• Ce matin, un lien m'est envoyé, et je ne peux m'empêcher, je DOIS transmettre ce message à la fois d'amour, de peur, de mépris envers ceux qui font TOUT pour que tout soit pire, de multiples façons : ce n'est même pas qu'ils ne font rien, il y a des gestes délibérés.

    C'est le classement d'autorité, au moment où l'on en a le plus besoin, de la chloroquine en substance vénéneuse, alors qu'on s'en sert depuis 70 ans, et qu'elle était jusqu'à présent en vente libre.

    C'est comme par hasard la fermeture en France d'usines pour des masques ou des bouteilles d'oxygène (le 20 février pour celle-là)

    C'est la revente sous le manteau des stocks de masques, de gants, de nombreux ustensiles qui seraient nécessaires aujourd'hui.

    C'est le confinement autoritaire, couplé avec l'INTERDICTION pour les policiers de porter simplement des masques.

    C'est la désastreuse décision de ne donner la chloroquine que quand c'est trop tard, et couplée à des médicaments chers mais inutiles dans ces cas-là.

    On sent là une volonté de faire mal au niveau des Grands Décideurs, car il semble bien que cela aille plus loin que la simple recherche du PROFIT maximum.

    Voilà le contenu de cet article, auquel se rapportait le lien de ce matin. NON, on ne peut pas se taire.

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    À ma sœur, à tous les soignants, toutes les soignantes et aux patient(e)s qui meurent dans l’anonymat.

    Ma sœur, toi et moi nous parlons rarement de nos sentiments. La pudeur d’une éducation où se dire « je t’aime » était inconsciemment proscrit, à la limite sous-entendu et encore. Je me rends compte que je te connais si peu en fait. Ce ne sont pas les réunions de famille occasionnelles du dimanche, les fêtes de fin d’année ou les anniversaires qui me permettront de lire tes états d’âme à cœur ouvert, tes déceptions, ta colère ou ta tristesse. Je regrette de ne pas t’avoir consacré plus de temps et de ne pas avoir pris de tes nouvelles beaucoup plus régulièrement.

    Hier, au début de la nuit, quelque chose d’inexplicable me poussa à la faire. Un SMS rapide pour savoir comment se déroule ton quotidien d’aide-soignante dans cet EHPAD du Haut-Rhin durant l’épidémie de coronavirus. J’étais loin d’imaginer ce qu’il se passe dans ce bâtiment fermé aux visiteurs actuellement. Une prison pour personnes âgées où le secret est de mise, où l’omerta règne afin de ne pas révéler l’horreur au grand public. Tout ça me semble si abstrait, comme les images de guerre en Syrie au journal télévisé qui paraissent si lointaines, anonymes,  détachées de ma réalité de privilégié.

    Avec tes mots, tu m’as mis une claque d’une violence insupportable.

    Tu venais de finir ta journée de travail dans cet établissement en manque de personnel bien avant cette actualité mortuaire. Le stock de masques et de gants ne permet plus à tous les membres de ton équipe d’aller rencontrer les résidents sans avoir la certitude de ne pas contracter ou de ne pas transmettre le virus. Trois de tes collègues sont contaminées mais continuent de travailler parce que comme tu le dis avec empathie, s’ils n’y vont plus, qui va s’occuper des fantômes recouverts d’un drap blanc dans ce mouroir. Les uns après les autres, dans l’indifférence la plus totale, ces papys et mamies disparaissent, sans leurs familles, sans pouvoir dire au revoir, sans avoir le soulagement de quitter la folie de ce monde en tenant la main d’un mari, d’une femme ou d’un enfant.

    « Tu sais ce qui va me rester ? Le visage et le regard d’une mamie avec le covid, en train de dé-saturer malgré l’oxygène et qui me dit « j’ai peur » et qui meurt trente minutes plus tard. Voilà, c’est ça nos journées. Je vais essayer de dormir un peu. »

    Voilà la réalité. Passeuse d’âmes entre le monde des vivants et celui des morts. Tu es leur dernière vision, leur dernière source de réconfort, écoutant leurs dernières confessions, leurs dernières volontés puis ils s’en vont comme des lépreux pour finir froids, confinés dans des sacs en plastique pour cacher leurs visages figés.

    Tu rentres chez toi en voiture au petit matin, l’esprit ailleurs, regardant la route sans vraiment la regarder, les yeux bleus de Thérèse, 83 ans, en tête. Un regard terrifié qui te demandait de l’aide. La peur de la faucheuse qui s’approche déjà au fond de cette pièce qui empeste l’haleine soufrée du diable. Tu imagines ce que ça fait de savoir que tu vas mourir et qu’une personne en blouse blanche en face de toi censée te soigner n’a pas les moyens de le faire parce que l’argent et le personnel manquent. Tu t’arrêtes sur le bas-côté et tu pleures, seule, la tête sur le volant, au point d’avoir du mal à respirer, au point d’avoir envie de vomir et d’en finir parce que tu cumules la souffrance en toi depuis trop longtemps. La souffrance, tu la prends dans tes bras, tu l’embrasses, tu la berces pour tenter de l’endormir, tu l’inspires comme une cigarette qui ne s’éteint jamais et qui noircit ton être tout entier.

    Pour les administrateurs, ces patients  ne sont que des codes-barres, des produits, des marchandises, un seuil de rentabilité, un coût, de la comptabilité. Toi, tu connais chacun d’entre eux. Leurs envies. Leurs passe-temps. Leurs souvenirs. Leurs histoires. Les rides sur des visages marqués. La guerre. La fréquence à laquelle ils urinent, mangent et dorment. Le rythme du battement de leurs cœurs. L’odeur de leurs peaux fatiguées. Les cicatrices et les imperfections de leurs corps usés. La colère. Le désespoir. Tu es une éponge gonflée payée un peu plus que le smic qui aspire la fin d’une partie de l’Humanité, des images en noir et blanc par centaines qu’on jette dans un bac crasseux à côté d’une pile d’assiettes suspendue au ciel.

    Alors taper des mains sur son balcon chaque soir à vingt heures n’est qu’un faible lot de consolation pour toi et tous les autres qui se saignent pour ne pas que nos petits vieux crèvent comme des chiens, les poumons noyés, cherchant un ultime deuxième souffle qui ne viendra jamais.

    Combien de temps pourrez-vous tenir comme cela ? Quel sera votre état lorsque tout cela sera terminé ? Il y a et il y aura encore des burn-out, des dépressions, des suicides et des démissions dans ces métiers parce que vous vous sentez abandonné(e)s, livré(e)s à vous-même, pas seulement maintenant mais depuis toujours, depuis qu’on vous demande de faire toujours  plus avec toujours moins, depuis qu’on vous considère comme des agents de production, depuis que les urgences sont saturées et que des services ferment par manque de rentabilité.

    La santé est-elle une marchandise ? Sommes-nous chez Amazon ? N’êtes-vous que des pions, des euros, des mendiants ?

    On peut juger la grandeur d’une nation à la façon dont nous traitons nos soignants et nos aînés. Alors nous sommes un pays microscopique, une cocotte minute qui explosera par notre inaction quand il sera trop tard, quand ces héros et ces héroïnes  ne pourront plus continuer de se rendre sur leurs lieux de travail, la boule au ventre, pour un salaire de misère, quand la génération qui arrive ne voudra plus se sacrifier pour une profession ingrate et déshumanisante, quand dans les écoles les instituteurs diront à leurs élèves de bien travailler afin de ne pas devenir caissier(e) , aide-soignant(e) ou infirmier(e).

    «  Et quand y aura plus personne ? Ce n’est pas pour moi que je vais bosser, c’est pour les résidents qui sont en train de crever, parce que là ce n’est plus mourir, c’est crever et finir dans un sac. »

    J’ai honte de ceux qui ne revalorisent pas vos salaires. J’ai de la haine contre ceux qui ne vous considèrent pas, qui ne vous écoutent pas et qui vous regardent vous dépatouiller en se chamaillant comme des enfants depuis les sièges confortables de l’Assemblée Nationale. J’accuse nos dirigeants successifs qui tournent la tête au lieu de vous regarder dans les yeux. J’accuse ceux qui vous jettent des miettes de pains en guise de reconnaissance comme si vous étiez des pigeons qu’on écarte à coups de pied. C’est égoïste, mais s’il devait arriver quelque chose de grave à ma sœur suite à l’exercice de son métier, je ne vous le pardonnerai jamais et je vous accuserai de mise en danger de la vie d’autrui comme l’a déjà fait un citoyen contre l’EHPAD de Mougins suite au décès de sa grand-mère. Depuis le 20 mars 2020, et en dépit de l’engagement et du volontarisme de toute l’équipe de l’établissement, 15 personnes âgées résidant dans cet établissement sont décédées.

    Parce que ce silence tue. Il tue des vocations. Il tue des couples. Il tue des familles. Il tue sournoisement, à l’usure, dans le royaume d’aveugles qui pour rien au monde n’échangeraient leurs cols-blancs contre des blouses de la même couleur.

    Ne devenez pas des bourreaux. Bougez-vous. Prenez conscience du sang sur vos mains. Ne les laissez pas mourir à petit feu et donnez-leur les moyens de travailler avec dignité, maintenant et après.

    J’ai espoir que le temps venu, nous saurons nous mobiliser pour eux comme ils se mobilisent actuellement pour nous. Nous les soutiendrons localement,  dans la rue, devant les hôpitaux, les maisons de retraite, aux urgences, dans les médias, avec la voix d’artistes, de sportifs, d’intellectuels que nous n’entendons que trop peu actuellement sur le sujet.

    Après la révolte des gilets jaunes, celle des gilets blancs.

    Nous avons besoin de meneurs emblématiques, pour que la sauce prenne, de personnalités charismatiques, de nouveaux Daniel Balavoine, Coluche, mais aussi de millions de petites fourmis perchées sur leurs épaules pour leur crier notre soutien et notre détermination.

    Mais attention, après les bonnes paroles sera venue le temps de mesures concrètes, parce que qui sème le vent récolte la tempête. Ma sœur, pour toi et tes collègues, je serai l’un des souffles qui donneront naissance à un ouragan, à un tsunami, à un cyclone. Merci pour ce sacrifice. Prends soin de toi. Pendant que j’écris ce message, tu es au chevet d’un ange en devenir dont les ailes se mettent à pousser entre deux spasmes.

    Je pense à toi et je suis fier de la  personne exceptionnelle que tu es du haut de tes 27 ans. Je t’aime et nous sommes des millions à t’aimer.

    https://pokaa.fr/2020/04/05/strasbourg-silence-on-meurt/?fbclid=IwAR1RWvyFBC9uy2LmhgVCSXYuRTpnsDUsiQVXaAPXFqd0CIhqTqNRxlMqcdM


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  • Je pense que si l'association hydroxychloroquine-antibiotique à large spectre est utilisé maintenant dans beaucoup de pays, c'est parce que c'est efficace, lié à un vrai confinement pratiqué le plus tôt possible — les élections municipales maintenues ont été du dernier crétin, d'ailleurs déjà au moins deux maires et de nombreux conseillers municipaux sont morts après avoir présidé des bureaux de vote — mais les Grands Médecins français haïssent le Professeur Raoult, pas du tout consensuel, et les journalistes les appuient de toute leur masse. Raoult n'a pas inventé l'utilisation de ce produit, mais l'association avec un antibiotique est bien de lui, et cela fait beaucoup de différence.

     

    On notera que ce qui est ordonné par le décret du 25 mars ne comporte justement pas cet antibiotique, et de plus les médecins (apparemment seuls ceux des armées sont habilités, si je sais lire) ont ordre de ne l'administrer que quand c'est trop tard. Raoult recommande de s'en servir le plus tôt possible dès que la personne est positive. Il est vrai AUSSI qu'il n'y a de loin pas assez (ou plus assez, parce qu'ils ont disparu récemment) de tests, donc le gouvernement préfère attendre que la personne soit très mal, ce qui indique qu'elle est malade (joli, comme démonstration !) pour la tester, et éventuellement la traiter si elle n'est pas trop âgée.

     

    J'ai fait un peu de biologie au cours de mes études, cela me permet au moins de comprendre les termes employés et les mécanismes les plus simples de la vie.

     

    Je me permets d'insister : l'apport d'un antibiotique à large bande permet de bloquer la surinfection bactérienne, qui est en fait ce qui tue le malade à la fin parce que les poumons ne peuvent plus fonctionner (pneumonie) : il a été remarqué qu'à ce stade-là il n'y a déjà presque plus de virus, il a seulement préparé le terrain pour les gros microbes. En fait très peu de gens meurent DIRECTEMENT du virus. La meilleure façon, sans doute aussi parmi les moins chères, serait de traiter dès maintenant tout le monde, quitte à surveiller les cas de rejet (il y en a toujours). Ainsi, au bout d'une seule semaine il n'y aurait plus de porteurs, sains ou non. Cela n'arrangerait pas du tout les industriels, qui ne pourraient recueillir le bénéfice de leurs brevets.

     

    On peut le dire d'une autre façon : la vraie infection est celle du PROFIT, et peut-être aussi d'une certaine vision malthusianiste de l'avenir. La France avait les stocks nécessaires, constitués par des gouvernements prévoyants : d'autres gouvernements ne voyant que le profit immédiat ont dispersé aux vents ces outils essentiels contre une éventuelle épidémie, Une partie a bénéficié à la Chine, prise au dépourvu au début : tant mieux ! Mais d'autres facteurs de notre manque cruel en moyens sont bien moins clairs.

     

    Ainsi de cette usine française de masques protecteurs, qui a fermé.... en 2018.

     

    Ainsi de cette autre usine, encore française, qui a fermé ses portes sans raison apparente, en février 2020 alors que le virus commençait à faire des ravages. Elle fabriquait des bouteilles d'oxygène portatives et légères. Il n'y avait pas d'autre usine de ce type en Europe, et les bouteilles qui sont encore disponibles, américaines (ah ? ) sont plus lourdes. Qui était le propriétaire ? Un fonds de pension... américain !

     

    Oui, c'est clair, l'infection est celle du PROFIT immédiat, mais aussi celle d'une vision malthusienne qui veut éliminer un maximum d'humains, en particulier les plus anciens (sauf celui qui préconise le plus ce point de vue, et qui a 74 ans, allez comprendre !). Resterons-nous sans rien faire ? Il y a là matière à un terrible Nuremberg, mais pour cela il faudrait que Le Peuple y oblige : dans les pays anglo-saxons, je pense qu'ils n'y sont pas encore prêts.


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  •  

    Il faut avoir lu le décret 2020-293 du 23 mars 2020, avant de se poser des questions.

    Ainsi, par la bande sont interdits de fait les rassemblements de Gilets Jaunes.

    Ainsi, par les mêmes moyens tout groupe protestataire de plus d'une personne est proscrit.

    En plus chacun vu dans la rue par "les Forces de l'Ordre" doit justifier (même sur papier libre) de la raison de sa présence correspondant à la liste publiée, et rien d'autre. Cette protestation ne peut donc s'exercer que dans le court écart de temps correspondant à son déplacement, alors que les rues sont vides : la portée de cette protestation est réduite à néant.

    EN MÊME TEMPS les agents verbalisateurs (on ne fait pas appel à l'armée, occupée ailleurs, en Afrique par exemple) sont par ordre, sans aucune protection sanitaire alors que les simples citoyens sont invités à se protéger dans la mesure du possible : une façon d'affaiblir les forces de l'ordre ?

    EN MÊME TEMPS à la différence des autres enfants, confinés à la maison, ceux des agents sanitaires sont regroupés dans des écoles, assurant ainsi gratuitement l'essaimisation du virus en direction de tous leurs parents déjà largement en sous-effectif : excellent pour TUER l'hôpital, donc ceux qui y ont été amenés pour soins urgents.

    EN MÊME TEMPS alors que les moyens de se protéger qui restent sont réquisitionnés, la plus grande partie de ces moyens a été cédée moyennant finances à d'autres pays. Les usines ont été délocalisées soigneusement en Chine ou ailleurs, pour être sûrs qu'à des moments de vraie urgence les personnels de santé ne les auront pas sous la main.

    Le bilan est terrible : c'est un état d'urgence ressemblant étrangement à la loi martiale, vu que les simples policiers, même municipaux, sont désormais armés, avec des armes de service individuelles ET létales, mais aussi avec d'autres moyens dont on a pu mesurer qu'ils pouvaient également être létaux, comme les LBD et autres grenades, voire les simples (!) tonfas. Non seulement ils sont armés, mais ils sont la plupart du temps autorisés, voire incités à se servir de ces moyens létaux.

    Là-dessus des dispositions ont été prises pour que les communications entre citoyens soient surveillées, voire sanctionnées. Ne sont plus guère autorisés, de fait, que les pseudo-informations toujours biaisées, partielles, partiales, émanant des "médias" officiels ou sous la coupe de quelques milliardaires. Ne devient-il pas paradoxal de devoir se renseigner (ce qui demande un véritable effort) sur des médias étrangers, suisses, anglais, belges, russes, ou autres ?

    Encore heureux que,jusqu'à présent, le régime de Paris 8e n'ait pas fait appel à la force de répression inventée à Bruxelles.

    L'état d'urgence, vraiment ?

    Il peut paraître étonnant, vu tout cela, que "les décideurs" ne soient pas allés ensemble (ohhhh le rassemblement...) prendre les eaux à Vichy ou l'apéritif à Versailles pour se protéger de la populace parisienne.


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  • Référons-nous soigneusement au nouveau décret sorti le 25 mars : certaines disposition "étonnent" (enfin, pas tant que ça, en fait).

    Je lis cette phrase.

    Article 12-2 alinéa un

    «  ...l'hydroxychloroquine et l'association lopinavir/ ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d'un médecin aux patients atteints par le covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge..... »

    Et puis cette autre

    Article 12-2 alinéa cinq

    « Pour l'application du présent article, sont considérés comme établissements de santé les hôpitaux des armées, l'Institution nationale des Invalides et les structures médicales opérationnelles relevant du ministre de la défense déployées dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire. »

    Les amis du Covid19 sont dans le 8e arrondissement

    Qu'en conclure ? Plusieurs faits.

    — l'association lopinavir-ritonavir n'est absolument pas préconisée par le professeur Raoult, qui logiquement associait à ce produit à l'origine prévu pour contrer le paludisme, un antibiotique à large bande destiné à lutter contre les surinfections bactériennes dans les poumons : après "on" dira que cela ne fonctionne pas....

    — bien plus fort et plus symptomatique il est bien précisé que ce que le "gouvernement" appelle "établissements de santé" se cantonne aux établissements militaires, où il peut se passer tout et rien sans qu'on ne puisse rien en savoir : il est assez clair que les CHU par exemple, dont celui de la Timone, en sont exclus. Donc que le professeur Raoult en est exclus aussi.Sinon, il aurait été noté "sont considérés AUSSI comme établissements de santé....". Chaque mot compte.

    Devons-nous en tirer des hypothèses (qui sont ce qu'elles sont évidemment) ? Il semble bien que les Grands Dirigeants ne veuillent surtout pas un traitement efficace, qui commence par une détection rapide, et continue par des associations de remèdes déjà connus aussi bien pour leur efficacité, que pour les dangers (il y en a toujours chez les produits vraiment actifs) qu'il faut seulement surveiller. Incidemment, mais ce n'est sans doute pas anodin dans leur esprit, ce traitement a l'avantage d'être très bon marché, et libre de brevets parce que déjà ancien. Pour des amis des Grands Industriels "de la santé" (hum), c'est assez rédhibitoire.

    Ne pas oublier que chacun étant différent de son voisin ne serait-ce que par son métabolisme, définir un protocole strict est aberrant. Il faut adapter le retour à la bonne santé, à la personnalité de la personne qui l'a momentanément perdue. C'est très loin de la médecine prescrite par ordinateur dans le but unique de cacher les symptômes.

    Ne s'agirait-il pas, via un virus relativement banal, mais mal connu, de démoraliser une population entière, afin qu'elle ne soutienne pas un mouvement insaisissable comme les Gilets Jaunes, insaisissable parce que sans leaders à manipuler ?


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  • THOR — THUNES

    En ces temps-là, notre terre Gaïa avait été investie, grâce à de nombreuses traîtrises, par des accapareurs dont le chef s'appelait Tyde Avide. Ils étaient particulièrement prodigues en paroles mielleuses (c'est bien uniquement dans ce genre de monnaie qu'ils étaient prodigues). Ils avaient fait en sorte que presque tous les chefs de Gaïa leur soient soumis grâce de fallacieuses promesses.

    Dans de multiples points, souvent ronds, d'un vieil hexagone de terres disparates en leur diversité, mais unies par d'historiques adversités qui leur avaient fait ensemble lever le glaive de la grande résolution, quelques-uns des habitants bougons, râleurs, ripailleurs, truculents se réunissaient pour résister. Selon leurs habitudes, ils n'avaient pas de chefs mais des porte-paroles dont l'un des plus célèbres était nommé Gaule Ya.

    Leur spécialité était de communiquer entre eux de très loin, grâce aux ailes de leurs moulins, ceux qui leur servaient à fouler le lin et le chanvre, à écraser le grain de leur farine de Sarrazin, ou le sel de leur soupe. Leurs animaux fétiches étaient le coq, réveil-matin émérite et fier, et la chèvre rétive et révolutionnaire.

    Un jour Tyde Avide et ses conjurés réussirent à obtenir d'un géant du nom de Sam, expert en engins de mort plus ou moins subtils (et en rien d'autre, du reste) une sorte de poison auto-reproducteur. Celui-ci fut répandu en cadeau au cœur d'une autre communauté bien pacifique, née au bord de l'océan du même nom, à l'occasion d'un rassemblement amical de guerriers d'un peu toute la Terre. Les guerriers, après avoir évalué leurs forces comme à Olympie autrefois, repartirent avec leur cadeau empoisonné.

    Bien entendu le poison se répandit partout. Dans l'hexagone évoqué plus haut, c'est surtout à l'occasion d'un rassemblement de druides, sur les bords d'un fleuve nommé le Rhin, qu'explosa la bombe. Celui qui s'était auto-proclamé grand-chef de l'hexagone, soutenu par les représentants locaux de Tyde Avide, décida que bien sûr il ne fallait rien faire pour contrer le mal, au contraire il se dépêcha pour faire donner (contre quelques piastres sans doute) à d'autres communautés mondiales les moyens qui eussent pu contribuer à ce combat. Perdre des piastres à protéger les hexagonois, il n'en était pas question. En même temps bien entendu, il abreuvait ceux-ci de belles paroles et de vaines promesses. Il s'était adjoint un conseiller habile, très âgé, qui avait servi bien d'autres autoproclamés avec lui. Celui-ci, un Hun venu des steppes de l'Asie Centrale, ravageait périodiquement les contrées proches de l'océan des Atlantes.

    Le chef autoproclamé de l'hexagone, Mack O'Rond, pour encore mieux appesantir son emprise, ordonna à ses légions caparaçonnées de cuir et d'acier d'obliger tous les habitants à rester en prison dans leurs huttes. Finis les points de ralliement des opposants, finies les aides, bientôt finie la nourriture — finie aussi la pollution réelle ou factice, faute de mouvements — au point que tout le monde allait mourir sauf le chef, ravitaillé par des aigles venus d'au-delà un petit canal nommé la Manche. Il fallait réagir.

    Grâce aux mouvements des moulins, que le chef pouvait difficilement contrôler, peu à peu des liens se tissèrent, d'autant plus forts que les vies étaient en danger. Et puis un jour, alors que Mack O'Rond recevait la visite à dos d'aigle de Tyde Avide et Sam O'Bez, un groupe lâche dans son déploiement, mais pour une fois discipliné, auquel participait le porte-parole Gaule Ya (les conjurés avaient appelé ce mouvement hardi Opération Thor en souvenir d'un marteau vengeur), réussit à capturer les trois chefs de la Terre en même temps, malgré les légions dispersées dans l'hexagone. Depuis ces trois malfaisants sont conservés dans un coin secret, une citadelle de fer nommée Daucy. Ils n'en sortiront pas.

    Ce fut une grande fête dans tout Gaïa, désormais il n'y a plus d'accapareurs de piastres, la nouvelle façon de s'échanger des valeurs s'appela les Thunes, et les habiles fabricants de belles choses très demandées des Forts Thunés.

    En hommage aux talentueux auteurs d'un sketch bien connu, Nord-Sud.

    bab

     

     

     

     

     


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  • N'aurions-nous pas affaire à un Couronné Virus, bien calé dans les coussins du 55 rue du Faubourg ?  Un virus de chaire et d'OSE, si j'ose dire....

    Pour le coup, un homme qui, lui, savait monter en chaire, avait déjà bien compris.

    Ne nous leurrons pas, on le dit mais il faut le redire : tout ce qui arrive aujourd'hui est préparé même quand cela paraît imprévisible. Ce virus minutieusement non-préparé tombe à point pour cacher au grand public la grande débâcle des banquiers, victimes de leur besoin de toujours plus. Car effectivement les Bourses s'écroulent, mais la cause n'est pas tant dans le manque-à-gagner découlant des arrêts d'entreprises, que dans la faillite du $¥$T€M€ lui-même. Les forages schisteux étaient une calamité, la situation aidera même à les enfouir sous le tapis. Même chose, dans le fait que les vraies industries stratégiques (pas les armes, non : le reste bien plus important) se retrouvent en extrême-orient.

    Un point justement a été mis au jour ce matin : les processeurs les plus performants sont toujours produits à Taïwan, comme le révélait un article ce matin. Si quelque chose bloque le flux de marchandises, venant de si loin, le tonitruanD Occident est pris à la gorge.

    Il met aussi entre parenthèses de beaux scandales comme ceux découlant des multiples incendies de bâtiments de 2019. On nous prend pour des imbéciles !

    Ce matin le soleil est là : depuis plus de trois heures, la fenêtre ouverte, je bénéficie du concert des oiseaux. Eux ne se posent pas de questions. La vie est toujours là, après tout.

     

     

     


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  • Compte tenu de ce qu'on peut savoir (entre autres que des sources US ont parlé du Coronavirus alors que les Chinois n'avaient pas encore pris en compte ce facteur, sachant qu'après ils ont réagi très vite, et en proportion de la menace), on peut se dire avec une certitude assez grande que ce machin sort des labos militaires de Fort Detrick, donc qu'il s'agit d'une agression du type Armes de Destruction Massive. Je ne mets pas en cause les habitants étatsuniens, bien entendu, mais les maîtres de Washington, ces banquiers apatrides dont le siège est la City de Londres depuis l'époque de Cromwell le Jeune. Ceux qui, en novembre 1913, se réunirent dans un lieu au nom prédestiné, Jekyll Island pour fonder la banque (privée) nommée Réserve Fédérale US.

    Il s'agit donc d'une agression MAJEURE de la part de ce qu'on appelle l'État profond. Celui-ci consiste en quelques centaines, voire quelques milliers de non-humains parce que profondément insensibles (ce qu'on appelle aussi des psychopathes narcissiques), mais attirés par le Pouvoir même apparent par TOUS les moyens, même les plus répréhensibles parce qu'ils ne savent pas faire la différence. Il leur faut compenser cette absence de sentiments qui les caractérise, et qui doit sans doute se traduire chez eux par un vide indéfinissable.

    Il s'agit seulement de ne pas se tromper de cible, quand il s'agit de fustiger tel ou tel intervenant. Se dire aussi qu'organiser une sorte de Nuremberg ne résoudrait pas grand-chose, tant ceux qui sont réellement répréhensibles ne savent même pas qu'ils font MAL : le mal est leur façon de vivre.


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  • Exceptionnellement, n'étant pas chez moi j'ai vu hier soir à la télévision le contenu du 55 rue du Faubourg.

    Il a fait son jeu d'acteur.

    De son loooong  monologue qu'en est-il sorti ?

    — Les enfants sortis des vacances scolaires, y replongent pour une durée indéfinie. Sauf que cette fois ils seront confinés à la maison, vu les circonstances sanitaires ils ne pourront pas être confiés à des centres aérés ou autres, ce qui va poser bien des questions aux parents qui travaillent ailleurs. Les examens seront au moins perturbés. Les programmes scolaires également. Pour quel résultat ? Sans doute une couche de chienlit supplémentaire.

    — Des mesures seront prises, on ne sait pas lesquelles, mais l'orateur prévoit de les conserver après l'alerte passée. Nul doute que ce sera pour le bien de tous, comme à chaque fois. Le caca rente va se réjouir, le citoyen, pas forcément. Sans doute les Gilets Jaunes seront-ils encore plus refoulés, pour des prétextes divers.

    — Des fonds seront débloqués (lesquels ? il n'y en a pas sauf pour permettre aux OPEX de continuer et aux très très riches d'amasser....) mais l'essentiel devra venir de la solidarité la solidarité la solidarité déjà mise à très rude épreuve, faute de fonds. La preuve ? Un détail en dit long, la marseillaise de la fin a été brutalement interrompue par un retour au studio avec les deux dames tout en noir. Traduction : VOUS français, débrouillez-vous ensemble, NOUS les zélites, cela ne nous concerne pas.

    Vôl là, kôâ.

     


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  • Pendant que j'y suis, j'ouvre sans licence IV un nouveau rade pour les potes et les potes des potes qui veulent parler d'art....

    http://bab-art.eklablog.com/

    Bienvenue !

     


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