banderole affichant le nom de leur mouvement et une autre indiquant que "Charles Martel a battu les arabes à Poitiers en 732".

    Cette dépêche de l'AFP nous rappelle un événement certes ancien, mais qui a probablement déterminé le sort de l'Europe, voire à plus long terme du monde. Comme nous le signale Salah Guemriche dans son ouvrage "Abd er-Rahman contre Charles Martel", paru chez Perrin en mai 2010, la bataille a été causée par une sorte de scandale digne tout au plus de Paris-Match : ce serait le mariage entre Numérance-Ménine, dite Lampégie, fille du duc d'Aquitaine, avec Munuza, gouverneur berbère de Narbonne. Colère à la fois de "Charles Martel" (Carl Martieaux le fruste homme de guerre), basé à Trèves, et plus encore d'Abd er-Rahman, lettré émir de Cordoue qui voyait ses lieutenants en prendre à leur aise avec un Islam encore peu intégré par les Berbères.
    Il s'en fallut de fort peu que ce ne fût l'émir qui triomphât. Sur cette hésitation de l'Histoire s'est greffé ensuite un reflux musulman, d'abord de la Septimanie de l'époque (à peu près le Languedoc-Roussillon d'aujourd'hui), puis bien plus tard et progressivement de la péninsule ibérique. Ne nous leurrons pas : il eût pu arriver un autre événement qui aurait précipité les guerriers dans le même choc destructeur. Retenons cependant cette thèse.
    Et si... et si c'est Abd er Rahman, juste un peu plus en forme ce jour-là, qui l'avait emporté ? Rappelons-nous : c'est en 732 qu'eut lieu la bataille, exactement le samedi 25 octobre. Charlemagne ne serait probablement pas devenu empereur en 800, ses petits-fils n'auraient pas partagé son empire en 843 à Verdun (partage qui subsiste en partie aujourd'hui encore), la France que nous connaissons n'aurait jamais existé et n'aurait de toute façon pas porté ce nom, les Normands de Guillaume le Conquérant n'auraient très probablement pas envahi l'Angleterre en 1066... et ainsi de suite jusqu'à nos jours. Il y aurait eu de "glorieuses" batailles plus au nord, mais la plus grande partie de ce qui est aujourd'hui notre pays aurait assez probablement été sous la Charia accommodée à la sauce andalouse, et non sous la férule tout aussi pointilleuse – voire plus – de la chrétienté romaine.

    Peut-être même l'Italie aurait-elle aussi basculé dans la zone d'influence du Croissant, ce qui aurait causé une Renaissance à la mode de Cordoue ou de Grenade. Après tout, les Arabes ont apporté beaucoup de choses à notre civilisation actuelle.

    Quand des nationalistes viennent ainsi s'attaquer à un édifice bientôt voué au culte, on pourrait presque penser aux pillages des anciens temps même s'il n'y a pas eu de dégradations. En quoi un lieu de prière peut-il gêner des personnes ? Rien ne les oblige à y entrer pour faire leurs dévotions, ou pas. Dans une autre vie, peut-être seraient-ils de bons musulmans attentifs aux préceptes principaux d'une religion simple et moins pervertie. Car après tout, si les cultes suivent les batailles, les habitants, eux, restent. Si l'Histoire avait pris un autre tour, ceux qui la font réellement, les plus humbles, auraient toujours été là. Seuls ceux qui l'écrivent n'auraient pas été les mêmes, ou sans doute auraient-ils écrit tout autre chose.
    Pensons à un seul facteur : ce basculement a peut-être été néfaste, mais nous ne le saurons peut-être pas non plus. Avec la dictature d'une certaine finance capitaliste, qui de plus en plus paraît approcher d'une roche tarpéienne, nous sommes assez vraisemblablement à la veille d'un autre Poitiers, d'un autre Quitte ou Double des puissants. Établi sur moins que du sable, le Grand Capital, pervers narcissique, peut s'effondrer d'un coup, malgré la poigne qu'il maintient serrée sur la plupart des gouvernants du monde. Après tout, il n'est qu'une religion de plus, mais peut-être la religion de trop...

    bab

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  • La Syrie est un point important dans la politique mondiale, parce tout simplement elle est placée là. Le plan Sykes-Picot de 1916 a créé le problème tel qu'il existe aujourd'hui, en démembrant l'empire ottoman. On notera que ce sont les Anglais qui en sont la source, ils savaient ce qu'ils faisaient, et comptaient bien manœuvrer tout le monde à leur avantage. Rien n'a changé, même si apparemment c'est Washington qui paraît avoir pris le pas sur Londres. Les puissances maritimes (les USA se considèrent comme une île) continuent à semer leurs graines de désordre et de menaces de guerre, comme ils l'avaient fait en 1898 (c'est encore plus ancien) à Fachoda, village situé aujourd'hui au Sud-Soudan. A l'époque c'était Cecil Rhodes qui "menait le bal". Les Anglo-saxons veulent régner sur les mers pour régner sur tout le reste.

    Aujourd'hui, enfin, il semble qu'ils soient en perte de vitesse, mais rien n'est joué encore. Pour eux un accord ne vaut que le temps où il est à leur avantage : s'il ne l'est plus, l'accord est vain, et ils n'en tiennent pas compte.  Ils ne le diront pas, ils agiront. J'ai découvert une série de manœuvres terribles qui sont de leur fait, où ils ont fait en sorte que le monde se déchire devant leurs yeux. C'est là.  A "déguster" à petites doses. Article par article.

    L'Afrique n'est que l'un de leurs champs de manœuvres, où ils sont moins omnipotents qu'ailleurs. L'Asie du Sud-Ouest en est un autre. Je ne parle pas de l'Europe, où ils sont en pays conquis (et même pas "comme" en pays conquis).

    Comment ces choses peut-elles perdurer ainsi ? J'y ai réfléchi, et je pense que leur système éducatif en est la cause. Toujours paradoxal d'ailleurs. Ainsi ce qu'en Grande Bretagne on appelle les Public Schools, ce sont les écoles privées. Celles-ci prennent les éléments humains qui leur paraissent bénéfiques, et par un subtil (!) mélange de brutalités et de perversions, façonnent les fourbes de demain. Ce n'est pas anodin, si le film "If....." de 1968 n'est plus accessible qu'en anglais. Il démontait le système éducatif de haut de gamme avec brio, et ce n'était pas beau à voir.

    Il est d'ailleurs curieux qu'une chanson serve de leitmotiv dans ce film : c'est un extrait de la "Missa Luba" chanté par des enfants du Congo ex-belge, que l'acteur principal remet toujours sur son tourne-disque de l'époque.




    Je pense que les "universités" de la Ivy League, Yale en tête,  ont repris aux États-Unis cette façon éducative (sic) complétée par leurs sociétés secrètes : la Skulls and Bones est célèbre. Pas forcément en bien !

    Nous sommes loin de la Syrie, et pourtant, non. C'est dans ces écoles brutales que renaît chaque année un certain état d'esprit néfaste pour le monde entier, et la Syrie est une des clés de ce monde.

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  • La France est avant tout sa langue, elle s'est construite en même temps que celle-ci. Les politiciens (TOUS les politiciens)  se gardent bien de le rappeler.

    C'est le cas pour tous les pays, d'ailleurs.  Les valeurs sont intimement liées à la manière d'en exprimer l'essence. Il ne s'agit bien entendu pas de monnaie, d'argent, de commerce, encore moins de finance, sauf, et c'est important, pour les anglo-saxons en particulier d'Amérique du Nord, pour qui justement les seules valeurs sont celles qui ont une connotation liées à la possession, et non à l'être.

    A partir de ces valeurs faussées, ceux-là ont bâti un monde où ils veulent englober tous les autres, DE GRÉ, ou DE FORCE. Ils ne "brillent" que sur ces critères-là, alors forcément...

    Oui, la France a des valeurs, des PRINCIPES. Ces principes s'expriment EN FRANÇAIS, et pas autrement. Ce n'est pas d'hier.




    Quiconque va contre cette base essentiel est un traître, un assassin de civilisation, un criminel contre l'humanité. Car tuer UNE langue au bénéfice d'une autre qui veut régner à sa place, c'est les tuer toutes.  De même que, comme cité dans ce journal, « défendre une langue, c'est défendre toutes les langues ».

    Le Globiche, ce parler monstrueux, très approximatif, qui se présente comme une langue anglaise authentique, ressemble à celle de Shakespeare et de Lord Byron comme une compression de César ressemble à un vase de Sèvres. Il ne s'agit bien entendu pas de dénigrer César, mais de démontrer combien c'est différent.

    Il va donc falloir prendre parti. On ne peut pas ne pas prendre parti, sauf à se traiter de lâche chaque matin devant son miroir, dès que l'on a ENTENDU que l'engagement a un sens.

    ¤ SOIT chacun s'applique à refuser d'employer tous ces mots nouveaux et souvent incompréhensibles, qui fleurissent sur les publicités, les devantures, dans la bouche des « journalistes »,  des commentateurs, des animateurs, des politiciens, des autoproclamés philosophes de tous poils

    ¤ SOIT le « bon peuple » endormi, vaincu, résigné, anéanti répète ces mots incompréhensibles, nés d'autres “valeurs” basés sur la finance et le juridisme anglo-saxon. Oh oui,, de plus ces mots-là, “cela fait moderne, tout le monde (ah bon ?) les utilise, et tout va bien”.

    Les “valeurs” anglo-saxonnes sont ce qu'elles sont, mais ce ne sont pas les nôtres. Le système judiciaire de même provenance est le plus souvent en opposition avec le nôtre, c'est très grave. Si on l'accepte, on accepte d'être dominé par celui-ci, parce que "les autres" n'auront aucun scrupule pour s'en servir dans ce sens. Fini le Code, bonjour la jurisprudence permanente où le plus riche gagne toujours !

    Bien entendu, la seule façon de vraiment s'en sortir est de quitter l'union européenne, que le Peuple Français a refusée le 29 mai 2005, et qu'un coup d'État nous a imposée un peu plus tard. Par ce fait même de coup d'État, il n'est même pas nécessaire de chercher des arguties juridiques : les conventions internationales le permettent de plein droit et sans retard. Surtout que personne ne sorte l'article 50 d'un TUE qui pour nous français ne compte absolument pas.

    Il suffira (mais ce ne sera pas si facile)  de mettre dehors cette camarilla de politiciens véreux, de financiers malpropres, et autres comparses, pour que le Peuple Français reprenne la main sur ses institutions, monnaie et budget en tête bien sûr. Au début il y aura quelques tâtonnements même si des idées sont déjà fermement rédigées et développées.

    Vive la langue française ! Vive le retour de la prééminence du Peuple, qui exista du 10 août 1792 au 30 juillet 1794.

    N.B.
    Il ne s'agit pas là de la polémique à propos de ce que les politiciens appellent "l'invasion des gens de couleur", parce que cette "invasion" est organisée à  prix d'or par quelques milliardaires pour désorganiser le Peuple, le rendre malléable. L'empêcher de prendre conscience des vraies données.  Tous les médias (possédés eux aussi par des milliardaires) pousseront dans ce sens.  Cela implique qu'il ne faut pas se tromper d'ENNEMI.


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  • Nous relayons l'appel de nos amis de l'Afrav (association Francophonie Avenir)

    L'Affaire “Let's Grau” en appel !

    Le maire du Grau-du-Roi a décidé de faire appel du jugement rendu le 16 mars 2018 par le Tribunal administratif de Nîmes. Dans cette affaire nous étions opposés à lui au sujet de la marque ombrelle  “Let's Grau”, une marque à caractère anglophone, comme on peut le constater, une marque que Monsieur le maire a lancée pour donner une image plus marchande à sa ville.
    Quoi qu'il en soit, grâce à nous, la langue française a gagné au Grau-du-Roi, mais, force est de constater cependant, que le maire de la ville, M. Robert Crauste, n'est pas content, car il fait appel du jugement !
    Mais dans quel monde vivons-nous, où il faut aller en justice pour défendre sa langue dans son propre pays et, qui plus est, lorsque la justice vous donne raison, subir une contre-attaque de ceux qui ne l'ont pas respectée ?
    Cela dit, aller en Appel à la cour administrative d'appel - pour nous, c'est celle de Marseille - oblige les parties à se faire représenter chacune par un avocat.
    Pour l'Afrav, il en coûtera 4200 € en frais d'avocat. Cette somme représente deux audiences de jugement : une audience de jugement pour une demande de sursis à exécution (1800 €), une audience pour rejuger l'affaire sur le fond (2400 €).
    Il est bien évident que de telles sommes d'argent représentent un effort financier hors de portée pour notre association et le caractère d'urgence de l'appel nous empêche, hélas, de demander une aide juridictionnelle.
    Nous avions alors deux choix : soit abandonner, soit continuer. Et nous avons choisi de continuer, car nous serions des Résistants de pacotille, si pour un problème d'argent, nous refusions de monter au front. S'il faut mourir, autant que ce soit en ayant livré bataille !
    Sylvie, notre trésorière, a eu l'idée de mettre en ligne un appel aux dons. Elle a trouvé un site dédié pour cela, il s'appelle : Pot Commun, un des rares sites de collecte d'argent en ligne qui se nomme en français. Bravo à eux et à Sylvie de l'avoir choisi !
    Ainsi, nous allons lancer un appel aux dons à travers le réseau, mais également, bien sûr, auprès de nos adhérents, de nos amis et sympathisants.
    La personne qui versera de l'argent dans notre cagnotte, aura, à la fin du procès en appel, deux possibilités, selon que nous aurons gagné ou perdu le procès : 
    A - Soit, nous gagnons le procès en appel, et le juge ordonne à la partie adverse de nous rembourser nos frais d'avocat, alors la personne qui aura versé de l'argent à notre cagnotte, aura deux possibilités :
    1/ elle désire être remboursée, alors nous lui restituerons la somme qu'elle nous aura prêtée pour financer le procès en appel ;
    2/ elle désire laisser son versement à l'Afrav, alors l'Association considérera son versement à la cagnotte comme un don effectif à l'association, et le donateur recevra en échange un récépissé de don pour déduction d'impôt (Rappel : Le Ministère de l’Économie accorde une réduction sur l'impôt à payer, de 66% des sommes déclarées en don, cela dans la limite de 20% du revenu imposable de votre foyer. Exemple, pour un don de 100 €, il sera déduit 66 € de votre impôt à payer).
    B - Soit, nous perdons le procès en appel, et là, l'argent récolté servira à payer nos frais d'avocat. Le versement de chacun à notre cagnotte sera alors considéré comme un don fait à l'Association, et, par voie de conséquence, le donateur recevra un récépissé de don qui lui vaudra une réduction fiscale, comme expliqué précédemment.

    Résumé de l'affaire “ LET'S GRAU ”, du Grau-du-Roi !

    Le mardi 29 décembre 2015, dans le journal en ligne de Midi Libre, nous apprenons l'existence de la marque ombrelle "Let's Grau". Ce faisant, pour condamner cette marque non respectueuse de notre langue, nous écrivons un commentaire en ligne, à la suite de cet article. 
    - Le journaliste de l'article prend alors contact avec nous et le jeudi 7 janvier 2016, un nouvel article paraît alors dans Midi Libre en ligne expliquant que l'Afrav est prête à aller en justice si le maire du Grau-du-Roi refuse d'abandonner sa marque ombrelle illégale.
    Le 11 janvier 2016, nous adressons à M. Robert Crauste, Maire du Grau-du-Roi, un recours gracieux pour lui demander d'abandonner la dénomination « Let’s Grau », une dénomination qui, par son caractère anglophone, est non conforme aux dispositions de la loi N°94-665, dite loi Toubon, relative à l’emploi de la langue française.
    Le 2 février 2016, M. Robert Crauste nous écrit, mais dans sa lettre, il n'est question que de nous expliquer le bien-fondé de la dénomination en anglais et non de son abandon. Cette lettre confirme donc implicitement que M. le Maire refuse d'abandonner le slogan en anglais de la nouvelle marque ombrelle du Grau-du-Roi.
    - Devant ce refus manifestement implicite, le 10 mai 2016, à l'encontre de M. Robert Crauste, Maire du Grau-du-Roi nous saisissons le Tribunal administratif de Nîmes en déposant à l'attention de son Président et de ses conseillers, une requête en excès de pouvoir et en annulation d'une décision implicite de rejet.
     - Le 21 septembre 2016, nous recevons le mémoire en défense de M. Robert Crauste, maire du Grau-du-Roi.
    Le 10 octobre 2016, nous lui adressons un mémoire en réplique.
    Le 19 décembre 2017, nous remettons à l'attention du Président du Tribunal administratif de Nîmes, une pièce à ajouter à notre dossier : notre victoire sur le logotype "Research University de PSL Paris Sciences et lettres.
    - Le 2 février 2018, nous recevons du greffe du Tribunal administratif de Nîmes, un avis d'audience pour le 2 mars 2018. Autrement dit, notre affaire va passer devant le juge, en audience publique, le vendredi 2 mars 2018.
    Le 19 mars 2018, nous recevons le prononcé du jugement : l'Afrav a gagné, et la commune du Grau-du-Roi est enjointe par le juge à procéder au retrait de la dénomination "Let's Grau" sur l'ensemble des supports sur lesquels elle figure, dans le délai de deux mois à compter de la notification du jugement.
    - La mairie du Grau-du-Roi a, à partir de cette date, deux mois pour faire appel du jugement. Précisons que l'appel n'est pas suspensif de la décision de justice.
    le samedi 12 mai 2018, nous recevons un courrier de la cour administrative d'appel de Marseille, nous disant que la commune du Grau-du-Roi, représentée par son maire, M. Robert Crauste, fait appel du jugement de Nîmes.

    Vous pouvez nous aider à répondre au mémoire de la partie adverse !


    Dans le mémoire de la partie adverse, 3 points sont soulevés pour faire tomber le jugement du tribunal administratif de Nîmes :
    1 - L'objet social de l'Association serait trop large et impliquerait de ce fait, l'irrecevabilité de notre requête.
    2 - Le fait que Monsieur le maire nous ait répondu, aurait dû entraîner de notre part, une requalification de notre requête. Cela n'ayant pas était fait, la partie adverse demande l'irrecevabilité de notre demande.
    3 - Au prétexte que le terme "Let's Grau" ne figure pas dans les équivalents proposés par les centres de terminologies officiels de la République, la partie adverse dit que l'article 14 de la loi Toubon, n'a pas à s'appliquer dans cette affaire et que, par conséquent, même sur le fond, Monsieur le maire a raison.


    Le procès  Let's Grau, du Grau-du-Roi, en appel à la cour administrative d'appel de Marseille
    Nous sommes en train de répondre à ces trois points soulevés par la partie adverse et, bien évidemment, vous pouvez nous faire part de vos remarques. Nous cherchons, notamment, de la jurisprudence pour contrecarrer le point n°2.





    Publié par Regis RAVAT le 18 mai 2018

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